Truffaut François
Publié le 18/05/2020
Extrait du document
«
\HDLN0000100086
\LINK0017600185PE_0845T
Truffaut François
Cinéaste français
* 6.2.1932, Paris
+ 21.10.1984, Neuilly-sur-Seine
Amoureux fou du grand écran, critique aux "Cahiers du cinéma",
puis assistant de Roberto Rossellini, Truffaut s'impose entre
les années soixante et soixante-dix dans le monde du cinéma.
Il commence par s'insurger contre l'"académisme français"
avant de devenir l'un des chefs de file de la Nouvelle Vague.
En 1959, "Les Quatre Cents Coups", son premier film, rencontre
un accueil enthousiaste.
Le personnage d'Antoine Doinel,
interprété par Jean-Pierre Léaud (* 1944), est fortement
inspiré de la propre vie du cinéaste.
Des "Quatre Cents coups"
à "L'Amour en fuite" (1979) en passant par "Baisers volés"
(1968) et "Domicile conjugal" (1970), Truffaut montre
l'évolution de son personnage, adolescent rebelle, puis adulte
instable.
Dans ses autres oeuvres, il varie les genres et les
tons : "Jules et Jim" (1962), "Fahrenheit 451" (1966), "La
Mariée était en noir" (1967), "L'Enfant sauvage" (1970, film
dans lequel il joue lui-même le rôle du thérapeute),
"L'Histoire d'Adèle H." (1976), "Le Dernier Métro" (1980).
Bien qu'il recherche la diversité, Truffaut a toutefois un
thème de prédilection : nombre de ses films (dont son premier
court métrage, "Les Mistons", 1958), sont, en effet, consacrés
à l'enfance.
Le cinéaste meurt à l'âge de 52 ans, un an après
avoir réalisé "Vivement dimanche !" (1983).
1.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- TRUFFAUT, François(6 février 1932-21 octobre 1984)CinéasteA l'automne 1957, l'hebdomadaire l'Express intitule un dossier consacréau cinéma français : " La Nouvelle Vague arrive ".
- grand oral: Sondages d’opinions et vérités des urnes en France sous la présidence de François Hollande
- C.E. 2 nov. 1973, SOCIÉTÉ ANONYME « LIBRAIRIE FRANÇOIS MASPERO », Rec. 611
- Dans quelle mesure la Juste la fin du monde consiste-t-elle, comme le dit François BERREUR, en« un équilibre de tensions»
- Corrigé commentaire Hobbes: Léviathan, chapitre XIII, Trad. François Tricaud, Sirey (© Dalloz), 1971, pp. 126-127.