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Un privilège de la conscience ?

Publié le 29/01/2022

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« La conscience peut être défini différemment et avant de montrer ce que cette conscience peut apporter à l’homme, il est important d’être en accord avec ce mot.

Si la conscience consiste par exemple à ressentir les choses, grâce à nos sens ; nous pourrions dire alors que les hommes tout comme les animaux disposent d’une conscience.

Si l’on pose une définition plus précise de la conscience, nous pourrions admettre que l’homme possède une conscience et que celle-ci lui permet de se distinguer de toute chose et toute objet.

Mais encore ici nous pourrions dire que certains animaux possèdent un degré de conscience.

Nous n’allons cependant pas rentrer dans ce débat.

On va se mettre d’accord pour dire que l’homme n’est pas un être comme les autres puisqu’il ne se contente pas de se nourrir, il peut aussi réfléchir, penser.

Ces compétences sont donc des atouts clés pour l’homme.

Nous allons donc nous demander ce que nous apprennent ces trois textes sur la conscience de l’homme et en quoi celle-ci est un privilège. Le premier texte de Kant auteur du 18 ème siècle, nous définit cette conscience.

Nous allons voir que sa définition passe surtout par la pensé.

On retrouve de nombreuses fois le pronom personnel « je » Kant l’utilise d’ailleurs comme un nom commun.

Il explique que la conscience de l’homme le fait passer « au-dessus de tous les êtres vivant ».

Il fait ainsi l’éloge de la conscience en nous montrant la singularité de la pensée humaine et la raison qui pousse l’homme à réfléchir sur lui-même.

Cela place alors l’homme sur une autre échelle que les animaux et l’homme a la faculté de se rendre compte des distinctions des autres espèces : « une personne (est) différent, par le rang et par la dignité.

».

Kant évoque aussi le langage.

Pour lui le langage est facultatif car avec sa conscience l’humain peut penser a lui- même sans s’exprimer oralement.

Cela nous renforce sa thèse de la conscience par la pensé. La pensé c’est aussi, l’esprit libre et le pouvoir de se faire un libre arbitre.

L’homme peut penser et réfléchir sans que l’on ne puisse lui en interdire ce qui ai un privilège évoqué dans les sciences humaines.

Mais on nous montre que cela passe par un apprentissage et n’est pas innée dès la naissance : « l’enfant qui sait déjà parler assez correctement ne commence qu’assez tard ».

Et c’est ici que fini Kant sur notre définition évoqué dans l’introduction sur la différenciation entre animal et homme.

On s’aperçoit qu’a sa naissance sa conscience, certes n’est pas la même qu’un animal mais se situe entre l’animale et l’homme avec une seule conscience, celle d’utiliser seulement ses sens. Le deuxième texte a été rédigé par Kean-Henri Fabre, observateur des insectes, au 19 ème. On nous expose ici la non conscience chez l’animal de sorte à ce que le lecteur face la différence entre entre ce que l’on nous a proposé avant et l’absence de la réflexion.

Ici on nous démontre qu’une abeille n’a pas de réflexion poussé.

En effet on voit que dès lors que l’abeille fini son cycle d’emmagasinement, au moment de rentrer dans sa cellule un humain l’empêche d’y rentrer.

L’abeille pourtant, recommence tout son cycle alors que son jabot a été vidé juste avant.

On remarque la stupidité de l’abeille et son défaut de ne pas pouvoir se rendre compte de la situation et de l’action précédente.

Il y a donc un manque d’adaptation. On voit donc qu’ici la conscience de l’abeille n’existe pas au sens de L’Homme.

On constate qu’il n’y a pas de réflexion mais plutôt une pratique innée.

En effet, on remarque tout de même une certaine intelligence de l’abeille à faire toute ces actions précises dans l’ordre, correctement et surtout en retenant le cycle.

Mais si l’abeille ne se rend pas compte de cela, alors qui est derrière cette programmation millimétrique de ces être ? La nature possède-t- elle, elle aussi, une conscience bien qu’elle ne soit pas considérée comme un être ?. »

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