Swaziland (2003-2004): «État de désastre national»
Publié le 27/09/2020
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Swaziland (2003-2004): «État de désastre national»
En mars 2003, l’ONU annonçait que le Swaziland possède le plus fort taux de
prévalence du VIH-sida au monde (40 % de la population).
Avec un pourcentage
équivalent de chômeurs et après la sécheresse, le gouvernement a déclaré, en
février 2004, un «état de désastre national».
Un tiers de la population dépend
de l’assistance alimentaire.
Les élections législatives d’octobre 2003 ont vu
l’arrivée au Parlement de deux représentants progressistes, issus du NNLC
(Ngwane National Liberatory Congress) et de l’organisation culturelle Sive
Siyinqaba, inaugurant un clivage avec les autres groupes démocratiques qui
avaient appelé au boycottage.
Pour présenter le projet de nouvelle Constitution,
les conservateurs organisaient des «dialogues nationaux».
La démocratisation est restée embryonnaire.
Le Premier ministre nommé à l’issue
des législatives, Themba Dlamini, est un homme d’affaires connu.
Et les
pressions du roi Mswati III sur l’appareil judiciaire lui ont valu, à la
mi-2003, des critiques des États-Unis sur le respect du principe de justice.
La
croissance économique (2,2 % en 2003) s’est détériorée, avec une industrie
manufacturière moins compétitive.
Les redevances de l’Union douanière
sud-africaine fournissent au Swaziland 50 % de ses recettes budgétaires..
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