tpe: Comment l’homme peut-il se défaire des mauvaises normes que la société lui a transmises et aspirer à un avenir meilleur ?
Publié le 28/02/2022
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Socialisation de l’individu Le terme de société est la traduction du latin societas issu du mot socius qui signifie le compagnon, l’allié ou encore l’associé. Ce terme est ainsi utilisé pour rendre compte du fait que l’homme est en compagnie de ses semblables, qu’il vit, échange, communique, partage avec eux. La société exprime ainsi un aspect fondamental de la condition humaine à savoir cette relation d’interdépendance entre les hommes. Par société, on désigne ainsi tout regroupement ou rassemblement d’individus donnant lieu à une vie collective réglée par un certain nombre de règles et de pratiques. Pourquoi vivons-nous en société? La chose se fait naturellement, une personne recherche toujours ses semblables pour avoir une vie associative. Un être humain est un être de besoins, qu'il essaie de satisfaire par interaction avec son environnement. Cet environnement est constitué de personnes qui ont une culture, qui définissent une civilisation. Pour l’homme, avoir une vie intéressante, est donc de mettre en place une société. Bien évidemment, certaines personnes peuvent avoir de "simples" besoins. Elles peuvent alors se contenter d'une vie rudimentaire, faite de pêche, de culture et de cueillette; avoir quelques amis, une maison isolée... Tout en décidant de se limiter à un certain niveau de culture: absence de restaurants, cinémas, fêtes organisées en ville. Elles se contentent de peu. Toute société est essentiellement basée sur la coopération et l'entraide. La société occupe de nombreuse fonction dans la vie d’un homme. Selon les philosophes qui ont réfléchit au fondement de la société, sa première fonction est d’assurer un cadre sécuritaire par le biais des lois mais cette fonction n’est pas la seule .Les penseurs politiques comme Hobbes affirme dans son œuvre -Léviathan2 - qu’elle est d’une nécessité vitale pour l’homme. En imaginant un moment fictif de l’histoire ou la société n’existait pas encore, conclue dans son œuvre que sans cadre social, les hommes vivent dans une situation de guerre généralisée et permanente. La société permet également de socialiser l’homme et de développer ses facultés. Dès notre plus jeune âge, les normes de la société nous sont transmises. Nous avons appris ce que l’on appelle les bonnes manières, c’est-à-dire se comporter convenablement (par exemple ; ne pas voler , ne pas interrompre une personne qui est entrain de parler…). Dans son ouvrage ‘’ qu’est-ce que les lumières ?’’3 Kant analyse l’effort de l’homme pour s’éduquer, sortir de son ignorance et devenir un être intellectuellement et moralement digne. En suivant donc le raisonnement de Kant sans l’école, l’humanité ne se perfectionnerait pas, elle sombrerait dans l’obscurité complète. La société est donc un terreau fertile sur lequel l’homme améliore ses qualités intellectuelles et morales par le biais de l’apprentissage. Pour résumer, à travers la société l’homme s’éduque et prend conscience de son existence. Il est le reflet de la société dans laquelle il se trouve. Il tire la grande partie de son éducation des structures mises en place pour sa croissance, c’est le cas des écoles, des centres de formations. La société dans laquelle vit l’homme détermine en partie sa façon de penser, ses goûts, ses réactions. A travers elle, ce dernier acquiert aussi des comportements et des attitudes qui favorisent le bien-être de la société c’est le fait de pratiquer l’amour, le partage, le dialogue. Ses instances de socialisation donneront 2 Livre de Thomas Hobbes publie à Londres en 1651 3 Essai du philosophe allemand Emmanuel Kant datant de 1784 lieu au moi, au surmoi et au ça. Selon Freud, le Moi correspond à la partie défensive de notre personnalité, il est considéré comme la plus consciente. Il tente grâce à un rôle de médiateur de répondre aux intérêts respectifs du ça, du surmoi et du monde extérieur afin de trouver un certain équilibre. Le Moi est une “pauvre créature, devant servir trois maîtres». En effet, le moi doit supporter la menace provenant du monde extérieur, du ça et du surmoi. Le ça est le «lieu» d’où proviennent les pulsions, il répond principalement au domaine de l’instinctif et de l’inconscient. De plus, le ça, dans l’Interprétation des Rêves notamment, ne connaît aucune règle, ni de temps ni d’espace, ni d’interdit ; il est seulement régi par sa libido, c’est -à-dire l’énergie psychique souvent liée à la sexualité ou à l’agressivité, dans le but final d’atteindre le plaisir immédiat. Enfin, le surmoi représente l’agent critique, l’intériorisation des interdits et les exigences parentales, sociales et culturelles. Il est en partie inconscient, et se forme durant l’enfance et l’adolescence. La société occupe donc une place pondérant dans la vie d’un homme. Cependant qu’arrive-t-il lorsque cette celle-ci est défaillante ? Pour Rousseau, philosophe des lumières, la société rend la perfectibilité de l’homme possible.
Socialisation de l’individu Le terme de société est la traduction du latin societas issu du mot socius qui signifie le compagnon, l’allié ou encore l’associé. Ce terme est ainsi utilisé pour rendre compte du fait que l’homme est en compagnie de ses semblables, qu’il vit, échange, communique, partage avec eux. La société exprime ainsi un aspect fondamental de la condition humaine à savoir cette relation d’interdépendance entre les hommes. Par société, on désigne ainsi tout regroupement ou rassemblement d’individus donnant lieu à une vie collective réglée par un certain nombre de règles et de pratiques. Pourquoi vivons-nous en société? La chose se fait naturellement, une personne recherche toujours ses semblables pour avoir une vie associative. Un être humain est un être de besoins, qu'il essaie de satisfaire par interaction avec son environnement. Cet environnement est constitué de personnes qui ont une culture, qui définissent une civilisation. Pour l’homme, avoir une vie intéressante, est donc de mettre en place une société. Bien évidemment, certaines personnes peuvent avoir de "simples" besoins. Elles peuvent alors se contenter d'une vie rudimentaire, faite de pêche, de culture et de cueillette; avoir quelques amis, une maison isolée... Tout en décidant de se limiter à un certain niveau de culture: absence de restaurants, cinémas, fêtes organisées en ville. Elles se contentent de peu. Toute société est essentiellement basée sur la coopération et l'entraide. La société occupe de nombreuse fonction dans la vie d’un homme. Selon les philosophes qui ont réfléchit au fondement de la société, sa première fonction est d’assurer un cadre sécuritaire par le biais des lois mais cette fonction n’est pas la seule .Les penseurs politiques comme Hobbes affirme dans son œuvre -Léviathan2 - qu’elle est d’une nécessité vitale pour l’homme. En imaginant un moment fictif de l’histoire ou la société n’existait pas encore, conclue dans son œuvre que sans cadre social, les hommes vivent dans une situation de guerre généralisée et permanente. La société permet également de socialiser l’homme et de développer ses facultés. Dès notre plus jeune âge, les normes de la société nous sont transmises. Nous avons appris ce que l’on appelle les bonnes manières, c’est-à-dire se comporter convenablement (par exemple ; ne pas voler , ne pas interrompre une personne qui est entrain de parler…). Dans son ouvrage ‘’ qu’est-ce que les lumières ?’’3 Kant analyse l’effort de l’homme pour s’éduquer, sortir de son ignorance et devenir un être intellectuellement et moralement digne. En suivant donc le raisonnement de Kant sans l’école, l’humanité ne se perfectionnerait pas, elle sombrerait dans l’obscurité complète. La société est donc un terreau fertile sur lequel l’homme améliore ses qualités intellectuelles et morales par le biais de l’apprentissage. Pour résumer, à travers la société l’homme s’éduque et prend conscience de son existence. Il est le reflet de la société dans laquelle il se trouve. Il tire la grande partie de son éducation des structures mises en place pour sa croissance, c’est le cas des écoles, des centres de formations. La société dans laquelle vit l’homme détermine en partie sa façon de penser, ses goûts, ses réactions. A travers elle, ce dernier acquiert aussi des comportements et des attitudes qui favorisent le bien-être de la société c’est le fait de pratiquer l’amour, le partage, le dialogue. Ses instances de socialisation donneront 2 Livre de Thomas Hobbes publie à Londres en 1651 3 Essai du philosophe allemand Emmanuel Kant datant de 1784 lieu au moi, au surmoi et au ça. Selon Freud, le Moi correspond à la partie défensive de notre personnalité, il est considéré comme la plus consciente. Il tente grâce à un rôle de médiateur de répondre aux intérêts respectifs du ça, du surmoi et du monde extérieur afin de trouver un certain équilibre. Le Moi est une “pauvre créature, devant servir trois maîtres». En effet, le moi doit supporter la menace provenant du monde extérieur, du ça et du surmoi. Le ça est le «lieu» d’où proviennent les pulsions, il répond principalement au domaine de l’instinctif et de l’inconscient. De plus, le ça, dans l’Interprétation des Rêves notamment, ne connaît aucune règle, ni de temps ni d’espace, ni d’interdit ; il est seulement régi par sa libido, c’est -à-dire l’énergie psychique souvent liée à la sexualité ou à l’agressivité, dans le but final d’atteindre le plaisir immédiat. Enfin, le surmoi représente l’agent critique, l’intériorisation des interdits et les exigences parentales, sociales et culturelles. Il est en partie inconscient, et se forme durant l’enfance et l’adolescence. La société occupe donc une place pondérant dans la vie d’un homme. Cependant qu’arrive-t-il lorsque cette celle-ci est défaillante ? Pour Rousseau, philosophe des lumières, la société rend la perfectibilité de l’homme possible.
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