22 résultats pour "ingres"
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Ingres
INGRES 1180-1861 SI Delacroix passe pour le chef du romantisme français au XIXe siècle, Ingres est considéré comme celui du classicisme. Peut-être le furent-ils du fait des circonstances, dans cette politique des arts qui n'est souvent pas moins systématique et passionnée que l'autre. Mais la réalité, leur réalité fut plus complexe. Certes, M. Ingres est bien ce qu'on attend d'un chef du parti de l'ordre et de la tradition: autor...
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PEINTURE: Jean Ingres (1780-1867)
Jean Ingres (1780-1867) Un gardien de la tradition académique. Jean-Auguste-Dominique Ingres est originaire de Montauban. Ses dons pourle dessin et la musique se révèlent très tôt, et son père, un sculpteur ornemaniste, encourage l'éclosion de savocation. A 11 ans, on l'emmène à Toulouse où il entre dans l'atelier du peintre Roques dont il partage l'admirationpour Raphaël. En 1797, Ingres vient à Paris où David l'accueille dans son atelier. L'élève subit profondémentl'influence du maî...
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Jean Auguste Dominique Ingres par René HuygheProfesseur au Collège de France Si Delacroix passe pour le chef du romantisme français au XIXe siècle,Ingres est considéré comme celui du classicisme.
Jean Auguste Dominique Ingres
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Jean Auguste Dominique Ingres Né à Montauban, Jean Auguste Dominique Ingres forma et développa sestalents de dessinateur et de musicien auprès de son père, un sculpteur etportraitiste de renom.
Jean Auguste Dominique Ingres
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Jean-Dominique INGRES:LA GRANDE BAIGNEUSE.
Jean-Dominique INGRES LA GRANDE BAIGNEUSE Tout au long de sa vie, Ingres a été fasciné par le corps de la femme. Passionné par l'Orient, il brosse de nombreux nus dans des décors de harem, avec une liberté d'interprétation qui déconcertera la critique. De 1 806 à 181 0, Ingres séjourne à la villa Médicis, à Rome, pour se familiari ser avec la peinture italienne. Son ambition est de deve nir «peint re d'histoire». S'il est tenté par d...
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Jean-Dominique INGRES:LE BAIN TURC.
Jean-Dominique INGRES LB BAIN TURC Apr ès de longues recherches, Ingres se lance dans son œuvre maîtresse , « Le Bain turc ~, à quatre-vingt-deux ans. Napoléon échangera le tableau contre un autoportrait , la nudité des baigneuses ayant choqué son épouse. En 1808, Ingres peint La Grande Baigneuse, plus familièrement connue sous le nom de Bai gneuse Va/pinçon, et La Petite Baigneuse. On retrouve le même modèle assis de dos...
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Dominique Ingres, Œdipe explique l'énigme du Sphinx.Voltaire, Zadig.Voltaire, Le Monde comme il va.
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L'oeuvre de Ingres OEuvre abondante (trois cents tableaux environ).
L’ œ uvre de Ingres
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Federico de Madrazo1815-1894Né à Rome, mort à Madrid; élève favori d'Ingres.
Federico de Madrazo 1815-1894 Né à Rome, mort à Madrid; élève favori d'Ingres. Au Prado : trois Portraits .
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CHASSERIAU, Théodore (1819-1856)Peintre, il entre dès l'âge de onze ans dans l'atelier d'Ingres.
CHASSERIAU, Théodore (1819-1856) Peintre, il entre dès l'âge de onze ans dans l'atelier d'Ingres. Le style qui lui est propre est la réconciliation entre le dessin et la couleur, deux anciennes tendances rivales.
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Hippolyte Flandrin1809-1864Peintre religieux et portraitiste, né à Lyon, mort à Rome ; élève d'Ingres.
Hippolyte Flandrin 1809-1864 Peintre religieux et portraitiste, né à Lyon, mort à Rome ; élève d'Ingres. A Versailles : Napoléon III, l'Artiste ; au Louvre : Portrait de jeune fille ; décorations dans certaines églises parisiennes.
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Théodore Chassériau1819-1856Né à Sainte-Barbe-de-Samana (Saint-Dominique) d'une famille originaire de La Rochelle,mort à Paris très peu de temps élève d'Ingres.
Théodore Chassériau 1819-1856 Né à Sainte-Barbe-de-Samana (Saint-Dominique) d'une famille originaire de La Rochelle, mort à Paris très peu de temps élève d'Ingres. D'abord fidèle à ce maître par son dessin et son sens do la décoration, il se laissa influencer par Delacroix et par l'Orient. Ses œ uvres comptent parmi les plus belles de la fin du Romantisme. Au Louvre : Lacordaire, les Deux Sœurs, le Tepidarium ; décorations à Saint-Philippe-du-Roulé, Saint-Roch, la Cour des comptes (celle-ci e...
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Barthélemy Menn1815-1893Un des meilleurs peintres de la Suisse romande, né à Genève, élève de Lugardon etd'Ingres à Paris où il se fixa après le voyage d'Italie ; il se lia avec Corot, Daubigny,Rousseau, Delacroix.
Barthélemy Menn 1815-1893 Un des meilleurs peintres de la Suisse romande, né à Genève, élève de Lugardon et d'Ingres à Paris où il se fixa après le voyage d'Italie ; il se lia avec Corot, Daubigny, Rousseau, Delacroix. Rentra a Genève en 1850 ; eut Hodler parmi ses élèves. Au Musée de Genève, une salle lui est consacrée ; à Berne : Portraits de J.-M. Baud.
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INGRES, Jean Auguste Dominique(15 septembre 1780-14 janvier 1867)PeintreFormé à son arrivée à Paris en 1797 dans l'atelier de David, il obtient, en1801, le premier grand prix de Rome.
INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l’atelier de David , il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome. Il n’y part qu’en 1806, après avoir peint les portraits du Premier consul et de l’Empereur. En raison des critiques dont ces portraits ont été l’objet, il ne revient en France qu’en 1824, après avoir longuement étudié Raphaël, qu’il admire et dont il a copié des bas-reliefs. Il est directeur de la villa Médi...
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INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l'atelier de DavidF197, il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome.
INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l’atelier de David , il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome. Il n’y part qu’en 1806, après avoir peint les portraits du Premier consul et de l’Empereur. En raison des critiques dont ces portraits ont été l’objet, il ne revient en France qu’en 1824, après avoir longuement étudié Raphaël, qu’il admire et dont il a copié des bas-reliefs. Il est directeur de la villa Médi...
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SEURAT, Georges Pierre(2 décembre 1859-29 mars 1891)PeintreSi depuis 1876 il tient un pinceau, il ne rentre à l'Ecole des beaux-artsqu'en 1878, dans l'atelier d'Henri Lehman, qui est un disciple d'Ingres.
SEURAT, Georges Pierre (2 décembre 1859-29 mars 1891) Peintre Si depuis 1876 il tient un pinceau, il ne rentre à l’Ecole des beaux-arts qu’en 1878, dans l’atelier d’Henri Lehman, qui est un disciple d’ Ingres . C’est en 1883 que pour la première fois Seurat expose au Salon. Le portrait de son ami Aman-Jean est représentatif de la technique singulière que Seurat élabore alors, sur un papier à grain qu’il gave plus ou moins de matière avec le crayon Comté ou avec le fusain, modulant les formes d’...
- Jean-Dominique INGRES:LA SOURCE.
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Georges Seurat Parisien de naissance, Georges Seurat suivit l'enseignement classique d'unancien élève d'Ingres, le peintre Henri Lehmann, à l'école des Beaux-Arts.
Georges Seurat
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« Il y aura toujours, dit Théophile Gautier, des âmes artistes à qui les tableaux d'Ingres ou de Delacroix sembleront plus utiles que les chemins de fer ou les bateaux à vapeur ». qu'en pensez-vous ?
Introduction : a) Théophile Gautier appartient à la génération de ces romantiques qui, au nom de l'art, condamnaient lespréoccupations utilitaires de leurs contemporains, en un siècle où les applications techniques des découvertesattiraient l'attention du public.b) Aussi s'est-il plu à opposer deux sortes d'esprits : les « âmes artistes », avant tout sensibles à la Beauté, et lesautres, plus pratiques et plus positives, préoccupées d'abord de problèmes matériels.c) Que faut-il pe...
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LE ROMANTISME : ARTS PLASTIQUES (1815-1840)
LE ROMANTISME : ARTS PLASTIQUES (1815-1840) Au Salon de 1827, deux tableaux symbolisaient les deux tendances qui s'opposaient alors dans la peinture :l'Apothéose d'Homère, de Jean-Dominique Ingres, et le Christ au jardin des Oliviers, d'Eugène Delacroix. Ingresconseillait à ses élèves, devant les tableaux de Rubens : «Saluez, mais ne regardez pas», alors que Delacroix disait :«Voyez un enfant de Rubens : c'est [...] la vie sortant à pleins bords de la toile.» Malgré son jeune âge...
- odalisque