Sujet n° 9 (IFSI de Martinique)
Publié le 14/06/2020
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« Texte n° 3 Des seniors hyperactifs La France vieillit. Une meilleure qualité de vie, les progrès médicaux entre autres facteurs concourent à ce phénomène. Dans notre pays, 4,5 millions de personnes sont âgées de plus de 75 ans, soit 8% de la population. Les projections démographiques estiment que dans les pays de l'OCDE, un quart de la population sera âgé de plus de 65 ans en 2030. Ce papy-boom pose de nombreuses questions, à commencer par la plus élémentaire d'entre elles : qu'est-ce qu'être «vieux» aujourd'hui? Bien loin de l'image d'Épinal de la grand-mère préparant ses confitures pendant que son mari lit le journal, une pipe à la main, les seniors d'aujourd'hui multiplient les activités. Gilles Marchand, Sciences humaines, hors série n° 38, sept.-oct.-nov. 2002 Qu'entend-on par seniors hyperactifs? Argumentez. Texte n° 4 La grande précarité On compte en France 10000 sans-abri et 86000 sans logement fixe, soit presque 100000 personnes en situation de très grande précarité. Combien sont-ils à dormir, chaque nuit, dans la rue ou dans les gares, dans le froid ou les intempéries, dans la crainte du moment et la peur du lendemain? Environ 10000 dans toute la France. Mais l'état de l'exclusion en France ne se limite pas au nombre de personnes sans-abri. L'Hexagone compte aussi de nombreux sans-domicile, c'est-à-dire des personnes vivant dans des structures d'hébergement provisoire. Selon des données inédites que l'Insee publie aujourd'hui, c'est un total de 86000 personnes qui vivent aujourd'hui en France dans des conditions de logement que l'on peut qualifier, dans un bel euphémisme, de «précaires». Un SDF sur trois a moins de 29 ans. Si l'on ajoute à ces sans-toit les personnes qui ont recours à la distribution de repas gratuits, alors on atteint le chiffre de plus de 100000 personnes en grande difficulté économique et sociale, dont 16000 enfants... Qu'entendez-vous par précarité ? Donnez votre point de vue sur ce problème de société. .. .»
«
Sujet n°
9 (IFSI de Mart inique) Ononcés
Texte n°
1
Le piercing à l'adolescence
Nathalie : un premier piercing à 14 ans
«Mon premier piercing date de mes 14 ans.
Avant un tournoi de hand féminin, toute
l'équipe avait décidé de se faire percer le haut de l'oreille chez un bijoutier.
Je ne l'ai
gardé qu'un mois car, fait au pistolet, il s'était infecté.
Mon piercing actuel de la langue
est un vrai, réalisé dans une boutique de piercing à Paris.
Ma mère est d'ailleurs venue
avec moi car, à 17 ans, il faut être accompagnée ou présenter une lettre d'autorisation
parentale.
Dans une pièce isolée, où tout est stérilisé, une pierceuse m'a expliqué qu'elle
allait infiltre r l'aiguille entre les muscles une fois la langue immobilisée avec une pince.
Après l'opération, elle m'a indiqué le traitement à suivre -des bains de bouche -et des
médicaments à prendre pour la douleur.
Dans les 48 heures qui ont suivi, j'ai eu de la
fièvre et beaucoup de mal à avaler ma salive.
J'ai zozoté pendant un mois et même à
présent, je ne parle pas aussi bien qu'avant.
La douleur est venue avec la cicatrisation.
Chez les gens du piercing, elle fait partie du jeu : une conception pour moi proche du
sadomasochisme.
Ma motivation est plutôt liée à la séduction, car il y a toujours quelque
chose d'un peu érotique dans un piercing, même si de ce côté-là, j'ai été un peu déçue
par rapport à ce que j'en attendais ...
»
Propos recueillis par Aimée Catherine Deloche
Que recherchent le� adole�)0L_ à traver� cette pratique du « piercing »? Donnez votre point
de vue.
Texte n°
2
L'obligation scolaire
«Tout enfant a droit à une formation qui, complétant l'action des familles, concourt à
son éducation.
La formation scolaire favorise l'épanouissement de l'enfant, lui permet
d'acquérir une culture, le prépare à la vie professionnelle et à l'exercice de ses respon
sabilités d'homme et de citoyen.
Elle constitue la base de l'éducation permanente.
Les
familles sont associées à l'accomplissement de ces missions.» Voilà posé le principe..
»
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