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Svt: En quoi les avancées scientifiques ont-elles permis de limiter les risques liés à un AVC ?

Publié le 31/05/2022

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« En quoi les avancées scientifiques ont-elles permis de limiter les risques liés à un AVC ? Introduction : AVC signifie Accident Vasculaire Cérébral ( obstruction, rupture d’un vaisseau dans le cerveau), il arrive toujours d’une manière brutale.

Chaque année plus de 17 millions de personnes à travers le monde en sont victime.

6 millions de personnes décèdent ainsi que plus de 6 millions reste handicapé.

La plupart des victimes ont plus de 65 ans mais cela peut également touché les plus jeunes. I) Les risques d’un AVC Nous savons que notre cerveau a besoin d’être alimenté en oxygène et nutriment pour fonctionner normalement.

Nous sommes touchés par un AVC lorsque le sang cesse d’irriguer le cerveau.

Les cellules du cerveau sont donc endommagées, on peut observer une perte de la fonction cérébrale. Il existe deux types d’AVC : - AVC hémorragique : la rupture d’un vaisseau, entraînant une hémorragie.

Le sang se répand et endommage le tissu cérébral alentour.

On estime que 20 % en sont touchés - AVC ischémique : obstruction d’une artère amenant le sang au cerveau, les cellules sont privées de sang.

On estime que 80 % en sont touchés. Il y a plusieurs facteurs de risques (élément augmentant la probabilité de développer une maladie ou de souffrir d’un traumatisme) : - Les antécédents : une personne ayant déjà eu un AVC est plus susceptible d’en avoir un autre qu’une personne en n’ayant jamais eu. - Hypertension artérielle qui favorise l’apparition d’anévrisme. -La fibrillation atriale : le rythme cardiaque est irrégulier, le sang n’est pas renvoyé correctement au cœur, il a tendance à coaguler, il y a donc un risque de formation de caillot. Si l’AVC n’est pas pris en charge à temps, le patient s’il ne décide pas s’en sortira avec de lourdes séquelles.

La plus connue est l’hémiplégie : la moitié du corps est paralysé.

Il peut garder un trouble de la parole à vie, on appelle l’aphasie. II) Limiter les conséquences Si l’AVC est pris en charge rapidement, la victime peut s’en sortir sans aucune séquelles.

Pour cela il faut être préventif et attentif aux signes d’alerte (troubles visuels, difficultés de langage, pertes de sensibilité) d’un éventuel futur AVC. Si un caillot est détecté rapidement, un traitement peut-être administré qu’on appelle la thrombolyse.

Dans ce cas là le patient n’aura pas de séquelles et le caillot va disparaître. Grâce a la plasticité cérébrale (capacité du cerveau à remodeler ses connexions en fonction de l’environnement et des expériences vécues par l’individu), il est possible de retrouver certaine capacité perdu à la suite d’un AVC.

En effet les aires cérébrales du cerveau ne sont pas fixes.

Il est donc possible d’observer une réorganisation de celles-ci. Il est donc possible de retrouver une fonction perdu grâce à une rééducation spécialisée. Conclusion Afin de limiter au mieux les AVC, le plus important serait d’informer la population sur les signes d’alertes des AVC, afin que les sujets soient rapidement pris en charge et qu’ils s’en sortent sans. »

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