Voltaire écrit dans la conclusion de "Candide" : "Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin". Quelles réflexions cette affirmation vous inspire-t-elle ? Vous vous appuierez sur des exemples précis empruntés à vos lectures et a vos expériences personnelles ?
Publié le 08/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Voltaire écrit dans la conclusion de "Candide" : "Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin". Quelles réflexions cette affirmation vous inspire-t-elle ? Vous vous appuierez sur des exemples précis empruntés à vos lectures et a vos expériences personnelles ?. Ce document contient 1072 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
· Des besoins tels que vivre, se nourrir, respirer, ont-ils vraiment une qualification en bon ou mauvais ? Ils seraient plutôt simplement nécessaires. · Nous pouvons alors comprendre l'information donnée par le sage comme suit : d'une part, le travail nous permet de ne pas avoir certains besoins inutiles, qui nous pousseraient à vouloir toujours plus (n'oublions pas que Candide est une apologie du contentement de ce que l'on a). · D'autre part, par le travail, nous contentons aussi d'autres besoins, ceux qui justement nous sont nécessaires. Aussi s'en trouvent-ils éloignés. La vision que le Turc à des maux cités est simple : ce sont eux qui rendent l'homme malheureux. Par le travail, l'homme peut ne plus y penser. 2. Comment définir le travail ? · Le travail se définit comme étant utile à l'homme et produisant quelque chose d'utile.
· Des besoins tels que vivre, se nourrir, respirer, ont-ils vraiment une qualification en bon ou mauvais ? Ils seraient plutôt simplement nécessaires. · Nous pouvons alors comprendre l'information donnée par le sage comme suit : d'une part, le travail nous permet de ne pas avoir certains besoins inutiles, qui nous pousseraient à vouloir toujours plus (n'oublions pas que Candide est une apologie du contentement de ce que l'on a). · D'autre part, par le travail, nous contentons aussi d'autres besoins, ceux qui justement nous sont nécessaires. Aussi s'en trouvent-ils éloignés. La vision que le Turc à des maux cités est simple : ce sont eux qui rendent l'homme malheureux. Par le travail, l'homme peut ne plus y penser. 2. Comment définir le travail ? · Le travail se définit comme étant utile à l'homme et produisant quelque chose d'utile.
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- Dans une comédie de 1918 créée par Sacha Guitry, le mime Debureau encourage en ces termes un jeune comédien :«A ceux qui font sourire, on ne dit pas merci ; ça ne fait rien, laisse la gloire à ceux qui font pleurer. Je sais bien qu'on dit d'eux qu'ils sont les grands artistes mais tant pis, ne sois pas honoré : on n'honore jamais que les gens qui sont tristes. (...) Fais rire le public, dissipe son ennui et, s'il te méprise et t'oublie sitôt qu'il a passé la porte, laisse-1e, ça ne fai
- De nombreux auteurs tels que Voltaire ont pris « leur plume pour une épée » (Jean-Paul Sartre, Les Mots, 1964). Pensez-vous que la littérature soit une bonne arme contre les inégalités ou les abus humains ? Quel(s) genre(s) et quel(s) registre(s) vous semblent-ils le(s) plus efficace(s) dans ce domaine ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, tirés de vos lectures personnelles, des textes étudiés en cours et de Candide.
- Dans La Tradition théâtrale, Jean Vilar, metteur en scène (1912-1971), écrit : « Le théâtre n'est pas un divertissement, n'est pas un objet de luxe, mais le besoin impérieux de tout homme et de toute femme. » En un développement composé, argumenté, vous expliquerez et au besoin discuterez cette affirmation de Jean Vilar. Vous appuierez votre travail sur des exemples que vous pourrez trouver dans les spectacles auxquels vous avez assisté comme dans vos lectures théâtrales.
- Sujet : Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin. Qu'en pensez-vous ?
- Diderot écrit : « Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant, voilà le projet de tout honnête homme qui prend la plume, le pinceau ou le ciseau ». Mais il déclare d'autre part : « Presque toujours ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu ; c'est la passion et le vice qui animent les compositions du peintre, du poète et du musicien. » A l'aide d'exemples précis, empruntés à vos l