TPE.
Publié le 08/12/2021
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La consommation de drogue/cannabis en France en fonction du genre :
Comme dans la plupart des pays européens la consommation de drogue et plus particulièrement de cannabis en France est plus notable chez les hommes que chez les femmes. Bien que chez les 2 genres le taux d'expérimentation chez les adolescents sont élevés ; « À 15-16 ans, 19 % des adolescents européens ont déjà fumé du cannabis», on retrouve toujours un écart plus ou moins important entres les 2 sexes : « les garçons se déclarent nettement plus souvent concernés que les filles (22 % contre 16 %). ». Et c'est un écart qui se creuse encore plus à travers les âges : « Parmi les mineurs, on compte 77,8 % de garçons et 22,2 % de filles. Parmi les consultants âgés de 18 à 25 ans, 84,1 % sont des garçons et 15,9 % des filles. Enfin, parmi les consultants âgés de plus de 25 ans, 76,8 % sont des garçons et 23,2 % des filles. ». Mais étonnament ce ne sont pas les hommes qui sont majoritairement des consommateurs régulier voir intensif. En effet, les femmes sont la plupart du temps des consommatrices plus agé « (24,2 vs 23,0 ans) » et celles étant des consommatrices abusives ont plus de 25 ans. Contrairement à leurs confrères masculins, elles ont une consommation régulière, selon le CJC, de 61,7% (minimum 10 usages/mois), contre 56,9% chez les hommes (0,9% ratio H/F).
Les raisons de consommation de cannabis différe également selon le genre. Effectivement, la motivation principale chez les femmes à prendre cette drogue, toujours selon le CJC, serait pour lutter contre l'angoisse et dormir , avec 52% de mineurs, et augmentant de 19 points chez les plus de 25 ans avec 71%. Le cannabis serait alors un moyen thérapeutique de lutter contre leurs maux psychologique/physique. Chez les hommes, ils sont dominant dans la consommation afin de rechercher du plaisir ou pour la convivialité (partage entres ami(e)s). Pourtant, se distingue un taux de commation diminuant à traves les âges, avec 59% chez les mineurs, 52% chez les 18-25 ans jusqu'à finalement « seulement » 30% chez les plus de 25 ans (diminution de 22 points depuis les mineurs).
Consommation du cannabis selon les classes sociales :
Selon diverses études les milieux sociaux n'ont aucunes influence dans l'initiation au cannabis. Néanmoins ils ont un impact dans la consommation et les conséquences de celle-ci. En effet, si l'on prend pour exemple l'impact du cannabis dans la réussite scolaire, sa consommation n'implique aucunes différences dans les résultats entre les consommateurs et non-consommateurs. Pourtant le syndrôme amotivationel perpetrer par l'effet « sédatif » du cannabis nuit à ceux ayant déjà une motivation relativement basse. Alors les milieux défavorisé pourrait avoir un impact sur une consommation de cannabis plus élevé qu'en milieu favorisé dû à une intégration scolaire plus difficile ainsi que des résultats ne satisfaisant pas le niveau requiert par les enseignants ou l'établissement. Cependant la classe sociale n'a pas seulement un impact au niveau scolaire et sa consommation de cannabis mais aussi dans « les modes éducatifs adoptés par les parents ». Ainsi « les modes éducatifs variant, en fonction des milieux sociaux, les classes populaires étant plus strictes et plus formalistes que les familles des classes moyennes et supérieures»
La consommation de drogue/cannabis en France en fonction du genre :
Comme dans la plupart des pays européens la consommation de drogue et plus particulièrement de cannabis en France est plus notable chez les hommes que chez les femmes. Bien que chez les 2 genres le taux d'expérimentation chez les adolescents sont élevés ; « À 15-16 ans, 19 % des adolescents européens ont déjà fumé du cannabis», on retrouve toujours un écart plus ou moins important entres les 2 sexes : « les garçons se déclarent nettement plus souvent concernés que les filles (22 % contre 16 %). ». Et c'est un écart qui se creuse encore plus à travers les âges : « Parmi les mineurs, on compte 77,8 % de garçons et 22,2 % de filles. Parmi les consultants âgés de 18 à 25 ans, 84,1 % sont des garçons et 15,9 % des filles. Enfin, parmi les consultants âgés de plus de 25 ans, 76,8 % sont des garçons et 23,2 % des filles. ». Mais étonnament ce ne sont pas les hommes qui sont majoritairement des consommateurs régulier voir intensif. En effet, les femmes sont la plupart du temps des consommatrices plus agé « (24,2 vs 23,0 ans) » et celles étant des consommatrices abusives ont plus de 25 ans. Contrairement à leurs confrères masculins, elles ont une consommation régulière, selon le CJC, de 61,7% (minimum 10 usages/mois), contre 56,9% chez les hommes (0,9% ratio H/F).
Les raisons de consommation de cannabis différe également selon le genre. Effectivement, la motivation principale chez les femmes à prendre cette drogue, toujours selon le CJC, serait pour lutter contre l'angoisse et dormir , avec 52% de mineurs, et augmentant de 19 points chez les plus de 25 ans avec 71%. Le cannabis serait alors un moyen thérapeutique de lutter contre leurs maux psychologique/physique. Chez les hommes, ils sont dominant dans la consommation afin de rechercher du plaisir ou pour la convivialité (partage entres ami(e)s). Pourtant, se distingue un taux de commation diminuant à traves les âges, avec 59% chez les mineurs, 52% chez les 18-25 ans jusqu'à finalement « seulement » 30% chez les plus de 25 ans (diminution de 22 points depuis les mineurs).
Consommation du cannabis selon les classes sociales :
Selon diverses études les milieux sociaux n'ont aucunes influence dans l'initiation au cannabis. Néanmoins ils ont un impact dans la consommation et les conséquences de celle-ci. En effet, si l'on prend pour exemple l'impact du cannabis dans la réussite scolaire, sa consommation n'implique aucunes différences dans les résultats entre les consommateurs et non-consommateurs. Pourtant le syndrôme amotivationel perpetrer par l'effet « sédatif » du cannabis nuit à ceux ayant déjà une motivation relativement basse. Alors les milieux défavorisé pourrait avoir un impact sur une consommation de cannabis plus élevé qu'en milieu favorisé dû à une intégration scolaire plus difficile ainsi que des résultats ne satisfaisant pas le niveau requiert par les enseignants ou l'établissement. Cependant la classe sociale n'a pas seulement un impact au niveau scolaire et sa consommation de cannabis mais aussi dans « les modes éducatifs adoptés par les parents ». Ainsi « les modes éducatifs variant, en fonction des milieux sociaux, les classes populaires étant plus strictes et plus formalistes que les familles des classes moyennes et supérieures»
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