Rousseau et la justice
Rousseau et la justice : Fonder la morale dans le « cœur » de l’homme. Le vicaire découvre en l’homme la conscience morale comme « instinct divin, céleste voix ». Existence de principes moraux, universels en dépit de la diversité des lois. Chacun entend en lui-même la voix de sa conscience qui lui dicte son devoir. La conscience morale n’est pas le résultat d’un apprentissage, d’une réflexion, le fruit d’une connaissance. Elle est innée, divine. Voix intérieure. L’homme ne peut pas ne pas entendre cette voix, mais il peut ne pas l’écouter. Rousseau fait de la morale un sentiment qui s’éprouve et non une loi rationnelle qui s’impose catégoriquement (Kant).
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