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Technostructure

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 Technostructure 1 Analysant to developpement recent du capitalisme aux Etats-Unis, reconomiste americain John Kenneth Gal- braith souligne le Me croissant de la technologie dans la vie economique et les contraintes qui en decoulent pour l'entreprise : investissements de plus en plus lourds, allongement des delais de production, obligation de pro- grammer et de planifier, specialisation croissante des birches et du personnel.

Cette evolution entraine ,un chan- gement fondamental : le pouvoir de decision n'appartient plus au proprietaire du capital comme par le passé.

II est desormais Menu par le groups de technicians qui constitue le veritable cerveau de la grande entreprise modern.

C'est cat apparel( collegial de decision qua Galbraith propose d'appeler atechnostructure*. 2 Pour Galbraith, Is comportement de cette techno- structure modifie considerablement les Orgies du jeu capitaliste.

Celle-ci n'a plus, en effet, comme principal objectif la maximisation du profit, mais plutot la crols- sance de la firme.

Le role du march& relays par la planiffcation, s'estompe.

C'est maintenant la firme qui decide des besoins du consommateur (elle s'emplole ensuite par la publicite a les faire naltre).

Secretee par la technologie, la technostructure reste prisonniere de ses origines.

D'ou sa tendance ill rechercher le progres technique pour tut-memo, independamment des besoins reels du public, dont certain, comma le logement ou les transports urbains, sont systematIquement sacrffies. 3 La percee de la technostructure a egalement trans- form& en les resserrant, les rapport de la grande entre- prise et de l'itat.

Ce demier abandonne au secteur privir une part des responsabilites qu'il avait progres- sivement prises en charge.

Et, dans to merne temps, it assume un certain nombre de &Dimness nouvelles (notam- ment en metiere de recherche) dont les groupes pri- vets recuelffent leprofit.

Cette symbiose grandissante Technostructure 1 Analysant le développement récent du capitalisme aux États-Unis, l'économiste américain John Kenneth Gal- braith souligne le rôle croissant de la technologie dans ia vie économique et les contraintes qui en découlent pour l'entreprise : investissements de plus en plus lourds, allongement des délais de production, obligation de pro­ grammer et de planifier, spécialisation croissante des tâches et du personnel.

Cette évolution entraîne un chan­ gement fondamental : le pouvoir de décision n'appartient plus au propriétaire du capital comme par le passé.

Il est désormais détenu par le groupe de techniciens qui constitue le véritable cerveau de la grande entreprise moderne.

C'est cet appareil collégial de décision que Galbraith propose d'appeler « technostructure ».

2 Pour Galbraith, le comportement de cette techno­structure modifie considérablement les règles du jeu capitaliste. Celle-ci n'a plus, en effet, comme principal objectif la maximisation du profit, mais plutôt la crois­ sance de la firme.

Le rôle du marché, relayé par la planification, s'estompe.

C'est maintenant la firme qui décide des besoins du consommateur (elle s'emploie ensuite par la publicité à les faire naître).

Sécrétée par la technologie, la technostructure reste prisonnière de ses origines.

D'où sa tendance à rechercher le progrès technique pour lui-même, indépendamment des besoins réels du public, dont certains, comme le logement ou les transports urbains, sont systématiquement sacrifiés.

3 La percée de la technostructure a également trans­ formé, en les resserrant, les rapports de la grande entre­ prise et de l'État Ce dernier abandonne au secteur privé une part des responsabilités qu'il avait progres­ sivement prises en charge.

Et, dans le même temps, il assume un certain nombre de dépenses nouvelles (notam­ ment en matière de recherche) dont les groupes pri­ vés recueillent le profit. Cette symbiose grandissante 2 / 2. »

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