886 résultats pour "pensés"
- « La possession de la monnaie en tant que telle calme notre inquiétude ; et la prime que nous exigeons pour nous en séparer est la mesure de notre degré d’inquiétude. » (Keynes) Qu’en pensez-vous ?
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Figaro aime à rappeler que peu de maîtres possèdent les qualités qu'ilsexigent de leurs valets. Pensez-vous que cette affirmation correspondeà la situation dans la comédie du 18e siècle que vous avez étudiée ?
IntroductionLa comédie classique accorde un rôle important aux valets. Personne, au XVIIe siècle, n'a oublié le Scapin deMolière, et les serviteurs qui traversent les pièces comiques sont des domestiques très dévoués et actifs. Figaro irajusqu'à dire que peu de maîtres seraient capables d'être valets parce qu'ils sont souvent loin de posséder lesqualités ils exigent de ceux qui les servent. Qu'attend-on en fait d'un valet ? Peut-on retrouver les caractéristiquesque l'on entend...
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L'Orient et la philosophie par Maurice Merleau-PontyProfesseur au Collège de France Cette immense littérature pensante, qui exigerait à elle seule un volume,fait-elle vraiment partie de la " philosophie " ?
L'Orient et la philosophie
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Nicolas Machiavel Machiavel naquit dans la branche pauvre d'une éminente famille florentine,ce qui limita son éducation, et de fait, le protégea des excès de classicismede la pensée humaniste.
Nicolas Machiavel
- Imaginez un dialogue entre deux amis. L'un ne lis que de la poésie du XIXème car il pense qu'elle est la plus belle. L'autre préfère la liberté que s'autorise la poésie du XXème.
- Que pensez-vous de cette citation d'Apollinaire : « Les grands poètes et les grands artistes ont pour fonction sociale de renouveler sans cesse l'apparence que revêt la nature aux yeux des hommes ».
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Pensez-vous, comme Hubert Curien, que : Progresser n'est pas seulement accroître le savoir et le pouvoir que nous transmettons à nos enfants, mais aussi mieux préserver ou retrouver, dans ce qu'il a d'irremplaçable, l'héritage que nous avons-nous-mêmes reçu ?
La réflexion sur le progrès varie selon 14s siècles et les changements entrepris. Si les XVIIIe et XIXe siècles ont cru au progrès defaçon très optimiste, en l'assimilant même au bonheur de l'humanité, le XXe siècle se montre plus pessimiste ou plus réaliste.Ainsi Hubert Curien propose une autre définition du terme de progrès qui ne doit pas, selon lui, s'orienter uniquement vers le futur maiségalement regarder vers le passé : « progresser n'est pas seulement accroître le savoir et le pouvoir...
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Que pensez-vous de cette question que pose l'auteur à propos des diplômes : « mais enfin muni de diplômes, que -fera-t-il ? »
Quelle est d'après vous leur utilité ? (En une trentaine de lignes.)
1 / 2 LES DIPLOMES t•r sujet Texte. L'enfant vivait au pays des merveilles, à l'ombre de ses parents, demi-dieux pleins de perfections. Mais voici l'adolescence, et soudain, autour de lui, se rétrécit, s'obscurcit le monde. Plus de demi-dieux: le père se mue en un despote blessant ; la mère n'est plus qu'une pauvre femme. Non plus hors de lui, mais en lui l'adolescent découvre l'infini : il avait été un petit enfant dans le monde immense ; il admire,...
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Cours sur la conscience
1 | P a g e Chapitre 1 : La conscience Portrait sans titre , New york, 1942. Photo Erwin Blumenfeld (1897-1969) « Il arrive que les décors s'écroulent. Lever, tramway, quatre heures de bureau ou d'usine, repas, sommeil et lundi mardi mercredi jeudi vendredi et samedi sur le même rythme, cette route se suit aisément la plupart du temps. Un jour seulement, le "pourquoi" s'élève et tout commence dans cette lassitude teintée d'étonnement. "Commence", ceci c'...
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Cinéma : "instrument de stupeur" (Grémillon) ou pouvoir de "conférer à tout ce qui existe et à tout ce qui peut être concrétisé en images une modalité d'être privilégiée" (Agel)? Que penser de ces deux assertions?
[ •.• ] La �Qoart des �3ug ca�Li3QLgi
- Appréciez cette pensée de Sainte-Beuve: "Le théâtre, ce côté le plus invoqué de l'art moderne, est aussi, chez nous, celui qui a le moins produit et fait mentir toutes les espérances" ?
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Voltaire dit :Du repos, des riens, de l'étude,Peu de livres, point d’ennuyeux,Un ami dans la solitude :Voilà mon sort; il est heureux.Que pensez-vous de cette façon de concevoir le bonheur?
1 / 2 VOLTAIRE 141 86. VOLTAIRE Voltaire dit Du repos, des riens, de l'élude, Peu de livres, point d'ennuyeux, Un ami dans la solitude Voilà mon sort; il est heureux. Que pansez-cous de cette façon de concevoir le bonheur? Voltaire est foncièrement épicurien et, si l'on va au fond de sa polémique irréligieuse, ce qu'il reproche, en somme, aux religions et surtout au christianisme, c'est de combattre et de mutiler la nature, de détourner les hommes du plaisir, de les...
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Marguerite d'Angoulême par Albert-Marie SchmidtProfesseur à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, Lille Son front, chargé de pensées, de soucis et de projets, se bombe légèrement.
Marguerite d'Angoulême
- Pensez vous que, comme on l'a souvent répété, que le personnage de roman est un être de papier, ou partagez-vous l'opinion de François Mauriac pour qui les héros de roman naissant du mariage que le romancier contracte avec la réalité ?
- Imaginez un dialogue de récit entre deux personnes : l'un partisan de l'émancipation féminine l'autre non. Pensez à bien alterner les propos, le discours doit être animé, l'époque est laissée à votre choix.
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Montaigne écrit, dans le livre II de ses Essais : « Je n'ai pas plus fait mon livre que mon livre ne m'a fait. » Pensez-vous que l'on puisse définir ainsi toute entreprise autobiographique ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à réfléchir sur la définition de l'autobiographie que donne Montaigne et à la discuter. Cette définition, construite sur un chiasme, montre que l'entreprise autobiographique est une construction de soi : enécrivant son livre, l'autobiographe approfondit sa connaissance de soi et construit sa personnalité. Il y a un effetrétroactif de l'écriture autobiographique sur l'autobiographe. Mais en disant que son livre l' « a fait » Montaigne montre...
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On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nos, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO). qu'en pensez-vous ?
Le lyrisme est absent de la poésie du XVIIe siècle. Pour Malherbe lui-même les thèmes lyriques ne sont que des lieuxcommuns qu'il développe à la façon d'un orateur : Stances à Du Perrier. C'est seulement au XIXe siècle, avec leRomantisme et sous l'influence de Jean-Jacques et de Chateaubriand, que la poésie deviendra vraiment l'âme qui serévèle et se répand. Ce n'a pas été sans protestation et le Parnasse sera une réaction contre la poésie personnelle(sonnet de Leconte de Lisle : les Montreur...
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Maurice Merleau-Ponty par Stéphanie Dupouy La philosophie de Merleau-Ponty est un effort pour penser l'unité profondede la conscience et du corps, de l'esprit et de la matière, du sens et dumonde.
Maurice Merleau-Ponty
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Pensez-vous que l'on puisse dire avec Nietzsche que: Nul bonheur, nulle sérénité, nulle espérance, nulle jouissance de l'instant présent ne pourraient exister sans faculté d'oubli ?
THÈMES DE RÉFLEXION • « Dans le plus petit comme dans le plus grand bonheur, il y a toujours quelque chose qui fait que le bonheur est unbonheur : la possibilité d'oublier... Imaginez l'exemple extrême : un homme qui serait incapable de rien oublier et quiserait condamné à ne voir partout qu'un devenir; celui-là ne croirait plus à son propre être, il ne croirait plus ensoi... Finalement, en vrai disciple d'Héraclite, il n'oserait même plus bouger un doigt. Tout acte exige l'oubli... »Remarquer...
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Rosa Luxemburg par Édith Thomas Comme Flora Tristan, Rosa Luxemburg pensait que les problèmesconcernant la situation de la femme s'intégraient dans l'histoire totale del'humanité.
Rosa Luxemburg
- Vous commenterez cette pensée de Saint-Exupéry : « La grandeur d'un métier est, peut-être et avant tout, d'unir les hommes. Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des relations humaines ». (Extrait de Terre des Hommes")
- Hugo dans Les Orientales dit « L'Art n'a que faire de menottes, de lisières et de bâillons, il dit à l'homme de génie, va, et le lâche dans ce grand jardin de poésie où il n'y a pas de fruit défendu ». Qu'en pensez-vous ?
- Faites le récit d'un exploit physique où le personnage se comportera de façon héroïque et dépassera ses propres limites. Votre récit devra faire saisir au lecteur les pensées de ce personnage lors de son aventure.
- Au théâtre, tirades ou monologues laissent s'exprimer longuement un personnage. Pensez vous que les dramaturges aient intérêt à les éviter, au profit des dialogues, comportant des répliques plus brèves ?
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- Imaginez un dialogue entre deux amis. L'un ne lit que de la poésie du XIXe siècle car il pense qu'elle est la plus belle. L'autre préfère la liberté que s'autorise la poésie du XXe siècle.
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La Littérature française par Loly Clerc Quand Pierre Viansson Ponté écrit dans " Le Monde " à la veille desévénements de 1968 : " la France s'ennuie ", il ne pense pas seulement à lavie sociale mais aussi littéraire.
La Littérature française
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Anne-Robert-Jacques Turgot par Jean EgretProfesseur Honoraire de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Poitiers On commence à avoir besoin de se taire pour se recueillir et pour penser à tout lebien qu'on attend.
Anne-Robert-Jacques Turgot
- Mettre en scène un chevalier qui va recevoir l'adoubement, sa nuit à méditer, ses pensées pour ses proches, son roi, son avenir, ses enfants. Puis raconter la cérémonie avec toute l'émotion que cela suppose.
- Pensez-vous que l'on puisse traiter des sujets graves ou sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples empruntés à vos lectures et à d'autres formes d'art, y compris le cinéma.
- R. CAILLOIS, Les Jeux et les Hommes. « Interdépendance des jeux et des cultures ». Tel est le titre proposé par R. Caillois à ce développement. Que faut-il penser de son affirmation ?
- Le comique de moeurs ridiculise les manières de vivre, de penser, de parler à la mode. Il s'attaque aux préjugés et au mauvais fonctionnement de la société. Si Molière vivait à notre époque, quels pourraient être les sujets de ses comédies ?
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Rousseau: On fait apprendre les fables de La Fontaine aux enfants. Il n'y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient, ce serait encore pis, car la morale en est tellement mêlée et disproportionnée à leur âge, qu'elle les porterait au vice plus qu'à la vertu. qu'en pensez-vous ?
La morale de La Fontaine a été attaquée par Lamartine et par Rousseau. Lepremier se réfère à ses souvenirs d'enfance : Ces histoires d'animaux...égoïstes, railleurs, avares, sans pitié, sans amitié, plus méchants que nous,me soulevaient le coeur. Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophiedure, froide et égoïste du vieillard, que la philosophie aimante, généreuse,naïve et bonne d'un enfant. Rousseau dans L'Émile fait un véritableréquisitoire, en prenant comme exemple le corbeau et le re...
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Pensez-vous que l'on puisse traiter des sujets graves ou sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples empruntés à vos lectures et à d'autres formes d'art, y compris le cinéma.
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- Pensez-vous que le théâtre "est le lieu de la plus grande liberté, de l'imagination la plus folle" ? Citation de Eugène Lonesco auteur de Rhinocéros et dramaturge du XXème siècle .
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Nombres et Opérations1) Les Entiers NaturelsDeux mouvements de pensée sont à l'origine de l'idée de nombre :-L'idée ordinale du nombre : dans ce cas, chaque objet est considéré comme particulier :chaque mot désigne un objet et chaque nombre a un statut de numéro.
No mbres et Opération s1) Les En tiers Na turels De ux mouv emen ts d e pe nsée son t à l’or igine de l’i dée de n ombr e : - L ’i dé e ord inale d u nombre : d ans ce cas, c haqu e obj et est c onsidéré comm e particuli er : c ha qu e mot dés igne un objet e t chaque n ombr e a un st atu t de n uméro. Le nombre transite p ar le langag e oral. Il fa ut in venter e t mém oriser une su ite de mo ts da ns un or dre i mmua ble > Appr entissage de la « co mpt ine n um...
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Situation de la philosophie à la fin du XXe siècle Un entretien avec Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France,réalisé par Henri Salha Pensez-vous que la manière de pratiquer la philosophie a changé au XXe siècle ?
Situation de la philosophie à la fin du XX e siècle
- « La fiction relève du mensonge ou de l'illusion. On ne saurait donc en faire le moyen d'une réflexion sérieuse, la fiction ne peut servir à l'expression de la pensée . Cette affirmation vous paraît-elle justifiée ? vous appuierez votre réflexion sur les textes du corpus & sur vos lectures personnelles.
- Pensez-vous que l'auteur de contes philosophiques doive ou non exprimer explicitement la morale ou la leçon à tirer du récit qu'il propose, ou qu'au contraire il faille laisser le soin au lecteur de tirer lui même les enseignements de ce qu'il a lu ?
- Je n'ai jamais compris, pour ma part la différence que l'on fait entre tragique et comique. Le comique étant l'intuition de l'absurde, il me semble plus désespérant que le tragique. Le comique n'offre pas d'issue, écrit Ionesco. Que pensez-vous de cette réflexion ?
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- Vous montrerez que Pascal, en faisant appel tour à tour dans ses « Pensées » au raisonnement logique, à la sensibilité et à l'imagination de son lecteur, a su accorder la richesse de son talent d'écrivain à la diversité de ces appels.
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« Il m'a paru plaisant, et d'autant plus agréable que la tâche était plus difficile, d'extraire la beauté du Mal. », écrit Baudelaire. Pensez-vous que la poésie ne doive servir que la Beauté et se détourner du réalisme ?
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- Deux lycéens préparent un exposé sur l'influence des écrivains sur l'évolution de la société. L'un pense que les mots sont sans effets face au pouvoir ou à la violence. L'autre affirme que les écrits ou les discours peuvent être plus fort que l'autorité. Présentez leur dialogue.
- « Fidèle à Horace et sa conception utilitaire de l'art, Rabelais s'est cette fois clairement fixé pour but, tout en nous faisant rire et en riant lui même de concert avec nous, de nous instruire et de nous éduquer ». Pensez-vous que cette réflexion puisse s'appliquer au Gargantua ?
- Pensez-vous qu'au théâtre il faille ménager des effets de surprise ou qu'il importe peu que le spectateur connaisse l'issue de l'action ? L'essentiel d'une pièce de théâtre est-il dans l'intrigue, dans la mise en oeuvre et en scène du texte ou dans le message que l'auteur transmet dans sa pièce ?
- « Les Liaisons sont une mythologie de la volonté » écrit André Malraux en 1939 dans sa célèbre préface au roman de Laclos. Et il poursuit : « le personnage le plus érotique du livre, la marquise, est aussi le plus volontaire de la littérature française... ». Que pensez-vous de ces affirmations ?
- Pensez-vous qu'au théâtre il faille ménager des effets de surprise ou qu'il importe peu que le spectateur connaisse l'issue de l'action ? L'essentiel d'une pièce de théâtre est-il dans l'intrigue, dans la mise en oeuvre et en scène du texte ou dans le message que l'auteur transmet dans sa pièce ?
- La modernité n'a rien avoir avec la date de parution. Des textes écrits il y a plusieurs siècles sont résolument modernes. Ils répondent parfois mieux que des oeuvres plus récentes à nos préoccupations et à notre soif de beauté. Qu'en pensez-vous ?
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- « Les bons ouvrages ne sont pas nécessairement subversifs, mais, tous, ils remuent l'esprit et réveillent les pensées », F. Bott, article dans Le Monde, octobre 1983. Après avoir expliqué cette affirmation, vous l'approfondirez en vous appuyant sur des analyses tirées de vos lectures ?
- Que pensez-vous de l'idée exprimée par Pierre-Jakez Hélias dans un entretien radiodiffusé : Il est facile d'être de son temps. La belle affaire ! N'importe quel imbécile peut être de son temps ! Il suffit de suivre tout le monde et de bêler avec le troupeau.