UN GRAND PATRON
Publié le 06/12/2021
Extrait du document
UN GRAND PATRON
Réalisation Yves CIAMPI (1951)
Scénario Pierre VERY et Yves CIAMPI
Dialogues Pierre VERY
Directeur de la photographie Marcel GRIGNON
Musique Joseph KOSMA
Décors René MOULAERT
Production Discina
Durée 95 minutes
INTERPRÉTATION
Docteur Delage Pierre FRESNAY
Florence Renée DEVILLERS
Jacques Roland ALEXANDRE
Marcillac Jean-Claude PASCAL
Jacqueline Christiane BARRY
Le barbu Claude NICOT
Catherine Claire DUHAMEL
Gaston Pierre DESTAILLES
Tannard Marcel ANDRÉ
Professeur Peccavi Robert MOOR
Albert Serge LECOINTE
L'HISTOIRE
Autour du portrait en pied de Louis Delage, un des grands patrons de la chirurgie, pour qui compte uniquement sa carrière à quoi il sacrifie tout, se groupent les silhouettes de ceux qui ont l'habitude de l'entourer. Flo¬rence, sa femme, dévouée, aimante, résignée à n'être plus que la compagne mondaine de son célèbre époux ; Jacques, son filleul, qui essaie sans enthousiasme de devenir, lui aussi chirurgien, et qui, poussé par sa fiancée Catherine, préférerait de beaucoup se consa¬crer à la décoration. Marcillac, brillant second de Delage et qui ne vise, lui aussi, qu'un objectif : sa carrière. Le docteur Tannard
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Réalisation
Scénario
Dialogues
Directeur de
Musique Décors
Production
Durée
la photographie
Yves CIAMPI (1951) Pierre VERY et Yves CIAMPI
Pierre VERY
Marcel GRIGNON Joseph KOSMA René MOULAERT Discina 95 minutes
INTERPRÉTATION
Docteur Delage
Florence
Jacques Marcillac
Jacqueline Le
barbu Catherine Gaston Tannard Professeur Peccavi Albert
Pierre FRESNAY Renée DEVILLERS
Roland ALEXANDRE Jean-Claude PASCAL Christiane BARRY Claude NICOT Claire DUHAMEL Pierre DESTAILLES Marcel ANDRÉ RobertMOOR
Serge LECOINTE
L'HISTOIRE
Autour du portrait en pied de Louis Delage,
un des grands patrons de la chirurgie, pour qui compte uniquement sa carrière à quoi il sacrifie tout, se groupent les silhouettes de
ceux qui ont l'habitude de l'entourer.
Flo
rence, sa femme, dévouée, aimante, résignée
à
n'être plus que la compagne mondaine de
son célèbre époux; Jacques, son filleul, qui
essaie sans enthousiasme de devenir, lui aussi
chirurgien,
et qui, poussé par sa fiancée
Catherine, préférerait de beaucoup se consa crer à la décoration.
Marcillac, brillant second
de Delage et qui ne vise, lui aussi, qu'un objectif : sa carrière.
Le docteur Tannard, cousin de Delage, envieux de sa réussite et menant une guerre sourde contre les métho des chirurgicales.
Des incidents émaillent
cette chronique des cliniques.
Jacques et Catherine se font des reproches et la jeune fille s'éloigne.
Jacques essaie de s'étourdir
et, à la suite d'une surprise-partie, un de ses amis renverse un copain.
Ce dernier, ramené chez Jacques, est mal soigné, c'est le
diagnostic de Marcillac qui le sauve.
Vexé,
malheureux, Jacques malgré les avis répétés de Delage déclare abandonner ses études de chirurgie.
Un jeune garçon Albert a été re
cueilli par le Grand Patron après la mort de sa seule vieille parente.
Indisposé par des
échos malveillants, Delage veut mettre Albert en pension.
L'enfant se sauve et tente de se
suicidèr.
Ému Je professeur lui porte secours et lui trouve une nouvelle famille.
Tant d'in
cidents lui font ouvrir les yeux sur la solitude
de sa femme.
Ce bon mouvement ne dure
pas, Delage étant décidé à préparer son é lec
tion à l'Académie de Médecine.
li a d'ailleurs
la joie de voir revenir à ses côtés Jacques et de sentir tous ses élèves solidement groupés autour de lui.
LA PETITE HISTOIRE " Pierre Véry signa le scénario du GRAND PATRON aiw le réalisateur Yi·es Ciampi.
Faut-il rappeler que cet écrivain subtil et délicat
écrii·it avant la guerre un certain nombre de romans policiers dont les titres ornèrent les
génériques cl'œuvres qui demeurent dans la mémoire des cinéphiles: LES DISPARUS DE SAINT-AGIL et L'ASSASSINAT DU PÈRE
NOËL (Christian-Jaque); COUP/ MAINS- IB ROUGES (Becker); MADAME ET LE ~ MORT (Daquin); LE PAYS SANS ÉTOILE S (Lacombe).
Il avait participé aussi, il est vrai, 1iî au scénario de PENSION JONAS de Pierre "' Caron, interdit pendant /'occupation sous ~ prétexte d'imbécilité' Ce qui dut bien faire rire .§ Pierre Véry.
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