10 résultats pour "ébloui"
-
Examinez et discutez ce jugement d'un critique contemporain : « Don Juan est un personnage total, héros et antihéros : il est tour à tour médiocre et grandiose, ridicule et éblouissant. On ne sait s'il brave Dieu par orgueil, par obstination ou par lassitude. Est-il un héros libre et fier ou un marginal hors-la-loi et traqué, à moitié ruiné, vieux avant l'âge et brûlant de ses derniers feux ? »
Examinez et discutez ce jugement d'un critique contemporain : « Don Juan est un personnage total, héros et antihéros : il est tour à tour médiocre et grandiose, ridicule et éblouissant. On ne sait s'il brave Dieu par orgueil, par obstination ou par lassitude. Est-il un héros libre et fier ou un marginal hors-la-loi et traqué, à moitié ruiné, vieux avant l'âge et brûlant de ses derniers feux ? » Remarques méthodologiques préalables 1. La citation présente...
-
Sujet : Balzac, Le Lys dans la vallée: Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle. Commentaire
Sujet : Balzac, Le Lys dans la vallée. « Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui s'ourdirent en mon coeur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler, des épaules légèrement rosées qui semblaient rougir comme si elles se trouvaient nues pour la première fois, de pudiques...
- Soudain, une intense et éblouissante lueur fut produite avec un insoutenable éclat entre les deux pointes de charbon. Jules Verne, Cinq Semaines en ballon, ABU, la Bibliothèque universelle
-
BANVILLE, Théodore de (1823-1891)Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc.
BANVILLE, Théodore de (1823-1891) Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc. D’une dizaine de pièces de théâtre, seuls sont restés Gringoire (1866) et Socrate et sa femme (1885).
- Les Eblouissements Pierre Mertens
- La Belle EpoqueElle a laissé des souvenirs éblouissants.
- La Belle Epoque:Elle a laissé des souvenirs éblouissants.
- Élisabeth JACQUETdeIAGUERREVers 1669 - Paris1729 - ParisEn 1677, une petite fille d'à peine dix ans éblouitla cour par ses dons éblouissants de musicienne.
-
-
Gérard de Nerval par Louise de Vilmorin Le souvenir de mes belles cousines, ces intrépides chasseresses que je promenaisdans les bois, belles toutes deux comme les filles de Léda, m'éblouit encore etm'enivre.
Gérard de Nerval
-
Première rencontre - Le Rouge et le Noir de Stendhal (commentaire)
Première rencontre Mme de Rênal, femme du maire de Verrières, redoute la venue d'un précep teur engagé par son mari et dont elle craint la sévérité pour ses enfants. Le jeu ne Julien Sorel, encore bouleversé par des brutalités de son père, se présente, très intimidé. ' Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regard des hommes, Mme de Rénal sortait par la porte fenêtre du salon...