Peut-on penser le vivant sur le modèle de la machine?

« Peut-on penser le vivant sur le modèle de la machine ? C’est à partir de ses besoins et des insuffisances de la nature que l’homme conçoit et produit des machines qui sont un ensemble d'éléments agencés systématiquement pour transformer l'énergie en travail.

Un être vivant n'est pas une machine, les parties du premier se forment les unes les autres, tandis que celles du second sont juxtaposées les unes aux autres.

Les dons d'organes et les greffes montrent cependant qu'il est possible de remplacer la partie défectueuse d'un organisme comme la pièce d'une machine.

Peut-on, dans ces conditions, considérer le vivant comme une machine? Peut-on penser le vivant sur le modèle de la machine ? Premièrement nous verrons que le vivant et la machine ont des points commun qui pourraient nous faire penser qu'on peut penser le vivant sur le modèle de la machine.

Puis nous verrons ensuite que le vivant à des choses qui n'ont aucune référence avec la machine, qu'entre le vivant et la machine il y a un grand écart.

On peut penser le vivant sur le modèle de la machine car p artons du simple fait que l’organisme est simplement une mécanisation d’organes ayant des fonctions prédéfinies.

L’Homme a des organes, la machine, des pièces.

L’Homme a un cœur, la voiture, une batterie qui est remplacée une fois usée.

L’Homme peut recevoir un don d’organe, comme la machine peut changer une pièce en fin de vie.

La relation faite peut paraître insensée, mais elle est vraie.

De ce fait, on imagine qu’un robot peut être assimilé à un être vivant sans opposition aucune.

Le vivant et la machine se retrouve tout deux dans le même cas, non pas avec les mêmes organes ou pièces mais dans la globalité des choses.

De ce fait, la relation entre l’être vivant et la machine peut laisser croire que la machine est un simple prolongement de l’Homme.

Si l’on prend le domaine de l’industrie, alors la machine qui fabrique le produit reprend le travail qui était autrefois celui de l’Homme.

Tout à été mécanisé, les machines remplacent les Hommes qui dans le temps travailler à la chaîne c'est un vrai prolongement qui nous fait bien voir que le vivant peut se reposer sur le modèle de la machine.

On peut aussi trouver plusieurs points commun entre le vivant et la machine, ils ont tout deux une vie tant que bien limité.

Que ce soit les Hommes, la nature ou bien quelque chose qu réfère au vivant, tout finira un jour ou un autre en poussière de même pour les machines.

Au commencement on pourra changer les pièces qui sont endommager, casser, jusqu'au jour où la machine toute entière rende l'âme. Toutes les parties d'un être vivant ou d'une machine ont une utilité dans leur fonctionnement.

Ce n'est pas par hasard que les rouages d'une montre sont faits, mais pour produire et communiquer le mouvement, de même ce n'est pas par hasard qu'un arbre a des feuilles, mais pour transformer la lumière en énergie.

On en conclu que la nature semble avoir un but comme les hommes et c'est ce qui fait dire à Kant que le vivant peut être considéré comme une machine, en un sens précis. Mais penser le vivant sur le modèle de la machine serait ce tromper, prenons les êtres vivants comparé à un robot ou automate.

Nous, nous éprouvons des émotions, nous avons des sentiments qui font de nous des êtres à part entière.

Nous sommes capables d'aimer, de ressentir tellement de chose alors qu'une machine ne ressent rien, elle exécute nos demandes sans rétorquer.

Les machines correspondent toujours à un programme pré-établi ce que ne sont pas les êtres vivants qui ont des réactions pré-déterminées, nous ne sommes pas de vulgaire machines.

L'homme est un être en devenir à l'inverse des machines, nul ne peut dire ce que va devenir un être humain dans le cours de sa vie.

C'est un être perfectibles, qui évolue tout au long de sa vie.

Puis nous savons que les parties d'un être vivant ne s'ajoutent les unes aux autres de façon à former progressivement un tout, comme une machine que l'on fabrique en assemblant des pièces.

Elles se développent les unes à partir des autres, comme les membres d'un corps en sont issus.

Une machine ne grandira pas seul, tandis que tout ce qui es vivant grandit, une machine à une fonctionnalité qu'elle exercera en boucle jusqu'à épuisement contrairement aux êtres-vivants qui peuvent faire de multiples choses au moment voulu. Les hommes ont diverses capacités que les machines n'atteindrons sûrement jamais, c'est eux qui créer les machines et non l'inverse.

Le vivant à une grande capacité d’autonomie, alors que les machines, tels les automates ont besoin d'être remonter, d'avoir de nouvelles piles à chaque instant.. »