18 résultats pour "trahit"
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Le langage nous trahit-il?
Le langage nous trahit-il? On insiste d'abord sur les critiques adressées au langage au nom de la singularité subjective (Nietzsche, Bergson -voir le document ci-dessous). Deux issues théoriques possibles: • affirmation d'un indicible; • recours à la voie poétique (.Nietzsche). On s'appuie ensuite sur Hegel pour montrer que l'indicible est un pseudo-concept et que, s'il est vrai que le langage paralt constituer une aliénation, cette dernière doit être comprise...
- Interpréter est-ce forcément trahir?
- Interpréter est-ce forcement trahir?
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La mise en scène doit-elle s'adapter à la tonalité comique ou tragique d'un texte? Peut-on jouer de manière comique un texte qui semblait ne pas l'être? Et dans quelle mesure faire cela revient-il à trahir le texte?
Dans Lire le théâtre , Anne Ubersfeld souligne l'importance de la mise en scène pour révéler les potentialités du texte théâtral : la représentation est la somme de T (le texte) et T' (la mise en scène); elle précise que le texte au théâtre est troué, laisse des vides; et c'est à la représentation de combler ces vides. La notion de genre comique complexifie cette réflexion : s'il est évident que la mise en scène permet de déployer le texte, encore faut-il se demander dans quel sens elle le dépl...
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Jean-Claude Renard, rendant compte de son expérience de poète, analyse dans les lignes qui suivent la relation qu'il entretient avec son propre langage :« Il a ses racines en moi comme j'ai mes racines en lui. Il est un miroir à double réflexion où je reconnais ce que je suis et ce que je ne suis pas. Par suite, c'est un miroir qui me trahit- aux deux sens de ce verbe. Car il donne de moi une image à la fois plus vraie et plus fausse que celle que je puis, consciemment ou inconsciemmen
Demande d'échange de corrigé de sara ramos ( [email protected] ). Sujet déposé : Sujet de dissertation Jean-Claude Renard, rendant compte de son expérience de poète, analyse dans les lignes qui suivent la relation qu'il entretient avec son propre langage : « Il a ses racines en moi comme j'ai mes racines en lui. Il est un miroir à double réflexion où je reconnais ce que je suis et ce que je ne suis pas. Par suite,c'est un miroir qui me trahit- aux deux sens de ce verbe. Car il donne...
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Résumé de Judas, l'amitié trahie
JUDAS, L’AMITIE TRAHIE CHAP 1 En Galilée, dans le village de Capharnaüm, un homme fatigué marche, pieds nus : c’est Judas Iscariote. Il rend visite à son ami Elie. Judas raconte à Elie ce qu’il a fait les derniers temps : en compagnie de Thaddée, il est allé porter la parole de Jésus le Nazaréen ; les foules se sont pressées pour les entendre. Elie ne comprend pas pourquoi Judas admire à ce point Jésus. Il ne croit pas que Jésus soit le prophète, contrairement à Judas qui en est c...
- Jouer une pièce de théâtre, est-ce forcément la trahir ?
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Dans leur essai critique, Marivaux: un humanisme expérimental, Henri Coulet et Michel Gilot, vont même plus loin, en qualifiant le langagedans ses pièces d’«agent double», précisant ensuite: «on croit le jouer, mais l’on s’y trahit.»
PROPOSITION DE CORRIGÉ Les salons du XVIIème siècle apportent la preuve de l’art de la conversation qui se développe alors dans la société mondaine, avec la pratique d’une politesse raffinée, mais aussi des jeux d’esprit subtil, dont témoigne la Préciosité. Le XVIIIème siècle accentue encore cette tendance, avec de nouveaux lieux, tels les cafés ou les « clubs » où la conversation devient le moyen de juger – et surtout...
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RACAN, Honorat de Bueil, seigneur de (1589-1670)Poète de l'Académie française, il est l'auteur de stances élégiaques et des Bergeries, pastorale dramatique qui trahit l'influence italienne.
RACAN, Honorat de Bueil, seigneur de (1589-1670) Poète de l’Académie française, il est l’auteur de stances élégiaques et des Bergeries , pastorale dramatique qui trahit l’influence italienne.
- La génération des baby-boomers est accusée d'avoir trahi les idéaux des penseurs de la Révolution tranquille, de n'être pas solidaire avec la génération qui l'a suivie, la «génération X», de jouir égoïstement des acquis de l'État-providence conquis démocratiquement par leurs parents. Joseph Yvon Thériault, Critique de l'américanité, Québec Amérique
- Le langage trahit-il la pensée ?
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Oral de brevet: je n'ai pas trahi
Bonjour, je m’appelle Melisa Yilmaz, je suis en 3ème1 et pour mon oral de brevet, je vais vous présenter mon parcours d’éducation artistique et culturelle. Mon oral va porter sur 3 parties : Tout d’abord, je vais vous faire la présentation de mon œuvre. Ensuite, je vous présenterai mes recherches et mes connaissances liées a ce projet. Enfin, je vous donnerai mon avis global sur ce que ce projet m’a apporté et ma conclusion. Ma problématique est la suivante : En quoi les œuvres nous pe...
- Représenter une pièce, est-ce nécessairement la trahir ?
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Dissertation Langage Philosophie: Le langage nous trahit-il ?
Le langage nous trahit-il ? Introduction : Demander si le langage peut nous trahir, c’est personnifier le langage, et donc lui conférer une certaine indépendance par rapport à nous qui l’utilisons. Mais si on peut personnifier la raison, en tant qu’elle a des exigences propres qui se distinguent des exigences de mes désirs sensibles, est-ce que cela a un sens de personnifier le langage ? Le langage n’a aucune exigence en propre. Il est entièrement au service de la pensée qui l’utilise comm...
- Vous avez lu le Don juan de Molière et vous avez assisté à une représentation de cette oeuvre. La représentation vous semble-t-elle éclairer le texte ou plutôt trahir son sens ?
- Le critique Laurent Versini écrit dans Le roman épistolaire (1979) : « En face des partisans des lettres, la marquise est chargée par l'auteur d'introduire le doute et de souligner les risques auxquels s'expose toute correspondance amoureuse et, par delà, le romancier lui-même [...]. Risques doubles dans un roman comme Les liaisons : au problème général - l'écriture peut-elle communiquer la pensée et le sentiment, les mots ne trahissent-ils pas toujours les intentions, ou le signifian
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«Pas de vérité sans comique pas de comique sans vérité: voilà la formule de Molière» (Lanson). Vous commenterez ce jugement en vous inspirant des pièces de Molière que vous avez lues.
MOLIÈRE : COMIQUE ET VÉRITÉ «Pas de vérité sans comique pas de comique sans vérité: voilà la formule de Molière» (Lanson). Vous commenterezce jugement en vous inspirant des pièces de Molière que vous avez lues. Introduction : La formule à commenter est l'expression, sous deux formes, d'une seule et même idée, qui est la suivante : le comique et la vérité sont inséparables dans le théâtre de Molière. Par vérité, il faut entendrel'exactitude dans l'observation et la représentation de la n...
- moliere