voyage au centre de la terre, chap 18

« Voyage au centre de la Terre, Jules Vernes Ch.18 (entré du cratère) (mise en situation) Lorsqu’un savant Otto Lidenbrock découvre un message crypté d’un alchimiste islandais du 16e s.

il ne tient plus d’impatience et décide d’explorer lui-même ce que l’autre à découvert.

Il entraine donc son neveu, Axel Lidebrock, un travers un périple (voyage long et aventureux) bien documenté qui va de volcan Sneffels situé en Islande en passant par d’autres villes comme Copenhague et comme Reykjavic en Islande.

Ils arrivent à la fin du mois de juin, et d’après les messages cryptés, ils découvriront l’entrée grâce à l’ombre portée par le pic de Skartaris et donc ils découvrent que parmi les 3 cratères, il s’agit du cratère central qui convient d’explorer les profondeurs de la terre.

Du 28 juin jusqu’à notre chap (1er juillet : repère temporel absolu puisque, ceci renforce les côtés scientifiques et objectifs) ils entreprennent la descente périlleuse, la plongé dans le cratère central, appelé aussi cheminée.

Et donc ils prennent des cordes et ils se ligotent et descendent ainsi pendant 2800 pieds (cad 900 mètre).

Ils arrivent donc au fond de la cheminée et nous assistons au passage entre l'exploration du monde réel et l’entrée ds le monde fictif. (pbq) Comment la description peut-elle rendre compte de l'entrée dans l’inconnu, par quel moyen et par quelle fonction de la description mais également de la réaction des personnages on arrive à nous communiquer cette angoisse et en même temps cet émerveillement cette excitation de l'exploration. I) II) III) Les héros au seuil de l’aventure Description merveilleuse Discours direct qui permet de donner une fonction évaluative (cad d’évoluer les sentiments des perso) Lorsqu’ils pénètrent dans ce couloir, il y a une autre forme de description qui est la description de formes poétiques (où esthétique) qui suit cette description référentielle.

C'est le moment donc d'introduire du merveilleux dans ce sens de registre merveilleux et donc d’émerveillé également le lecteur par la même occasion, de lui communiquer cet enthousiasme des explorateurs. Dans un premier temps, le récit nous installe dans la vision du spectacle de manière scientifique.

Ce n'est pas par hasard si le passage commence par plusieurs observations scientifiques qui constituent les premières observations portées sur le journal scientifique. • • • • • Nous avons une date : lundi 1er juillet (est un repère temporel absolu) Nous avons l’heure : 8h17 du matin (donc une heure extrêmement précise) La pression atmosphérique (principale mesure vitale pr s’orienter dans l’inconnu) La température La direction du couloir (mesure vitale) Ce sont des termes référentiels dénotatif, clair et précis et volontairement neutre qui permettent au lecteur de se faire une idée extrêmement précise de l'endroit et du moment où se trouve les héros. Le terme d’observation et le terme de boussole renvoie à la liste des instruments scientifiques dont ils se sont munis au départ.

Ainsi ces instruments de scientifiques jouent un rôle central de repérage dans le réalisme du territoire.

Ils permettent de circonscrire les périls futures et peut être même de les dominée (en tous cas ne pas se faire perdre dans l’inconnu dans la terre incognita des profondeurs souterraines).

Si le professeur emploie une métaphore/personnification en parlant des. »