29 résultats pour "sévigné"
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GRIGNAN, Françoise-Marguerite de Sévigné, Mme de (1646-1705)Sa mère la marquise de Sévigné, jeune veuve, l'élève, l'éduque, lui apprend le latin et l'italien.
GRIGNAN, Françoise-Marguerite de Sévigné, Mme de (1646-1705) Sa mère la marquise de Sévigné, jeune veuve, l’élève, l’éduque, lui apprend le latin et l’italien. Blonde, elle est, dit son cousin Bussy-Rabutin, “ la plus belle fille de France ” ; présentée à la Cour en 1652, elle paraît dans les ballets de Benserade, et certains essayent, dit-on, de la jeter dans les bras du roi. La Fontaine lui dédie sa fable du Lion amoureux. En 1669, elle épouse un gentilhomme perclus de dettes, le marquis de...
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Marquise de Sévigné
Marquise de Sévigné Petite-fille de sainte Jeanne de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal naquit à Paris dans une riche famille bourgeoise.Après la mort de son père sur le champ de bataille, puis de sa mère, elle fut élevée par son grand-oncle dans unhôtel particulier de la place Royale. Mme de Sévigné suivit une instruction littéraire classique et poussée, rare pourune jeune fille de l'époque. Habituée de la cour, elle épousa en 1644 un gentilhomme viveur qui dépensa toute lafortune du ménage avan...
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Madame de Sévigné (1626-1696)
Madame de Sévigné (1626-1696) Une chronique mondaine sous le Roi-Soleil. Née à Paris, au Marais, orpheline à 6 ans, élevée avec soin et bonheurpar sa famille maternelle, les Coulanges, ayant reçu les leçons d'excellents maîtres comme Ménage et Voiture, Mariede Rabutin-Chantal est riche, intelligente et belle. Elle épouse, à 18 ans, le Breton Henri de Sévigné, chevalier etmarquis. Veuve à 25 ans, elle quitte le manoir des Rochers, près de Vitré, et s'installe à Paris avec ses deuxenfants,...
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Marquise de Sévigné
Marquise de Sévigné D'où vient cette étonnante popularité, chez nous, de la Divine Marquise ? Elle fait partie de la si petite minorité des écrivains qui, célèbres de leur temps, neconnurent jamais l'oubli ni l'injuste décri de la postérité. Ainsi que Villon, elle ne cessa jamais d'être lue. Ses détracteurs mêmes qui n'en a, dans le mondedes lettres ? lui rendent hommage. Duhamel, sous le couvert de Salavin, raconte comment un professeur de littérature haïssait Mme de Sévigné qu'ilappelait : "l...
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SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de
SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (5 février 1626-17 avril 1696) Epistolière Par son père, Marie appartient à une famille très aristocratique. Par sa mère, elle descend de l’une des familles les plus fortunées du temps. Le 10 octobre 1646 elle met au monde une fille, Françoise Marguerite, qu’elle a eu avec son mari Henri de Sévigné, issu d'une vieille famille aristocratique bretonne, sans fortune et quelque peu libertin. Il est aussi un bretteur acharné. Le 12 mars 1648 madame de Sé...
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MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de.
MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de. Au même rang que Montaigne et Rousseau, Mme de Sévigné signe une des très rares entreprises authentiquementoriginales d'accomplissement du moi par la littérature. Les Lettres, comme les Essais et les Rêveries, sont des instruments d'existence et non des alibis, des autobiographies, sans projet autobiographique qui informe et, parconséquent, déforme. Cet épanchement de la vie dans l'écriture, cette captation de sa...
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Les lettres de Madame de Sévigné sont-elles une gazette ou un journal intime ?
, , Mme de SEVIGNE Un critique écrit à propos des lettres de Mme de Sévigné : « C'est une gazette et un journal intime. >> Que faut-il penser de ce jugement P (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Les deux grandes parties, du sujet sont nettement posées. Les traiterons-nous dans l'ordre où les indique la citation? Oui, car la relation des événements d'une époque est moins intéressante que les confidences d'un individu, surtout qu...
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La Bruyere, dans le chapitre des ouvrages de l'esprit, prétend que les femmes sont généralement supérieures aux hommes dans la manière d'écrire des lettres. Ce sexe va plus loin que le nôtre dans ce genre d'écrire. En vous aidant des lettres de Madame de Sévigné que vous connaissez, vous essaierez d'expliquer l'opinion de La Bruyère ?
1 / 2 MADAME DE SÉVIGNÉ 67 donne un nom et qu'on reconnaît parfois (les clefs). Ménalque, Irène, Arrias, etc. Il les fait voir, il les fait parler. (Que dites- cous du livre d'Ilermodore? ... ) Il les interpelle'< Que dites-cous? Comment?» (Acis). Il peint aussi les milieux ou les groupes (la cour.., les paysans). Et toujours il est saisissant de vie et de relief. 42. MADAME DE SÉVIGNÉ La Bruyère, dans le chapitre des ouvrages de l'esprit, prétend que les femmes s...
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Marquise de Sévigné
S É V I G N É marquise de [Marie de RABUTIN-CHANTAL] 1626-1696 Ép istolière, née à P aris. Bo urgu ignon ne d'origine - comme Co lette-, orpheline à l 'âge de sep t an s, la petite Marie es t él evée par son oncle, l'abbé C hristophe d e Co ulanges, e t mariée d ès s a d � h uitiè me année au m arqu is de Sévigné, qui la négl ige fort et m eurt à l a s uite d'un duel, la la issant veuve à vi ngt-six ans ( 1651). Dès lors, ell e délaisse un pe...
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MADAME DE SÉVIGNÉ: vie et oeuvre
MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) MARIE DE RABUTIN-CHANTAL est de vieille noblesse par son père, de noblesse beaucoup plus récente par sa mère.Lorsqu'elle devient orpheline en 1633, c'est sa famille maternelle qui prend soin d'elle et particulièrement son oncleChristophe de Coulanges, abbé de Livry, « le bien bon », qui plus tard l'aidera dans l'administration de ses biens. Ellereçoit une bonne formation. Elle est guidée par les conseils de maîtres éminents : Chapelain, Ménage. Elle comprend le...
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Lettre de Monsieur de Pompone, de Mme de Sévigné.
Lettre de Monsieur de Pompone, de Mme de Sévigné. Texte. Il faut que je vous conte une petite historiette, qui est très vraie, et qui vous divertira. Le Roi se mêle depuis peude faire des vers; MM. de Saint-Aignan et Dangeau lui apprennent comme il faut s'y prendre. Il fit Vautre jour unpetit madrigal que lui-même ne trouva pas fort joli. Un malin, il dit au maréchal de Gramont : « Monsieur le maréchal,je vous prie, lisez ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent. P...
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Vous ferez le commentaire de la Lettre à Madame de Grignan, de Madame de Sévigné.
'Ill .... _, -c ... "'Ill Cl z c _, a. Chapitre 5 , ~EPISTOLAIRE Sujet 37 JI Corpus 17, p. 360 Vou& ~erez Le commentaire de La Lettre à Madame de Grignan, de Madame de Sévigné. AnaLy&e du &ujet À la lecture de la lettre de Madame de Sévigné, on note : • la valeur émotive de la lettre : Madame de Sévigné laisse apparaître sa frayeur et son amour passionnel pour sa fille ; • la maîtrise rhétorique dont fait preuve Madame de Sé...
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Commentaire : Mme de Sévigné - Lettres: « Á Paris, mardi 3 mars 1671 » - A sa fille
Commentaire : Mme de Sévigné - Lettres: « Á Paris, mardi 3 mars 1671 » - A sa fille Il s'agit d'une lettre extraite de la correspondance de Mme de Sévigné. Celle-ci a entretenue une très importante correspondance (environs 1500 lettres), la majoritédestinée à sa fille, dont celle que nous allons étudier. Mais elle écrivait aussi des lettres à son entourage, sa famille (oncle, tante,…) ainsi qu'à ses amis.Mme de Sévigné a vécu en plein classicisme, sous le règne de Louis XIV. Elle se tient au co...
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SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (5 février 1626-17 avril 1696) Epistolière Par son père, Marie appartient à une famille très aristocratique.
SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (5 février 1626-17 avril 1696) Epistolière Par son père, Marie appartient à une famille très aristocratique. Par sa mère, elle descend de l’une des familles les plus fortunées du temps. Le 10 octobre 1646 elle met au monde une fille, Françoise Marguerite, qu’elle a eu avec son mari Henri de Sévigné, issu d'une vieille famille aristocratique bretonne, sans fortune et quelque peu libertin. Il est aussi un bretteur acharné. Le 12 mars 1648 madame de Sé...
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Madame de Grignan1646-1705Françoise-Marguerite de Sévigné, née à Paris, perdit son père à l'âge de cinq ans.
Madame de Grignan 1646-1705 Françoise-Marguerite de Sévigné, née à Paris, perdit son père à l'âge de cinq ans. Sa mère, la marquise de Sévigné, l'éleva, l'éduqua, lui apprit le latin et l'italien. Mlle de Sévigné, gâtée par sa mère, prit aisément l'habitude de cette idolâtrie. Blonde, elle était, dit son cousin Bussy-Rabutin, “ la plus belle fille de France ” ; présentée à la Cour en 1652, elle parut dans les ballets de Benserade, et certains essayèrent, dit-on, de la jeter dans les bras du roi....
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Etude littéraire de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges
Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort. Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélas! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris; nous sommes exposés à tous les vents; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui...
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Quelle figure de style caractérise cette phrase, extraite d' une lettre de Mme de Sévigné ?
Quelle figure de style caractérise cette phrase, extraite d' une lettre de Mme de Sévigné ? Il a si bien établi son discours, il a donné au défunt des louanges si mesurées ; il a passé par tous les endroits délicats avec tant d'adresse ; il a si bien mis dans son jour tout ce qui pouvait êtreadmiré ; il a fait des grâces d'éloquence et des coups de maître si à propos et de si bonne grâce, que tout le monde, je dis tout le monde, sans exception, s'en est écrié et était charmé d'uneaction si parfa...
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Marquise de Sévigné par Françoise d'Eaubonne D'où vient cette étonnante popularité, chez nous, de la Divine Marquise ?
Marquise de Sévigné
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Marquise de Sévigné Petite-fille de sainte Jeanne de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal naquit àParis dans une riche famille bourgeoise.
Marquise de Sévigné
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Roger de Bussy-Rabutin1618-1693Cousin de Madame de Sévigné.
Roger de Bussy-Rabutin 1618-1693 Cousin de Madame de Sévigné. Intelligent, mais assez fade et de morale accommodante, il fit, sur les amours du roi et de Mademoiselle de La Vallière, une satire qui lui valut un peu de Bastille et un exil en province. Des copies, qui couraient sous le manteau, de son Histoire amoureuse des Gaules , ne furent pas étrangères à cette disgrâce. C'est la chronique scandaleuse de la cour de France, écrite sans voile et avec esprit. Elle fut imprimée en 1665. Les Lett...
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Louis Bourdaloue1632-1704Une lettre célèbre de Madame de Sévigné atteste l'engouement des contemporains pour laprédication de cet illustre Jésuite.
Louis Bourdaloue 1632-1704 Une lettre célèbre de Madame de Sévigné atteste l'engouement des contemporains pour la prédication de cet illustre Jésuite. On le préférait à Bossuet, dont l'éloquence plus fougueuse avait moins d'élégance. Il prêcha dix fois devant la cour : il était rare que la faveur du roi y appelât plus de trois fois un sermonnaire réputé (Bossuet y prêcha quatre fois). Les plus beaux sermons de Bourdaloue sont ceux sur la Médisance (il y répond aux Provinciales ), sur l'Hypocris...
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BUSSY, Roger de Rabutin, comte de, connu sous le nom de Bussy-Rabutin (1618-1693)Général et écrivain de l'Académie française, cousin de Mme de Sévigné, il est l'auteur de l'Histoire amoureuse des Gaules.
BUSSY, Roger de Rabutin, comte de, connu sous le nom de Bussy-Rabutin (1618-1693) Général et écrivain de l’Académie française, cousin de Mme de Sévigné, il est l’auteur de l’Histoire amoureuse des Gaules .
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LA FAYETTE, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de(18 mars 1634-25 mai 1693)EcrivainLa mère de Marie-Madeleine épouse en secondes noces l'oncle de lamarquise de Sévigné.
LA FAYETTE, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de (18 mars 1634-25 mai 1693) Ecrivain La mère de Marie-Madeleine épouse en secondes noces l’oncle de la marquise de Sévigné . Marie-Madeleine et la marquise lient une amitié indissoluble. En 1655, Marie-Madeleine devient par son mariage comtesse de La Fayette. Si le comte, après avoir eu deux enfants avec elle, se retire dans ses terres d’Auvergne, la comtesse demeure à Paris. Elle s’y lie d’amitié avec La Rochefoucauld . Elle rencontre...
- L'OEUVRE DE MADAME DE SÉVIGNÉ
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Madame de Sévigné;Une chronique mondaine sous le Roi-Soleil.
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Madame de Sévigné lettre à M. De Pomponne Analyse linéaire
Madame de Sévigné, Le re à Monsieur de Pomponne Analyse linéaire Les Lettres » de Madame de Sévigné (1626-1696) sont publiées pour la première fois de façon posthume en 1726. C’est en 1671 que se produisit l’événement qui devait, d’une certaine façon, décider de la carrière littéraire de l’épistolière : sa fille aînée Françoise-Marguerite, qu’elle chérissait par-dessus tout, épouse le comte de Grignan, chef d’une vieille famille provençale, et part le rejoindre dans le Midi. Cette sép...
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Madame de Sevigné Analyse Linéaire
Analyse Linéaire Madame de Sevigné Le but de cette lettre est de divertir Monsieur Pompone, mais il y’a une morale derrière ( Placere Docere ) Un enseignement à faire passer que elle enveloppe de divertissement. Cela ce ressent dès le début, ici le « je » « vous » nous donne une situation de dénonciation. Le verbe de l’impersonnel « il faut que » traduit un devoir de dévoiler et de « conter cette histoire » ( ici le verbe conter c’est lié au Placere qui signifie divertir, il évoque l...
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L' Épistolaire
D'ÉCRIVAIN À ÉCRIVAIN (corpus corrigé)
l' Epistolaire D'�CRIVAIN À ÉCRIVAIN Textes 1. L,ettre de Madame de SÉVIGNÉ à Madame de Grignan, mercredi 4 mars 1671 2. Lettre de VOLTAIRE à Frédéric 11, 26 août 1736 3. Lettre de VOLTAIRE, Postdam, 6 novembhre 1750 4. Lettre de G. FLAUBERT à Louise COLET, 16 septembre 1853 Objet d'étude : L'épistolaire QUESTION (4 points) Vàus répondrez d'abord à la question suivante. Pour chacune de ces lettres, vous identifierez le r�stre dominant et justi fierez vo...
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Vie de Mme DE LAFAYETTE et analyse de la Princesse de Clèves.
Mme DE LAFAYETTE (1634-1693) MARIE-MADELEINE PIOCHE DE LA VERGNE est née à Paris. Sa mère, devenue veuve, se remarie en 1650 avec lechevalier Renaud de Sévigné, oncle de la marquise. Marie-Madeleine se lie d'une étroite amitié avec la marquise, dehuit ans son aînée. Elle achève de se former le goût auprès du savant Ménage et fréquente l'Hôtel de Rambouillet.Elle est, à cette époque, « fort jolie et fort aimable » (Retz), « toute lumineuse et toute précieuse » (Scarron). En1655, elle épouse le c...