6 résultats pour "gassendi"
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Biographie de GASSENDI (Pierre Gassend, dit).
GASSENDI (Pierre Gassend, dit). Né près de Digne en 1592, mort à Paris en 1655. Professeur de rhétorique à Digne en 1608, docteur en théologie à Avignon en 1614, il entra dans les ordres et futprofesseur à l'Université d'Aix en 1617. Prévôt de l'église de Digne en 1626, il fut professeur de mathématiques anCollège de France de 1645 à 1648. Il se livra à des recherches d'astronomie et de physique. Critique d'Aristote etinfluencé par Épicure et Lucrèce, toute connaissance est pour lui d'origine s...
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GASSENDI, abbé Pierre Gassend dit (1592-1655)Philosophe et mathématicien, adversaire de la philosophie d'Aristote et de Descartes, il est partisan d'une morale épicurienne, fondée sur le plaisir de la sérénité.
GASSENDI, abbé Pierre Gassend dit (1592-1655) Philosophe et mathématicien, adversaire de la philosophie d’Aristote et de Descartes, il est partisan d’une morale épicurienne, fondée sur le plaisir de la sérénité.
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PIERRE GASSENDI : RECHERCHES METAPHYSIQUES (Résumé & Analyse)
1 / 2 Pierre Gassendi 1644 Recben:bee aaftapbyslq Est-il juste de dire: «Je pense, donc je suis»? ~Le fait de penser prouve mon existence. Il s'agit-là de la toute première vérité dont découlent toutes les autres. 49 Dire: «Je pense , donc je suis», c'est dire deux fois la même chose . Le prob lème est de savoir ce que je suis. 2 / 2
- Et d'ailleurs l'aiman tout petit qu'il est, peut avoir une plus grande quantité de rayons attractifs ramassez, qu'il n'en sort du petit endroit de terre qui est egal à celuy qu'occupe l'aiman. ? François Bernier, Abrégé de la philosophie de M. Gassendi
- Ce respect qu'ils ont pour le maistre de la maison, ces caresses qu'ils luy font, et cette amitié qui va jusques à se laisser mourir de faim, et de tristesse quand ils le voyent mort, ou malade ; ces malices de singes ; cette docilité etonnante des elefans? ? François Bernier, Abrégé de la philosophie de M. Gassendi
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Le scepticisme épicurien
Le scepticisme épicurien L'influence de Montaigne pénètre en profondeur un public discret de lettrés. La génération de ses disciples — Mlle deGournay et surtout Charron dans son livre De la Sagesse (1601) — le fait connaître, non sans atténuerpassablement ses hardiesses. L'heure n'est en effet ni à la tiédeur ni à la tolérance. Les adeptes de l'esprit critiqueappliqué sans restriction reçoivent le nom de libertins, appellation qui ne va pas sans faire courir des risques à ceuxqu'elle dési...