Vanité avec violon et bille de verre de Pieter Claesz
Publié le 22/02/2022
Extrait du document
«
Proposition de correction
Le tableau Vanité avec violon et bille de verre de Pieter Claesz daté de 1628 est une
huile sur toile de 60x100cm qui appartient véritablement au genre de la vanité.
Pour
commencer, les plaisirs futiles de la vie terrestre sont représentés.
Nous pouvons ainsi
observer un violon, des livres et une plume au premier plan de l’œuvre.
Ces objets évoquent
l’art, les lettres et la science qui sont sans doute, pour le peintre, des plaisirs vains de la vie
humaine.
Pour continuer l’idée de la fuite du temps est bien présente sur la toile.
Nous
remarquons en bas à gauche une montre ouverte et sa clé qui sert à la remonter.
La montre
est sûrement une allégorie du temps qui passe, incontrôlable.
La clé, elle, ne sert plus à
régler le cadran et nous rappelle ainsi que nous ne pouvons rien changer au cours du temps.
De plus, l’éphémère est aussi mis en scène sur cette toile.
Nous pouvons noter une sphère
dans laquelle nous apercevons le reflet du peintre.
Cette bille de verre est un miroir qui offre
la possibilité d’étendre le champ visuel.
Nous y distinguons une scène dans laquelle l’artiste
s’est peint lui-même.
Pieter Claesz se considère-t-il comme important ou est-ce une preuve
d’humilité ? Finalement cette vanité interroge le spectateur sur son passage sur terre et
semble lui susurrer à l’oreille : « memento mori ».
Proposition de correction
Le tableau Vanité avec violon et bille de verre de Pieter Claesz daté de 1628 est une
huile sur toile de 60x100cm qui appartient véritablement au genre de la vanité.
Pour
commencer, les plaisirs futiles de la vie terrestre sont représentés.
Nous pouvons ainsi
observer un violon, des livres et une plume au premier plan de l’œuvre.
Ces objets évoquent
l’art, les lettres et la science qui sont sans doute, pour le peintre, des plaisirs vains de la vie
humaine.
Pour continuer l’idée de la fuite du temps est bien présente sur la toile.
Nous
remarquons en bas à gauche une montre ouverte et sa clé qui sert à la remonter.
La montre
est sûrement une allégorie du temps qui passe, incontrôlable.
La clé, elle, ne sert plus à
régler le cadran et nous rappelle ainsi que nous ne pouvons rien changer au cours du temps.
De plus, l’éphémère est aussi mis en scène sur cette toile.
Nous pouvons noter une sphère
dans laquelle nous apercevons le reflet du peintre.
Cette bille de verre est un miroir qui offre
la possibilité d’étendre le champ visuel.
Nous y distinguons une scène dans laquelle l’artiste
s’est peint lui-même.
Pieter Claesz se considère-t-il comme important ou est-ce une preuve
d’humilité ? Finalement cette vanité interroge le spectateur sur son passage sur terre et
semble lui susurrer à l’oreille : « memento mori »..
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