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Trasnfert horizontaux de gènes

Publié le 23/06/2024

Extrait du document

« Des mécanismes de diversi cation du vivant : les transferts horizontaux de gènes Les algues du genre Porphyra constituent un élément de base dans la conception des sushis, aliment très consommé par les Japonais (en moyenne 14.2 g par jour) et qu’ils parviennent à digérer facilement, contrairement aux occidentaux. A partir de l’étude des documents et de vos connaissances, montrez en quoi la consommation de sushi est la source de cette particularité chez les japonais. fi Document 2 L’objectif est d’expliquer comment les japonais peuvent digérer les sushis contrairement à la population occidentale. D’après le doc 1: les algues Nori « Porphyra », éléments de base pour les sushis consommées crues par les japonais, sont constituées de glucides complexes nommés porphyranes.

La digestion de ses glucides se fait par l’enzyme : porphyranase : qui se trouve uniquement chez les bactéries Zobellia Galactanivorans et absent dans les cellules humaines. On voit sur la photo, la présence des bactéries Zobellia Galactanivorans, sur l’algue porphyra. Donc pb ? Comment les japonais peuvent digérer cette algue sachant qu’ils ne possèdent pas l’enzyme porphyranase ? Hypothèse : On peut supposer que, lors de l’ingestion des sushis, les bactéries Zobellia Galactanivorans, sont entrées en contact avec le tube digestif des Japonais, et ont, d’une manière ou d’une autre, transmis le gène de la porphyranase aux cellules/ bactéries présentes dans le tube digestif des Japonais. Le document 2, nous présente le principe de la transformation bactérienne. A l’époque où les travaux ont été menés, la nature et la structure de l’ADN n’était pas connue. —> 1/ En injectant la souche S à la souris, la souris meurt —> 2/ En injectant la souche R à la souris, aucun symptôme, aucune souris ne meurt Hypothèse que les pneumocoques de la souche S ont un facteur de virulence que n’ont pas la souche R. —> 3/ Suite à l’inactivation des pneumocoques de la souche S et à leur injection, aucune souris ne meurt.

On en déduit donc, en plus du facteur de virulence les pneumocoques doivent être vivants pour être virulents. —> 4/ Co-injection S tués/ inactivés et souche R vivante, entraine la mort de la souris et présence de nombreux pneumocoques S vivants dans le sang des souris. Ainsi : les pneumocoques de la souche R non virulents, se sont transformés.... »

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