249 résultats pour "rousseau"
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Je hais les livres; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas, écrit Jean Jacques Rousseau dans son essai sur l'éducation, Emile. Vous discuterez ce point de vue.
Définition des termes du sujet Il s'agit ici d'expliquer et critiquer le point de vue de Rousseau selon lequel les livres seraient haïssables,en interrogeant la raison pour laquelle il déclare cela : « ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne saitpas ». Il faut d'abord s'interroger sur le contexte de cette déclaration : celle-ci prend en effet place dansun traité sur l'éducation, et c'est donc en particulier la valeur pédagogique et formatrice des livres qui esten jeu (et notamment dans le co...
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Quelle est la thèse défendue par Jean-Jacques Rousseau dans Le Contrat social (1762) ?
Quelle est la thèse défendue par Jean-Jacques Rousseau dans Le Contrat social (1762) ? a) La société corrompt l'homme : il faut donc revenir à l'état de nature.b) L'État s'incarne dans une personne unique, élue par Dieu et chargée du destin de ses sujets.c) L'État doit être fondé sur une communauté de citoyens qui se donnent ensemble, de façon autonome et volontaire, les lois qu'ils doivent suivre. réponse c)L'idéal politique de Rousseau est un idéal démocratique, puisqu'il imagine dans Le...
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Analyse des Rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau Passage extrait de la 5ème promenade, depuis «Quand le soir approchait» jusqu’à «encore quelque chose après?»
Analyse des Rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau Passage extrait de la 5 ème promenade, depuis « Quand le soir approchait » jusqu’à « encore quelque chose après ? » Les Rêveries du promeneur solitaire est un ensemble inachevé de dix promenades écrit par Jean-Jacques Rousseau et publié posthume en 1782. Il s’inscrit ainsi dans le XVIII ème siècle, celui des Lumières, caractérisé par la tolérance, la raison et l...
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Emile, II de Jean-Jacques Rousseau - Analyse de texte
Emile, Il de Jean-Jacques Rousse au i LAVTT:VR. C'est en quelque sorte Diderot qui fait rentrer Rousseau en littérature, en lui confiant les articles de l'Encyclopédie consacrés à la musique. Mais c'est une « illumination », surgie en 1 7 49 à la lecture d'une question mise au concours par l'académie de Dijon, qui fit de lui « un autre homme», lui ouvrant « un autre univers » : celui de la réflexion philosophique. Son œuvre, constituée à la...
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L'écrivain Michel Leiris, dans la préface de son autobiographie L'Âge d'homme, écrit qu'il essaie de trouver dans le lecteur « moins un juge qu'un complice».Pensez-vous que Rousseau cherche à établir, dans les quatre premiers livres des Confessions, le même type de relation avec son lecteur ?
[Introduction] Rousseau veut montrer, dans les Confessions, « un homme dans toute la vérité de la nature ». Il va tracer le parcours de sa vie, en essayant d'être le plus précis possible, le plus près possible de la vérité, jusqu'au moindre détail. Qui alors le connaîtra mieux que son lecteur, spectateur privilégié de sa vie? Une complicité, un lien particulierva donc se créer entre l'auteur et son lecteur. Pourtant, ce lien demeurera ambigu, car l'objectif de l'oeuvre estdouble : il faut...
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Rousseau a été certainement un précurseur des romantiques par dés tendances qu'on retrouvera chez ces derniers. Toutefois ces tendances ne sont pas absolument identiques chez les romantiques et chez lui, et, à côté des ressemblances qui les rapprochent, il sera bon d'indiquer très brièvement dans la conclusion les différences qui les séparent.
Rousseau a été certainement un précurseur des romantiques par dés tendances qu'on retrouvera chez ces derniers. Toutefois ces tendances ne sont pas absolument identiques chez les romantiques et chez lui, et, à côté des ressemblances qui les rapprochent, il sera bon d'indiquer très brièvement dans la conclusion les différences qui les séparent. Introduction : Par ses idées politiques, sociales et pédagogiques, Rousseau a préparé l'avenir, mais il a également agi au point de vue littéraire en ann...
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Rousseau: Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître
ROUSSEAU « Le plus for t n'est jamais a ssez for t pour ê tre t oujours le m aître, s'il ne t ransforme sa for ce en droit et l'obéi ssance en devoir. D e l à le droit du pl us fort; d roit pris i roniquement en appa renc e, et r éellement étab li en principe. M ais ne nou s expliquera-t-on j amais ce mot ? La forc e est u ne puissance physique ; j e ne vois point quelle m oralité peut résulter d e ses effets. Céd er à l a force est un a cte de né...
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Explication de texte de Jean-Jacques Rousseau, Lettre sur vertu, Mille et une nuits, 2012, pages 19-20
Explication de texte : « Je crois (…) qu’en devenant homme civil j’ai contracté une dette immense avec le genre humain, que ma vie et toutes ses commodités que je tiens de lui doivent être consacrées à son service ; je vois de plus que si je puis me procurer une sorte de bien-être exclusif et quelques plaisirs douteux en sacrifiant tout à moi seul, je ne pourrais m’assurer un état de paix et une félicité durable que dans une société bien ordonnée ; je vois que si je ne...
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Un critique contemporain écrit : « Les Confessions n'ont pas seu-lement pour fonction d'être une justification et un témoignage : pour un Rousseau meurtri, elles sont [...] une consolation, une chanson qui berce la misère humaine».Vous direz dans quelle mesure cette phrase peut servir de définition aux quatre premiers livres des Confessions.
[Introduction] Rousseau annonce dès la première page des Confessions son objectif : il souhaite donner de lui-même une image la plus exacte qui soit, se représenter tel qu'il est, sans tricher, sans mentir, sans rien dissimuler de sa personne ou de sa vie. Cette oeuvre se définit donc d'emblée comme autobiographique. De plus, l'auteur affirme sa différence, sasingularité : «Je ne suis fait comme aucun [des hommes] que j'ai vus; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceuxqui existent.» Mai...
- Jean-Jacques Rousseau, Émile, commentaire
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Pour Rousseau, les Fables de La Fontaine ne jouent pas leur rôle éducatif parce qu'elles donnent à voir ce qu'il ne faut pas faire. Vous discuterez son point de vue en prenant appui sur la fonction traditionnelle des apologues et sur les moyens mis en oeuvre pour faire passer un message didactique et moral.
Analyse du sujet et problématisationCe sujet oppose deux points de vue différents sur la finalité didactique de l'apologue : celui de Rousseau qui se présente comme sceptique à la portée didactique de la fable chez La Fontaine, et, celui d'Erasme qui, aucontraire, applaudit son efficacité. La question posée interroge la portée éducative de l'apologue. L'apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose ayant une fonction démonstrative et une visée argu...
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Pour Rousseau les fables de La Fontaine ne jouent pas leur rôle éducatif parce qu'elles donnent à voir ce qu'il ne faut pas faire. Vous discuterez son point de vue en prenant appui sur la fonction traditionnelle des apologues et sur les moyens mis en oeuvre pour faire passer un message didactique et moral ?
Analyse du sujet et problématisationCe sujet oppose deux points de vue différents sur la finalité didactique de l'apologue : celui de Rousseau qui se présente comme sceptique à la portée didactique de la fable chez La Fontaine, et, celui d'Erasme qui, aucontraire, applaudit son efficacité. La question posée interroge la portée éducative de l'apologue. L'apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose ayant une fonction démonstrative et une visée argu...
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Un critique écrit au sujet des Confessions: « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur. »Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau.
[Introduction]Rousseau ouvre les Confessions en annonçant qu'il veut avant tout se montrer aux autres hommes tel qu'il est, sans fard, avec ses qualités et ses défauts, dans toute la vérité de son être. Cette autobiographie est sans doute l'une des plus importantes du genre. Mais, surtout, l'oeuvre dépasse cette dimension.C'est en tout cas le point de vue de certains critiques, pour lesquels l'oeuvre se distingue avant tout par sa mise en scène d'une « destinée malheureuse »,établie par un êt...
- De l'inégalité parmi les hommes selon Rousseau
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"Tant qu'on désire on peut se passer d'être heureux ; on s'attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l'espoir se prolonge et le charme de l'illusion dure autant que la passion qui le cause." Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, 1 761 .Commentez cette citation. ?
"Tant qu'on désire on peut se passer d'être heureux ; on s'attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l'espoir se prolonge et le charme de l'illusion dure autant que la passion qui le cause." Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, 1 761 .Commentez cette citation. ? Qui n'a jamais condamné le désir ? Dans nos sociétés occidentales, le désir est synonyme de manque,de souffrance et par la soumission qu'il inflige, témoigne de la finitude humaine ; le malheur viendrait del'insatisfactio...
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ROUSSEAUJean-Jacques(28 juin 1712-2 juillet 1778)Ecrivain, philosopheLa mère de Jean-Jacques Rousseau meurt en le mettant au monde, àGenève.
ROUSSEAU Jean-Jacques (28 juin 1712-2 juillet 1778) Ecrivain, philosophe La mère de Jean-Jacques Rousseau meurt en le mettant au monde, à Genève. C’est son père, insouciant, vagabond et fantasque, qui l’élève. Jusqu’au 21 mars 1728, date de sa rencontre avec Mme de Warens, sa vie n’est que velléité entre la géométrie, l’horlogerie, un emploi de greffier, un vague apprentissage chez un graveur. A l’hospice des catéchumènes de Turin où elle l'envoie, il abjure le protestantisme. Jean-Jacques s’enf...
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« Dans Du Contrat social, Rousseau écrit : L'homme est né libre, et partout il est dans les fers'. Qu'en pensez-vous? » ?
Corrigé envoyé par : Nom Jexou E-mail : [email protected] Introduction du sujet : « Dans Du Contrat social, Rousseau écrit : ‘L'homme est né libre, et partout il est dans les fers'. Qu'en pensez-vous? » On conçoit couramment la différence entre l'animal et l'homme par le fait que ce dernier est libre, qu'il n'est pas limité parl'instinct. En ce sens l'homme naît libre. Mais n'est-ce pas une vaine définition comme nous le rappelle Rousseau au début duContrat social :...
- Le sentiment de la nature de ROUSSEAU
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Rousseau et les lumi�res
Jean Jacques Rousseau est un philosophe, né en 1712 à Genève et mort en 1778 à Ermenonville. C’est l’un des philosophes les plus charismatiques du siècle des lumières : il est connu pour ses théories sur l’homme, la société et l’éducation. Sa philosophie est notamment influencée par Hobbes, Descartes, et Malebranche. Il appartient à l’école empiriste, c’est un précurseur du communisme. Il a été la source d’inspiration de Robespierre, d’Hegel, de Kant ou de Robespierre. Jean Jacques...
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Contrat Social (1762) de Jean-Jacques Rousseau
Le Contrat Social (1762) de Jean-Jacques Rousseau définit les conventions des droits fondamentaux qui servent de référent pour penser la justice. Il n'y a en effet de justice qu'à condition de substituer le droit aux rapports de forces. (il faut remplacer les rapports de force par les conventions du droit) Rappel : pour penser la justice, il ne faut pas se fonder sur les lois de la nature, mais sur une idée de l'homme. ( Tableau : JJ Rousseau dit à...
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« Qu'on admire tant qu'on voudra la société humaine, il n'en sera pas moins vrai qu'elle porte naturellement les hommes à s'entre-haïr, à proportion que les intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire, en ejfet, tous les maux imaginables. »J.-J. Rousseau (note 9 du Discours sur l'inégalité). ®
1 / 2 JEAN-JACQUES ROUSSEAU 163 99. JEAN-JACQUES ROUSSEAU Qu'on sdmire tant qu'on voudra la Société humaine, i n'en sera pas moins vrai qu'elle porte naturellement les hommes d s'entre-haïr, à proportion que les intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire, en effet, tous les ,nau.r imaginables. J.-J. ROUSSEAU (note O du Discours Sur l'inégalité). Cg L'homme naît bon, la société le déprave. C'est la thèse que Rousseau souti...
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Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autorportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur. » Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau.
[Introduction] Les jugements les plus contradictoires ont été portés sur Rousseau : un bienfaiteur de l'humanité, un sage, voire unsaint homme pour les uns, un homme excessif, un fou, un guide dangereux pour les autres. Il en va de même pourses livres. C'est ainsi qu'un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un hommetourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier sonexcellent naturel, malade...
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Rousseau: la faiblesse de lhomme
Expliquer le texte suivant : C'est la faiblesse de l'homme qui le rend sociable : ce sont nos misères communes qui portent nos cœurs à l'humanité, nou� ne lui devrions rien si nous n'étions pas homme� Tout attachement est un signe d'insuffisance : si chacun de nous n'avait nul besoin des autre� il ne songerait guère à �dI>T à eux. Ainsi de notre infirmité même naît notre frêle bonheur. Un être vraiment heureux est un être solitaire : Dieu �0dA...
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Rousseau : le contrat social
Rou&&eau : Le contrat � ocial Il ny a qu'une aeule loi qui, par oa nature, exige un conaentement unanime. C'eot le pacte aocial: car l'aooociation civile eot l'acte du monde le plua volontaire; tout homme étant né libre et maître de 5 lui-même, nul ne peut, aoua quelque prétexte que ce puiMe être, l'aooujettir aana aon aveu. Décider que le uila d'une eaclave naît eaclave, c'eot décider qu'il ne naît point homme. Si donc lora du pacte aocial il a'y...
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- Rousseau: En quel sens pourra-ce être un devoir ?
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Emile, V de Jean-Jacques Rousseau - Analyse de texte
Emile, V de Jean-Jacqu es Rouss eau c1112-111s> i LAVTFV.R.. • Le� femme� repré�0L^vT0L^ �Nbe0L^ un problème dan� la vie de Rou�eau. Il n'a jamai� connu �& mère, qui mourut en le mettant au monde. À �0Bk0 an� il « fugue » �bT le� route� de Savoie et e�^ recueilli par Madame de Waren� �xPT0L. d'elle, mai� �0 trouve �bPPF&L^x par un rival. Il part alor� à Lyon, fréquente, à Veni�0 et Pari� le� �&FNL de grande� dame� auxquelle� il rêve d...
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Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : « Ceci est à moi » et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Commentez cette citation.
« Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus, si vous oubliez que...
- Dans son traité d'éducation, Émile, publié en 1762, Rousseau déclare à propos de l'utilisation, fréquente à l'époque, des Fables pour l'éducation morale des jeunes enfants : Composons M. de La Fontaine. Je promets quant à moi de vous lire, de vous aimer, de m'instruire dans vos fables, mais pour mon élève, permettez que je ne lui en laisse pas étudier une seule. Dans quelle mesure votre lecture personnelle du 2e recueil des Fables vous permet-elle de comprendre et de partager les rét
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Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir. […] La force est une puissance physique; je ne vois point quelle moralité peut résulter de ses effets. Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté ; c'est tout au plus un acte de prudence. En quel sens pourra-ce être un devoir? " > Jean-Jacques Rousseau. Commentez cette citation.
« Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté : c'est tout au plus un acte de prudence. En quel sens pourra-ce être un devoir ? » Rousseau Le devoir est généralement considéré comme ce qu'on nous impose et on l'assimile aisément à la contrainte. Or, il s'agit là d'une confusion. Cette citation de Rousseau extraite du chapitre 3 du livre 1 Du contrat social nous le montre. Pour cela, Rousseau analyse la situation da...
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Le Douanier Rousseau Né à Laval en 1844, mort à Paris en 1910.
Le Douanier Rousseau
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Selon ROUSSEAU, le véritable voyage est celui qui permet de « secouer le joug de l’opinion ». Enquoi votre étude desEssais, ainsi que des textes et œuvres vues dans le cadre du parcours associé« notre monde vient d’en trouver un autre » confirme-t-elle cette vision de la rencontre avec l’autre ?
BAC BLANC Dissertation: Selon ROUSSEAU, le véritable voyage est celui qui permet de « secouer le joug de l’opinion ». En quoi votre étude des Essais , ainsi que des textes et œuvres vues dans le cadre du parcours associé « notre monde vient d’en trouver un autre » confirme-t-elle cette vision de la rencontre avec l’autre ? Lorsque ROUSSEAU déclare que le véritable voyage est celui qui permet de « secouer le...
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Voici un extrait de la Lettre à d'Alembert sur les spectacles que Rousseau adresse aux rédacteurs de L'Encyclopédie.
Voici un extrait de la Lettre à d'Alembert sur les spectacles que Rousseau adresse aux rédacteurs de L'Encyclopédie. Qu'est-ce que le talent du comédien ? L'art de se contrefaire, de revêtir un autre caractère que le sien, de paraître différent de ce qu'on est, de se passionner de sang-froid, de dire autre choseque ce qu'on pense aussi naturellement que si on le pensait réellement, et d'oublier enfin sa propre place à force de prendre celle d'autrui. Qu'est-ce que la profession du comédien ?...
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François Mauriac écrit dans Commencements d'une vie (1932) : « Est-ce à dire que les souvenirs d'un auteur nous égarent toujours sur son compte ? Bien loin de là : le tout est de savoir les lire. C'est ce qui y transparaît de lui-même malgré lui qui nous éclaire sur un écrivain. Les véritables visages de Rousseau, de Chateaubriand, de Gide se dessinent peu à peu dans le filigrane de leurs confessions et histoires. » Vous direz dans quelle mesure, selon vous, ce propos de François Mauri
François Mauriac écrit dans Commencements d'une vie (1932) : « Est-ce à dire que les souvenirs d'un auteur nous égarent toujours sur son compte ? Bien loin de là : le tout est de savoir les lire. C'est ce qui y transparaît de lui-même malgré lui qui nous éclaire sur un écrivain. Les véritables visages de Rousseau, de Chateaubriand, de Gide se dessinent peu à peu dans le filigrane de leurs confessions et histoires. » Vous direz dans quelle mesure, selon vous, ce propos de François Mauriac rend c...
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Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsi ou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse en comparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc.
Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsiou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse encomparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine,Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc. Introduction : La solitude a inspiré ses Rêveri...
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Discutez cette pensée de Rousseau: j'aime mieux être un homme à paradoxes qu'un homme à préjugés (Emile) ?
Diderot connaissait bien Rousseau, lui qui lui conseilla en 1749 de "donner l'essor à ses idées" et de dire son fait à lasociété, en traitant la question posée par l'Académie de Dijon. Et Jean-Jacques lui-même n'avait pas tort de prendrela défense d'Alceste et de se reconnaître dans ce personnage. Ii a été toute sa vie l'homme qui s'oppose, l'hommequi contredit, l'homme qui se plaît à bousculer les opinions reçues.... Il s'en rendait bien compte et il s'en faisaitgloire; J'aime mieux être un hom...
- Les Confessions, L. IV. Rousseau - commentaire
- Les systèmes politiques promus par Aristote dans La Politique, par Machiavel dans Le Prince, par Hobbes dans Le Corps politique et par Rousseau dans Le Contrat social vous semblent-ils rationnels ?
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Jean-Jacques Rousseau par Pierre BurgelinProfesseur à l'Université de Strasbourg Au temps des
Jean-Jacques Rousseau
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« Il n'y a point de vrai progrès de raison dans l'espèce humaine, parce que tout ce qu'on gagne d'un côté, on le perd de l'autre. » Jean-Jacques Rousseau, Emile, IV. Commentez cette citation ?
Rousseau n'est pas seulement un penseur original sinon à contretemps, mais un écrivain de génie, sans doute le plus grand prosateur de son siècle. Le XVIIIe siècle pense unanimement que le progrès est un mieux, pas Rousseau pour qui il est une dégradation par rapport à notre nature : « Nos âmes se sont corrompues à mesure que nos Sciences et nos Arts se sont avancés à la perfection. »15 Tout part en quelque sorte de cette conscience intimement liée à un sentiment de persécution, de rejet, au p...
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les philosophes du XVIIIe siècle, Montesquieu semble-t-il, puis Voltaire, Rousseau substituent celle de religion naturelle, non sans aller quelquefois jusqu'à l'athéisme comme Diderot.
Introduction : a) A la notion traditionnelle de religion révélée, jugée par eux fallacieuse et dangereuse. b) les philosophes du XVIIIe siècle, Montesquieu semble-t-il, puis Voltaire, Rousseau substituent celle de religion naturelle, non sans aller quelquefois jusqu'à l'athéisme comme Diderot. c) Ils savent donc s'unir contre leur ennemi commun : le christianisme, en particulier la religion de leur pays, le catholicisme romain; mais ils sont loin d'être d'accord sur le reste, c'est-à-dire sur Di...
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Dans Emile ou De l'education, Jean Jacques Rousseau se montre hostile a un enseignement de la vie aux enfants par les fables. En revanche il ecrit que les fables peuvent instruire les hommes. Partagez vous cette vision ?
Dans Émile ou De l'éducation , Jean Jacques Rousseau se montre hostile a un enseignement de la vie aux enfants par les fables. En revanche il écrit que "les fables peuvent instruire les hommes". Partagez vouscette vision ? Fable : récit en vers ou en prose qui comporte une morale. Les fables appartiennent au monde de l'enfance, tout élève a déjà appris au moins une fable et l'a récitée en classe.Pourquoi penser qu'elles ne leur sont pas destinées ? La fable ou le conte, normalement r...
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Après Rousseau : « Je hais les livres ; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas » ; après Montesquieu : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté », voici l'auteur du Meilleur des Mondes qui promet à l'homme qui « sait lire » un immense pouvoir.
Que penser de cette opinion ?
Introduction Après Rousseau : « Je hais les livres ; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas » ; après Montesquieu : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté », voici l'auteur du Meilleur des Mondes qui promet à l'homme qui « sait lire » un immense pouvoir. Que penser de cette opinion ? Développement (Sous forme de plan détaillé) I. — Partie négative. 1° Certes, un enfant est tout fier de raconter à tout le monde ce qu'il a appris « à l'école, dans les liv...
- Jean-Jacques ROUSSEAU: Liberté et moralité
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Rousseau, Les Confessions, Livre IV. Commentaire
Rousseau, Les Confessions , Livre IV . Un jour entre autres, m'étant à dessein détourné pour voir de près un lieu qui me parut admirable, je m'y plus si fort et j'y fis tant de tours, que je me perdis enfin tout à fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim, j'entrai chez un paysan dont la maison n'avait pas belle apparence; mais c'était la seule que je visse aux environs. Je croyais que c'était comme à Genève ou en Suisse, où tous les habitants à leur aise...
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L'oeuvre du Douanier Rousseau OEuvre assez abondante (environ cent cinquantetableaux).
L’ œ uvre du Douanier Rousseau
- ROUSSEAU Jean-Jacques: vie et oeuvre
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Rousseau et les inégalités
Jean-Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 à Genève, en Suisse. Il était le fils d'un horloger et d'une mère qui mourut peu de temps après sa naissance. Sa famille était modeste, et Rousseau reçut une éducation limitée. À l'âge de 13 ans, Rousseau quitta Genève et commença une vie de vagabond et d'errance à travers l'Europe. Pendant cette période, il fit divers emplois, notamment copiste et précepteur, et développa un intérêt pour l'étude de la philosophie et de la musique. En 1742, Rous...
- Texte Rousseau
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Commentaire de L'Émile ou de L'éducation de Rousseau (fiche de lecture)
UNIVERSlTÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS -RIVIÈRES COMME EXIGENCE PARTIELLE DU PROGRAMME DE MAÎTRISE EN PHILOSOPHIE PAR VALÉRIE HÉBERT COMMENTAIRE DE LA PRÉFACE ET DU LIVRE l DE L'É MILE OU DE L ' ÉDUCATION DE JEAN-JACQUES ROUSSEAU MARS 2011
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DM Rousseau
I. Jean-Jacques Rousseau 1. Jean-Jacques Rousseau né le 28 juin 1712 à Genève et décédé le 2 juillet 1778 à Ermenonville d’une attaque cérébrale est un écrivain, philosophe et musicien du XVIIIème siècle. Il est considéré comme l’un des penseurs les plus influents de son époque et l’un des principaux représentants du mouvement des Lumières. Il quitte Genève à 16 ans pour la Savoie, puis s’installe à Paris en 1742. Sa relation avec Thérèse Levasseur, avec qui il a 5 enfants caractéris...