ypérite yuppie Z z zakouski zapateado zébu zemstvo zéphyr zêta zibeline zigonner zing zing zinzinuler 2 zoé zone zoroastrien, ienne zozio zut zygoma z izi z zz, A À ( d'abord écrit A) p rép.
Publié le 08/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : ypérite
yuppie
Z
z
zakouski
zapateado
zébu
zemstvo
zéphyr
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zibeline
zigonner
zing zing
zinzinuler
2
zoé
zone
zoroastrien, ienne
zozio
zut
zygoma
z izi
z zz,
A
À ( d'abord écrit A) p rép.. Ce document contient 631 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Dictionnaire
ypérite
yuppie
Z
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zakouski
zapateado
zébu
zemstvo
zéphyr
zêta
zibeline
zigonner
zing zing
zinzinuler
2
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zone
zoroastrien, ienne
zozio
zut
zygoma
z izi
z zz,
A
À ( d'abord écrit A) p rép. Les emplois très variés de cette préposition viennent en partie de ce
qu'elle est issue de trois prépositions latines : ad (-> 1 a-) e xprimant à l'origine le mouvement
vers, la direction, de loin la plus importante (a e t ad, mil. XIe s.), mais aussi ab correspondant au
grec apo- (-> apocalypse) e t recouvrant plusieurs notions, notamment la séparation, et enfin apud,
par une forme populaire °abu (ab d ans Les Serments de Strasbourg, 842). À e st d'abord en
concurrence avec des formes empruntées, ad jusqu'au XIIIe s., ab jusqu'au XVe siècle. ? La forme
contractée au vient de a le (al, mil. XIe s.) et aus d e a les (als), d evenu aux par confusion (us se
notant arbitrairement x) ; au e t aux l'emportent sur a le e t a les au XIIIe siècle. Enfin, sur le plan
formel (graphique), a pouvait s'agglutiner avec le substantif, a forfait étant écrit afforfait, a savoir
assaveir (d'où assavoir, e ncore dans Littré), etc. ; cet usage existe encore au XVIe siècle.
L
En latin, ad e xprimait le mouvement, la direction vers un lieu, vers une personne, puis la proximité,
la situation sans mouvement, le rapport, la comparaison ; en latin parlé (observable dans le théâtre,
par exemple chez Plaute, et à époque tardive) ad remplace parfois le datif et le génitif. Quant à ab,
il exprimait la séparation, l'origine (ce qu'exprimera d e e n français), d'où l'agent. Enfin, apud e st
employé tardivement (VIe s.) pour les notions de relation, d'accompagnement, en concurrence avec
cum « avec ». C'est la confusion, aux VIe -VIIe s. (Mérovingiens), entre ab e t ad e t par ailleurs entre
apud e t ad, q ui rend compte de celle qui a mêlé les mots romans et ancien français ad, ab, e t ab (de
apud ) en une seule forme a, d evenue à. -- L'accent grave sur le a e st une initiative du XVIe s.
(Montfleury, 1533) qui triomphe dans la seconde moitié du siècle (1606, dans les dictionnaires).
? C ette préposition joue en ancien français un rôle essentiel dans l'évolution de la syntaxe. Les
emplois de ad, ab puis a, avant le XVIe s., sont plus variés qu'en français moderne : de nombreux
verbes qui se construisaient alors avec a sont aujourd'hui transitifs directs (aider, rencontrer,
éclairer... a qqn). Ad e t a e xprimaient l'instrument, la manière (881, « avec » ; 1080, « de »), la
comparaison (1080 « avec »). Avec les verbes avoir, prendre, a a cédé devant pour ; avec de
nombreux verbes (avoir a estime..., devenir a rien...), il a été remplacé par comme, par e n. ? De
très nombreux compléments de circonstance construits jusqu'au XVIIe s. avec à s'emploient ensuite
avec vers, chez, sur (se tourner à...), avec, contre, à côté de (s'asseoir à qqn). ? Le a provenant de
ab était en usage là où le français moderne emploie d e (prendre congé a qqn, mil. XIe s.). ? Par
ailleurs, à introduisait le complément d'appartenance, aujourd'hui construit avec d e : cette
construction ancienne, encore normale au début du XVIIe s., survit en langue rurale ou populaire (le
fils à son père) et dans des locutions comme fils à papa. ? Mais de très nombreux emplois encore
vivants sont attestés dès les origines. Pour ad, a e xprime le mouvement vers un lieu (mil. XIe s.),
vers une personne (1080), d oner a étant aussi attesté dans La Chanson de Roland. Avec de tels
verbes (doner, parler), ad, puis a (mil. XIe s.) a la valeur du datif latin. La situation temporelle est
marquée par a d ès le IXe s. (881, sainte Eulalie), comme la valeur instrumentale (ad pour avec). ?
Quelques emplois spatiaux sont propres à un usage géographique. En français de Belgique, une
ypérite
yuppie
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zakouski
zapateado
zébu
zemstvo
zéphyr
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zibeline
zigonner
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zone
zoroastrien, ienne
zozio
zut
zygoma
z izi
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À ( d'abord écrit A) p rép. Les emplois très variés de cette préposition viennent en partie de ce
qu'elle est issue de trois prépositions latines : ad (-> 1 a-) e xprimant à l'origine le mouvement
vers, la direction, de loin la plus importante (a e t ad, mil. XIe s.), mais aussi ab correspondant au
grec apo- (-> apocalypse) e t recouvrant plusieurs notions, notamment la séparation, et enfin apud,
par une forme populaire °abu (ab d ans Les Serments de Strasbourg, 842). À e st d'abord en
concurrence avec des formes empruntées, ad jusqu'au XIIIe s., ab jusqu'au XVe siècle. ? La forme
contractée au vient de a le (al, mil. XIe s.) et aus d e a les (als), d evenu aux par confusion (us se
notant arbitrairement x) ; au e t aux l'emportent sur a le e t a les au XIIIe siècle. Enfin, sur le plan
formel (graphique), a pouvait s'agglutiner avec le substantif, a forfait étant écrit afforfait, a savoir
assaveir (d'où assavoir, e ncore dans Littré), etc. ; cet usage existe encore au XVIe siècle.
L
En latin, ad e xprimait le mouvement, la direction vers un lieu, vers une personne, puis la proximité,
la situation sans mouvement, le rapport, la comparaison ; en latin parlé (observable dans le théâtre,
par exemple chez Plaute, et à époque tardive) ad remplace parfois le datif et le génitif. Quant à ab,
il exprimait la séparation, l'origine (ce qu'exprimera d e e n français), d'où l'agent. Enfin, apud e st
employé tardivement (VIe s.) pour les notions de relation, d'accompagnement, en concurrence avec
cum « avec ». C'est la confusion, aux VIe -VIIe s. (Mérovingiens), entre ab e t ad e t par ailleurs entre
apud e t ad, q ui rend compte de celle qui a mêlé les mots romans et ancien français ad, ab, e t ab (de
apud ) en une seule forme a, d evenue à. -- L'accent grave sur le a e st une initiative du XVIe s.
(Montfleury, 1533) qui triomphe dans la seconde moitié du siècle (1606, dans les dictionnaires).
? C ette préposition joue en ancien français un rôle essentiel dans l'évolution de la syntaxe. Les
emplois de ad, ab puis a, avant le XVIe s., sont plus variés qu'en français moderne : de nombreux
verbes qui se construisaient alors avec a sont aujourd'hui transitifs directs (aider, rencontrer,
éclairer... a qqn). Ad e t a e xprimaient l'instrument, la manière (881, « avec » ; 1080, « de »), la
comparaison (1080 « avec »). Avec les verbes avoir, prendre, a a cédé devant pour ; avec de
nombreux verbes (avoir a estime..., devenir a rien...), il a été remplacé par comme, par e n. ? De
très nombreux compléments de circonstance construits jusqu'au XVIIe s. avec à s'emploient ensuite
avec vers, chez, sur (se tourner à...), avec, contre, à côté de (s'asseoir à qqn). ? Le a provenant de
ab était en usage là où le français moderne emploie d e (prendre congé a qqn, mil. XIe s.). ? Par
ailleurs, à introduisait le complément d'appartenance, aujourd'hui construit avec d e : cette
construction ancienne, encore normale au début du XVIIe s., survit en langue rurale ou populaire (le
fils à son père) et dans des locutions comme fils à papa. ? Mais de très nombreux emplois encore
vivants sont attestés dès les origines. Pour ad, a e xprime le mouvement vers un lieu (mil. XIe s.),
vers une personne (1080), d oner a étant aussi attesté dans La Chanson de Roland. Avec de tels
verbes (doner, parler), ad, puis a (mil. XIe s.) a la valeur du datif latin. La situation temporelle est
marquée par a d ès le IXe s. (881, sainte Eulalie), comme la valeur instrumentale (ad pour avec). ?
Quelques emplois spatiaux sont propres à un usage géographique. En français de Belgique, une
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