9 résultats pour "louanges"
- 179099 Louange.
- Luang Prabang ou Louang Prabang.
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Laus Deo / Louange à Dieu
Laus Deo Louange à Dieu Cette expression dut sa célébrité au fait qu•etle résumait pour la tradi tion catholique la signification d'une séquence de la Messe appelée Praefatio et Sanctus ( cf. le De Sacramentis faussement attribué à saint Ambroise [CL 154, 4, 4, 14)). Cette fo1111ule fut souvent utilisée au début ou à la fin des traités et des lettres : Franz Joseph Haydn par exemple avait coutume de débuter et de te111,;ner ses...
- La valeur demonstrée a une force atractive qui arrache des bouches et des mains mesmes de l'ignorant, de l'avare et de l'ingrat, des louanges et des couronnes? ? François de La Noue, dans Littré
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l'offrandePartie intégrante de la méditation et de la liturgie, l'offrande esttoujours un geste envers la divinité : humilité, louange, obéissance,prière ou remerciement.
l’offrande Partie intégrante de la méditation et de la liturgie, l’offrande est toujours un geste envers la divinité : humilité, louange, obéissance, prière ou remerciement. C’est une manière de relation directe témoignant du respect ou de la dévotion du fidèle. Les offrandes de lumière et d’eau sont les plus courantes : une lampe brûle en permanence sur tout autel tibétain. Le Précieux Maître lui-même, Padmasambhava, avait affirmé il y a une douzaine de siècles de cela que l’eau des hautes terr...
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Paul-Joseph Barthez1734-1806Le chancelier Paul-Joseph Barthez n'admettait point qu'on lui rappelât son universelleculture, tant il craignait qu'une telle louange empêchât de voir en lui avant tout un médecin.
Paul-Joseph Barthez 1734-1806 Le chancelier Paul-Joseph Barthez n'admettait point qu'on lui rappelât son universelle culture, tant il craignait qu'une telle louange empêchât de voir en lui avant tout un médecin. Et pourtant, cet homme avait tout lu, tout retenu. Barthez fut l'auteur fameux des Éléments de la science de l'homme. Il fut aussi un juriste distingué, et il compta parmi les conseillers à la Cour des Aides de Montpellier. L'Académie des Inscriptions a couronné de lui deux mémoires hi...
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« Le philosophe se sert de la fiction comme d'une grille à travers laquelle l'esprit du lecteur doit saisir une intention et une pensée. Dans la mesure où elle renvoie à cette pensée, la fiction est un prétexte et le lecteur doit sentir comme telle ». Vos connaissances du conte voltairien vous permettent-elles d'expliquer cette affirmation ?
Cette citation met en regard deux mondes : d'un côté, le monde du philosophe, qui manie "l'intention" et la "pensée",c'est-à-dire les idées; de l'autre, le monde de l'écrivain et du lecteur, qui repose sur la "fiction". Ces deux mondes sontsupposés se rencontrer dans le genre de la fiction philosophique. Les contes philosophiques de Voltaire peuvent en fournirun parfait exemple : ils sont constitués de courtes fictions, qui reposent sur l'art de la simplification et du grossissement,dans le but...
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FRANÇOIS DE MALHERBE
FRANÇOIS DE MALHERBE (1555-1628) Dernier des grands poètes de cour, Malherbe a contribué à renforcer la vision péjorative qu'on se fait d'un artofficiel, comme voué à une pompe sans âme. Il mérite cependant d'être visité et admiré dans sa poésiemonumentale. Il ne trouva sa mesure qu'à partir de 1605, quand il parvint à la cour d'Henri IV : c'est à ce momentque ses idées s'ordonnent et que, de ses essais antérieurs, qui avaient frappé ses amis par leur puissance, sedégage le t...
- moliere