victor hugo,XXII
Publié le 02/11/2021
Extrait du document
«
L’extrait étudier est écrit par Victor Hugo qui est un poète, dramaturge, écrivain, romancier et
dessinateur romantique français, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris.
Il
est considéré comme l'un des plus importants écrivains de la langue française.
L’extrait se nomme XXII fait partie de la sélection En marche du livre cinquième du recueil de poème
nomme Les contemplations.
Publie en 1856 il raconte ses souvenir et surtout il prend une place
prépondérante puisse que Victor Hugo y expérimente le genre de l’autobiographie versifiée.
Ce recueil est également un hommage à sa fille Léoldine Hugo, morte noyée dans la Seine à
Villequier.
L’extrait abordé parle de religion et d’alchimie et son registre est épidictique car il raconte l’histoire
d’un narrateur qui paye un pêcheur contre une bête
Dans ces 18 alexandrins, se profile une antithèse, celle de la monstruosité satanique face à la divinité
avec une supposition d’alchimie ? Mais Comment l’alchimie a-t-il pu rencontrer la religion ?
Pour cela, nous étudierons tout d’abord la description de la bête mystérieuse pour aboutir sur, quand
la religion rencontre le mal.
X
X
Dans l’extrait le narrateur raconte qu’il obtenu une bête horrible puis décrit vers par vers comme si
cette bête venait en quelque sorte des enfers.
Dans le vers 2 commence le champ lexical de la description de la bête : ‘’bête horrible’’ ; vers 3 ‘’ être
obscur comme l’onde en apporte’’ est une comparaison entre l’être obscur (la bête) et l’onde qui
pourrait être la mer, l’océan mais qui pourrait être sous-entendu par l’enfer comme nous pouvons le
prouver dans le vers 15 ‘’ vague profonde’’ les profondeur= les enfers donc nous pouvons supposer
que la bête viendrait des enfers.
le vers 4 « plus grand serait hydre et plus petit, cloporte » pourrait
être une métaphore comparons la bête soit a l’hydre (bête de la mythologie grec ) soit a un cloporte
avec le vers 5 « sans forme comme l’ombre ,et, comme Dieu » nous permet d’approfondir notre
hypothèse car il nous explique que la bête n’aurai pas vraiment de forme et donc il n’y aurai que
l’imagination pour pouvoir nous dévoiler ça réel forme et donc il pourraient bien avoir la forme d’un
créature mythologique/créature des enfer .il nous dévoilent un peu plus le physique de l’animal dans
les vers à venir (vers 9) « bouche affreuse » et « noir moignon » ,(vers9) « sombre « et « hideux »,
(vers 14) « maudit » et (vers 18) « monstre » ,la répétition de « il tâchait de me mordre » dans les
vers 7 et 10 permet d’accentuer sur le terreur / monstruosité qui proviendrait des enfer mais aussi
avec la personnification dans les vers 11 qui personnifie les dent de la bête on choses ayant la
capacite de pourvoir cherché quelque chose dans ce cas du poème les doigts du narrateur.
xxx.
pour accentuer notre point vu sur la bête nous pouvons utiliser les diffèrent vers qu’il utiliser
pour dénigre la bête comme dans les vers 14 « le cabre » (nous apprenons ça réel apparence) et dans
le vers 4 « et plus petit, cloporte », pour le narrateur la bête ne serait rien d’autre qu’un minuscule
animal ‘’inoffensive’’
XXX.
Nous avons une autre hypothèse celle ou la créature ne serait guerre point une bête sortie des
enfers mais un chose crée par l’alchimie.
Comme nous l’avons dit dans l’explication du vers 3 « l’onde « pourrait être la représentation de la
mer/de l’océan ou l’enfer qui représenterait l’eau ou le feu qui sont l’un des élément de l’alchimie qui
permettraient de crée son caractère .Vers 7 « l’écaille » pourraient représenter la Terre celle qui.
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