222 résultats pour "académie"
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Les virus : rien n'est gagné Entretien avec le professeur Luc MontagnierDirecteur de recherche au CNRS, membre de l'Académie de médecine.
Les virus : rien n’est gagné
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Alexandre le Grand par Claire PréauxMembre de l'Académie Royale de Belgique Alexandre a voulu survivre dans la mémoire des hommes.
Alexandre le Grand
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Marcel Proust par André Mauroisde l'Académie Française Quelques écrivains, fort rares, ont inventé ou renouvelé un genre.
Marcel Proust
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La fin du siècle par André Billyde l'Académie Goncourt La fin siècle commence en 1885, à la mort de Victor Hugo.
La fin du siècle
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La Pérouse par André Reussnerde l'Académie de marine, Paris Y eut-il jamais homme dont les dehors éveillent moins l'idée du sublimeque La Pérouse ?
La Pérouse
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Paul Valéry par Roger Cailloisde l'Académie française Paul Valéry est né à Sète le 30 octobre 1871.
Paul Valéry
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Friedrich von Schiller Schiller vit le jour à Marbach, fils d'un fonctionnaire qui l'envoya à treizeans dans l'Académie militaire du duc de Wurtemberg.
Friedrich von Schiller
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La clinique médicale au XIXe siècle par Maurice Loeperde l'Académie de médecine, Paris La clinique est la soeur de la pathologie et la médecine est faite de leurunion.
La clinique médicale au XIXe siècle
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Jules Renard par André Billyde l'Académie Concourt A la date du 10 décembre 1909, on lit dans le Journal de Jules Renard :" Dîner Goncourt.
Jules Renard
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James Clerk Maxwell Orphelin de mère, Maxwell fut élevé par son père, homme excentrique, qui l'envoya étudier à l'Académie d'Édimbourg.
James Clerk Maxwell
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Pierre Augustin de Beaumarchais par Armand Salacroude l'Académie Goncourt Le fils Caron vint au monde, rue Saint-Denis, le 24 février 1732.
Pierre Augustin de Beaumarchais
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Honoré de Balzac par Jules Romainsde l'Académie française Balzac, parmi les écrivains du passé, est un de ceux dont nous connaissonsle mieux la biographie et l'ensemble des attaches terrestres.
Honoré de Balzac
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Marianne Moore par Marcel Brionde l'Académie française La personnalité de Marianne Moore et sa carrière constituent un desphénomènes les plus curieux de la littérature américaine actuelle.
Marianne Moore
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L'Église catholique de 1789 à 1914 par Roger AubertMembre de l'Académie Royale de Belgique La Révolution française inaugure l'un des " tournants " les plus décisifs del'histoire de l'Église.
L'Église catholique de 1789 à 1914
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Charles Baudelaire par Marcel Arlandde l'Académie française Les poètes ne sont pas si nombreux, qui n'éveillent pas moins de tendresseen nous que d'admiration ; moins nombreux encore, ceux qui gardent àtravers les années, dans notre esprit et dans notre coeur, la même place.
Charles Baudelaire
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Saint-Simon par Jean Dutourdde l'Académie française Ce qui rend d'ordinaire les " Mémoires " si ennuyeux, c'est que leursauteurs attendent un âge avancé Pour les écrire.
Saint-Simon
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Lola Montès par Alexandre Arnouxde l'Académie Goncourt Une des plus singulières, des plus tumultueuses, des plus insolites parmices grandes aventurières qui ont abondé pendant la période romantique.
Lola Montès
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Pétrone Raymond Queneaude l'Académie Goncourt " La mentalité primitive " qui faisait florès au temps où je préparais enSorbonne mon certificat de morale et sociologie, déjà contestée alors, amaintenant fait long feu.
Pétrone
- Jean- Pierre Norblin de La Gourdaine1745-1830Né à Mézy-en-Champagne, mort Paris, il se rendit à Varsovie en 1772 a, y fondal'Académie de peinture, peut être considéré comme le chef de l'école nationale polonaise.
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Jules Emile Péan par Raoul Ch-Monodde l'Académie de chirurgie, Paris Le nom de Péan évoque une époque étonnante dont, en France, Péan etKoeberlé occupent le premier plan.
Jules Emile Péan
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Alfred de Musset par Emile Henriotde l'Académie française La grande chance de Musset est d'avoir exprimé avec bonheur lessentiments de la jeunesse de son temps, et parmi eux quelques-uns dessentiments de la jeunesse de toujours.
Alfred de Musset
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Oskar Kokoschka par Ludwig MunzDirecteur de la galerie des peintures à l'Académie des Arts, Vienne Dans l'art nouveau du XXe siècle qui s'éloigne de l'impressionnisme, OskarKokoschka, dès sa première apparition en 1908, fait figure d'artisteindépendant.
Oskar Kokoschka
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Johann Wolfgang Goethe par Robert d'Harcourtde l'Académie française Entre toutes les épithètes-clichés qui furent si libéralement octroyées àGoethe, il n'en est peut-être pas qui ait plus efficacement contribué à fausserses traits que celle " d'olympien ".
Johann Wolfgang Goethe
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Jean-Martin Charcot par Jean Lhermittede l'Académie de médecine, Paris Incontestablement Charcot fut le maître de l'école de la Salpêtrière, et il ledemeure pour l'histoire ; mais si la place royale lui revient, ce serait erreurde croire qu'il en fut, comme on l'a écrit, le fondateur.
Jean-Martin Charcot
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Daniel Defoe par Pierre Mac Orlande l'Académie Goncourt Je suis entré en relations avec Daniel Defoe, une récente nuit, dans mondomicile d'Archet dont l'aspect est celui d'une souricière adroitementadaptée à de telles circonstances.
Daniel Defoe
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François Villon par Pierre Mac Orlande l'Académie Goncourt S'il est un visage dont la permanence est assurée dans l'histoiresentimentale du monde et de la poésie catholique, c'est bien celui deFrançois de Montcorbier dit des Loges.
François Villon
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Hermann Minkowski Né en Russie de parents allemands, Minkowski reçut le Grand Prix del'Académie des sciences à dix-huit ans pour la définition d'un entier égal àla somme du carré de cinq entiers.
Hermann Minkowski
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Gertrude Stein par Raymond Queneaude l'Académie Goncourt Aucune oeuvre n'a été plus expérimentale que celle de Gertrude Stein, dansle domaine littéraire s'entend, aucune qui n'ait posé puis résolu tant deproblèmes et de problèmes si nouveaux.
Gertrude Stein
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Jean-Baptiste Chardin par André de Ridderde l'Académie royale des sciences, des lettres et des arts Belgique Si le XVIIIe siècle possède en nombre appréciable des peintresd'imagination, Chardin, lui, est le peintre de la réalité, à vrai dire le seulgrand en France.
Jean-Baptiste Chardin
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Léopold Ier de Saxe-Cobourg par Roger AubertMembre de l'Académie royale de Belgique Né à Cobourg, en Thuringe, le 16 décembre 1790, celui qui allait devenir lepremier roi des Belges était le huitième enfant du duc François.
Léopold Ier de Saxe-Cobourg
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Jean-Baptiste Carpeaux par Luc BenoistConservateur du Musée des Beaux-Arts de Nantes Depuis 1830 les idées romantiques avaient commencé de saper ledogmatisme de la sculpture académique, enseignée par l'École, imposée parl'Institut et récompensée par le jury du Salon.
Jean-Baptiste Carpeaux
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Charles Augustin Sainte-Beuve par Gérard Bauërde l'Académie Goncourt Charles Augustin Sainte-Beuve, qui eût pu sans usurpation ajouter uneparticule à son nom, est né à Boulogne-sur-Mer, 146, rue du Pot d'Étain, le23 décembre 1804.
Charles Augustin Sainte-Beuve
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René Laennec par Édouard Ristde l'Académie de médecine, Paris René-Théophile-Hyacinthe Laennec naquit à Quimper le 17 février 1781 etmourut au manoir de Kerlouarnec près de Douarnenez le 13 août 1826, âgéde 45 ans.
René Laennec
- POMPIGNAN, Jean-Jacques Lefranc, marquis de (1709-1784) Ecrivain, poète de l'Académie française, il est l'auteur de pièces à sujet mythologique : Didon (1734), Léandre et Héro (1750) et de poèmes : Poésies sacrées (1751-1763), à l'imitation des Psaumes.
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Blaise Cendrars «Académie Medrano» Sonnets dénaturés 1923 Quel procédé d’écriture nous annonce que le poème est un « Art poétique » et que faut-il en déduire ?
Blaise Cendrars «Académie Medrano» Sonnets dénaturés 1923 Quel procédé d’écriture nous annonce que le poème est un « Art poétique » et que faut-il en déduire ? Comment Cendrars montre-il le lien enttre le cirque et la poésie ? De quel style de poésie s’agit-il ? Qu’en pense Cendrars ? Préciser les enjeux de la poésie moderne d’après Cendrars Expliquer en quoi ces deux mots semblent en opposition ACADEMIE MEDRANO A Conrad Moricand Danse avec ta langue, Poète, fais un ent...
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PEINTURE: Jean-Baptiste Greuze (1725 - 1805)
Jean-Baptiste Greuze (1725 - 1805) Greuze fut l'un des peintres les plus admirés de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Il peignit surtout des scènesfamiliales avec une intention moralisatrice. Ses compositions théâtrales, peuplées de personnages aux physionomieset aux attitudes pathétiques, furent louées par Diderot pour leur expressivité, mais nous semblent aujourd'hui d'unesentimentalité outrancière. La peinture de genre.Originaire de Tournus, Greuze étudia chez un peintre de Lyon, puis gagna...
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FONTENELLE: sa vie, son oeuvre.
FONTENELLE (1657-1757) BERNARD LE BOVIER DE FONTENELLE est le neveu des frères Corneille. Parenté illustre qui lui sert de tremplin pour selancer dans la littérature. Il se croit d'abord une vocation de poète. Il écrit des tragédies, des comédies, deséglogues et jusqu'à des livrets pour les opéras de Lulli. Par solidarité envers ses oncles, il prend position contreRacine et Boileau, ce qui le pousse dans le clan des modernes. Il partage son temps entre Rouen et Paris et ne sefixe dans...
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Seigneur de Saint-Évremond
Seigneur de Saint-Évremond1616-1703 Charles de Marguetel de Saint-Denis, seigneur de Saint-Évremond, s'exila en 1661 pour une raison demeuréeobscure et passa en Angleterre les quarante-deux dernières années d'une très longue vie. Sa fidélité auxadmirations de sa jeunesse et de sa maturité s'explique ainsi et il est hostile à Racine, à qui il préfère Corneille. LesPrécieuses et les Libertins du temps de Louis XIII occuperont toujours dans son esprit une place plus grande que lesaffaire...
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Fontenelle
Fontenelle (1657-1757) Sa vie, son caractère. — Bernard le Bovier de Fontenelle naquit en 1657, à Rouen. Il était le neveu des Corneille et c'est leur gloire qui l'attira à Paris et leur influence qui lui fit une place de bonne heure dans les lettres. Il débuta auMercure galant par des vers précieux et au théâtre par des pièces fades,dont Aspar (1680), célèbre à cause de l'invention du sifflet qui daterait de sa première représentation. Ses Dialoguesdes Morts et ses Entretiens sur la Pluralité...
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Madame Simone
Madame Simone1877-1985 Née à Paris, élève au lycée Racine. Étudiante à la Sorbonne, Pauline Benda suivit les cours de Boutroux et deFaguet et, au Collège de France, ceux de Ribot et de Pierre Janet. S'intéressant à la pathologie expérimentale, ellesongea à se consacrer à l'étude des maladies mentales. Mais sa famille s'opposa à ce projet et lui fit prendre descours de diction, qu'elle suivit sans conviction. Sarah Bernhardt, pourtant, la décida à paraître sur scène : elledébuta au Gymn...
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PEINTURE: Mme Vigée-Lebrun (1755-1842)
Mme Vigée-Lebrun (1755-1842) Cette femme peintre s'est fait connaître par ses talents de portraitiste, mais sa célébrité est aussi due au faitqu'elle fut le peintre attitré de la reine, Marie-Antoinette, et son amie. Ce qui l'obligea à quitter la France à laRévolution. Des professeurs prestigieux. Elisabeth-Louise Vigée, après un séjour au couvent très jeune, étudia le pastel avec son père, le portraitiste LouisVigée (1715-1808), puis elle eut comme professeur Vernet et Greuze. Le portra...
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PEINTURE: Jean-Baptiste Chardin (1699-1779)
Jean-Baptiste Chardin (1699-1779) Un talent discret. Né à Paris, sur la rive gauche où il passera la plus grande partie de sa vie, Chardin, fils d'unmenuisier-ébéniste, est attiré très jeune par la peinture. Entré à l'atelier de Coypel, il est reçu maître par l'AcadémieSaint-Luc en 1724. Il expose d'abord des natures mortes dont La Raie et Le Buffet. Protégé par Largillière, il entre àl'Académie des beaux-arts en 1728. Avec Van Loo, il restaure la galerie François-Ier à Fontainebleau. Vers 1733...
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PEINTURE: Quentin de La Tour
Quentin de La Tour Virtuose du pastel, La Tour fut le grand portraitiste du milieu du XVIIIe siècle. Avide de saisir la plus fugitiveexpression de ses modèles, il insufflait une vie intense à ses tableaux. Sa renommée lui valut de nombreusescommandes de personnages en vue. Curieux de tout, il fréquenta les encyclopédistes. L'art du pastel. Né à Saint-Quentin, Maurice Quentin Delatour - il écrivit plus tard son nom en trois mots - fut attiré très jeune parle dessin ; il commença...
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Vie et oeuvre de D'ALEMBERT
Fils naturel de Mme de Tencin, il est abandonné à sa naissance sur les marches de l'église Saint-Jean-le Rond etreçoit pour cette raison le nom de Jean Le Rond. Il se fera appeler JEAN LE ROND D'ALEMBERT et, plushabituellement, D'ALEMBERT. Il est recueilli et élevé par la femme d'un vitrier, pour laquelle il gardera toujours uneaffection filiale. Grâce à la sollicitude discrète de son père, le chevalier Destouches, il reçoit une éducation soignéeet la précocité de son génie mathémat...
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Analyse de l'oeuvre de COLETTE
COLETTE (1873-1954) GABRIELLE COLETTE a passé son enfance et sa jeunesse à Saint-Sauveur en Puisaye, où elle est née. Sa personnalité, sesgoûts, ont été modelés par l'influence de sa terre natale, à laquelle est associée dans son oeuvre l'image de ceux qu'elle aaimés, particulièrement de sa mère, une femme intelligente et fine, que dans la famille on appelait Sido. A vingt ans, elle semarie avec aventurier des lettres, Henri Gauthier-Villars dit Willy, qui découvre le talent de sa jeune femme. D...
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PEINTURE: François Rude (1784-1855)
François Rude (1784-1855) Une inspiration neuve. François Rude voit le jour à Dijon le 4 janvier 1784. Il doit embrasser très jeune la professionde son père, un poêlier-fumiste, qu'il aide dans l'atelier familial. Vers l'âge de 16 ans, attiré par les arts, Rude obtientde suivre les cours de l'Ecole des beaux-arts de Dijon. Il est l'élève de Devosge qui lui fait découvrir l'art antique.D'évidentes dispositions pour la sculpture lui valent d'entrer, en 1807, dans l'atelier parisien du très acadé...
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Montesquieu: morale et politique
MONTESQUIEU (1689-1755) CHARLES LOUIS DE SECONDAT, né au château de La Brède, appartient à une famille de parlementaires bordelais.Afin de le rappeler, s'il en était besoin, au sentiment de la fraternité humaine, on lui donne pour parrain un mendiant.Après avoir été l'élève des oratoriens de Juilly, il étudie le droit. En 1714, il devient conseiller au Parlement deBordeaux. Son oncle MONTESQUIEU, dont il porte déjà le nom depuis 1708, lui lègue en 1716 sa charge de présidentà mortier. Tou...
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HENRY DE MONTHERLANT: vie et oeuvre
HENRY DE MONTHERLANT C'est, comme le disait Gide, « un seigneur des lettres ». 11 appartient à un milieu où l'on pouvait encore, avant 1914, faire des étudessans préoccupations utilitaires. Courageux jusqu'à la témérité, il estoque à quinze ans deux taureaux dans les arènes de Burgos. Il fait laguerre. Il y reçoit une grave blessure. Ses premiers ouvrages exaltent la camaraderie des combats et la grandeur du sport désintéressé. Ilest blessé à la poitrine par un taureau. Obligé de renoncer au spo...
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Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèseunique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » L'idée à suivre dans la composition étant unique, on n'aura qu'un seul développement. Par « grands ouvrages », ilfaut entendre le Discours à l'Académie de Dijon, le Discours sur l'inégalité, la Lettre sur les spectacles, la NouvelleHéloïse, l'Emile, le Contrat Social, les Confes...
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Riccardo Bacchelli
Riccardo Bacchelli1891-1985 Né à Bologne, mort à Monza. Essayiste, romancier, historien, auteur de biographies, membre de l'Académie d'Italie,de l'Académie dei Lincei ; c'est un écrivain nourri d'humanisme. Il doit sa célébrité à son roman : Il mulino del Po, 3vol. (1938-1940). On trouve dans sa bibliographie de nombreuses oeuvres intéressantes couronnées de succès : Losa il tonno (1923), délicieuse fable inspirée par la vie marine ; Il diavolo a Pontelungo (1927), récit mouvementé,représentatio...