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Versification

Publié le 15/05/2020

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« Versification La césure est une ligne imaginaire dans un vers qui sépare le vers en deux parties appelés hémistiche.

De plus, les hémistiches doivent être cohérents, c'est-à-dire qu'ils doivent faire du sens si nous enlevions l'autre hémistiche.

Les vers suivants de ClémentMarot démontrent bien la césure (numéro 8, recueil, p.27) : An/ne,/ par/ jeu,// me / je/ta / de / la / neige, Que / je / cui/dais// froi/de / cer/tai/ne/ment; La double barre oblique représente la césure. L'hémistiche est une partie d'un vers qui est délimité par la césure.

Comme mentionné plus haut, l'hémistiche doit être cohérent et faire du sens sans voisin.

Les vers suivants du poème intitulé « Le dizain de la neige » (numéro 8, recueil, p.27) illustre bien les hémistiches : [An/ne,/ par/ jeu, ] // [me / je/ta / de / la / neige, ] [Que / je / cui/dais ]//[ froi/de / cer/tai/ne/ment; ] Dans ce cas-ci, nous pouvons voir que la césure est située après le quatrième pied ce qui donne 2 hémistiches, un de 4 pieds etun second de 6 pieds. Un décasyllabe est un poème dont chacun des vers contient 10 pieds.

Les vers suivants du poème intitulé « Le dizain de la neige » (numéro 8, recueil, p.27) illustre bien le décasyllabe: An/ne,/ par/ jeu,// me / je/ta / de / la / neige, Que / je / cui/dais// froi/de / cer/tai/ne/ment; Si nous comptons chaque syllabe dans chacun des deux vers, nous comptons 10 pieds dans chaque ligne. Un épigramme est une petite pièce de poésie sur des sujets divers.

Il est très bref et il offre une pensée ingénieuse ou délicate exprimée avec grâce et précision.

Les vers suivants du poème intitulé « le dizain de la neige » (numéro 8, recueil, p.27) illustre bien l'épigramme : Anne, par jeu, me jeta de la neige, Que je cuidais froide certainement; Mais c'était feu; l'expérience en ai-je, Car embrasé je fus soundainement. Puisque le feu loge secrètement Dedans la neige, où trouverai-je place Pour n'ardre point? Anne ta seule grâce Éteindre peut le feu que je sens bien, Non point par eau, par neige, ni par glace, Mais par sentir un feu pareil au mien En regardant ce poème, nous voyons qu'il s'agit d'un plus petit texte qu'un sonnet par exemple.

De plus, il parle du sentimentamoureux en sortant des métaphores et d'autres figures de style pour le mettre en évidence et avec précision.

En regardant ces. »

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