Weygand, Maxime
Publié le 02/12/2021
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Général français né à Bruxelles, mort à Paris (1867-1965). Ancien élève de l'Ecole militaire de Saint-Cyr, chef d'état-major du général Foch, dont il fut le collaborateur le plus proche pendant toute la guerre de 1914-1918, chef d'état-major général de l'armée de 1930 à sa retraite en 1935. En septembre 1939, il reprit du service et partit commander le théâtre d'opérations du Levant, mais il fut rappelé après les premières défaites de mai 1940 pour remplacer le général Gamelin au commandement du front occidental. Il jugea rapidement la partie perdue et prit nettement position en faveur de l'armistice, et pour le maréchal Pétain contre le président du Conseil Paul Reynaud. Ministre du gouvernement Pétain du 17 juin au 6 septembre 1940, il fut ensuite envoyé en Afrique du Nord comme délégué général du gouvernement, avec des pouvoirs très étendus. Il manifesta toujours la volonté d'assurer l'indépendance complète de ces territoires, aussi bien vis-à-vis du Mouvement gaulliste et des Alliés que des Allemands. Ceux-ci, méfiants, exigèrent d'abord son rappel (novembre 1941), puis ils l'arrêtèrent et le transférèrent en Allemagne, où il fut libéré en mai 1945. Demeuré d'une grande vigueur physique et intellectuelle, il ne cessa jusqu'à son dernier jour de se défendre avec fougue contre ceux qui critiquaient son attitude pendant la guerre.
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