10 résultats pour "dégoûts"
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Montesquieu confie dans ses Cahiers : « l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté ». qu'en pensez-vous ? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement moral, intellectuel...) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant,non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encoremoins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire,cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la sécher...
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La « dégoûtation » de la vie: Fin de partie de Beckett
de la vie La « dégoûtation »Par certains de ses aspects, Fin de partie est une des pièces les plus sombres qui soient. Les corps s'y décomposent, parce que vivre, c'est déjà lentement mourir. Aussi les personnages ne peuvent-ils que haJr l'existence. LA DÉCOMPOSITION DES CORPS Beckett insi�^1 sur les détails physiques ou physiologiques les moins agréables, sur ceux dont ordinairement on ne parle pas. Le corps devient ainsi un objet de répulsion, voué...
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l'étude a toujours été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé (Montesquieu) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant,non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encoremoins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire,cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la sécher...
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Ecrivez un conte à partir de cette moralité :
« Quand d'une charmante beauté
Le galant fait le dégoûté
Il a beau dire, il a beau feindre
C'est qu'il n'y peut atteindre ».
Situez votre conte à l'époque contemporaine, sur des oppositions simples, un schéma narratif très net, la présence du merveilleux et les interventions du narrateur
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Écrivez un conte à partir de cette moralité : « Quand d'une charmante beautéLe galant fait le dégoûtéIl a beau dire, il a beau feindreC'est qu'il n'y peut atteindre ». Situez votre conte à l'époque contemporaine, sur des oppositions simples, un schéma narratif très net, la présence du merveilleux et les interventions du narrateur . « Quand d'une charmante beautéLe galant fait le dégoûtéIl a beau dire, il a beau feindreC'est qu'il n'y peut atteindre » et notre histoire va de nouveau confi...
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Montesquieu (1689-1755) confie dans ses Cahiers : « L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté. » Qu'en pensez-vous? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement intellectuel, moral, connaissance de l'homme et de son destin, connaissance des hommes, appel à l'imaginaire...)?
Montesquieu (1689-1755) confie dans ses Cahiers : « L'étude a été pour moi le souverain remède contre lesdégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté. » Qu'en pensez-vous? Quel rôleassignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissementintellectuel, moral, connaissance de l'homme et de son destin, connaissance des hommes, appel à l'imaginaire...)? Introduction. 1. a) Le rôle de la lecture : moye...
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« Tout journal, de la première ligne à la dernière, n'est qu'un tissu d'horreurs. Guerres, crimes, vols, impudici-tés, tortures, crimes des princes, crimes des nations, crimes des particuliers, une ivresse d'atrocité universelle. Et c'est de ce dégoûtant apéritif que l'homme civilisé accompagne son repas de chaque matin. Tout, en ce monde, sue le crime : le journal, la muraille et le visage de l'homme.
Je ne comprends pas qu'une main pure puisse toucher un journal sans une convulsion d
« Tout journal, de la première ligne à la dernière, n'est qu'un tissu d'horreurs. Guerres, crimes, vols, impudici t�K tortures, crimes des princes, crimes des nations, cri mes des particuliers, une ivresse d'atrocit� universelle. Et c'est de ce d�6D]O+BO ap�H9O95 que l'homme civilis� accompagne son repas de chaque matin. Tout, en ce monde, sue le crime : le journa1;-1a muraille et le visage de l'homme. Je ne comprends pas qu'une main pure puisse toucher...
- Ténia:Une créature dont le seul nom inspire le dégoût.
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Ion Luca Caragiale
Ion Luca Caragiale Né en 1852, dans les environs de Bucarest, Ion Luca Caragiale écrivit d'excellents contes et quelques pièces de théâtre qui "révolutionnèrent " le théâtre roumain, facile à révolutionner, puisqu'il n'existait pour ainsi dire pas. En fait, il le créa. Par la valeur de sescomédies de mœurs et de caractères, écrites, hélas ! dans une langue sans circulation mondiale, Caragiale est, probablement, le plusgrand des auteurs dramatiques inconnus. Dégoûté par la société...
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L'évolution poétique de Stéphane MALLARME
Stéphane Mallarmé apparaît, lors de ses débuts dans la poésie, comme un disciple de Baudelaire, dont il imite l'art etl'inspiration : il exprime son dégoût de la réalité vulgaire et son besoin d'idéal. Son originalité commence à sedégager nettement dans Hérodiade et L'Après-Midi d'un faune. Mais son influence s'exerce surtout à partir de 1884, grâce aux réunions du mardi qui se tiennent dans son appartement, rue de Rome. Pour ses disciples, Mallarmé tentede définir et de réaliser l'amb...
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JEAN DE LA BRUYÈRE
JEAN DE LA BRUYÈRE Homme d'un seul livre (les Caractères, 1re éd. 1688) et seul écrivain d'un genre, qu'il inaugure et porte à sa perfection, La Bruyère paraît, en littérature, aussi isolé qu'il le fut dans son existence d'homme de lettres,précepteur dans la famille des Condé. Il est peint comme moqué par les grands et traité avec condescendance parses amis, qui soulignent la touchante volonté de plaire de ce « fort bon homme ». Son livre semble le négatif de sapersonne. Acharné d...