Databac

Sujet grand oral SVT sur le mouvement volontaire en lien avec la Parkinson

Publié le 02/06/2022

Extrait du document

« En quoi la maladie de Parkinson est-elle inhibitrice du mouvement volontaire ? Introduction : Bonjour, aujourd'hui je vais vous parler du mouvement volontaire en lien avec la maladie de Parkinson.

En fait, la maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative caractérisée par la destruction d’une population spécifique de neurones : les neurones à dopamine du cerveau.

Ces neurones sont impliqués dans le contrôle des mouvements.

En effet, cette maladie empêche le bon fonctionnement des mouvements volontaires, c’est pourquoi je me suis posé la question : “En quoi la maladie de Parkinson est-elle inhibitrice du mouvement volontaire ?”. Présentation de la maladie de Parkinson : Comme je viens de vous le dire, la maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Cette maladie a une évolution lente.

En fait, la Parkinson a plusieurs effets sur la personne malade.

Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.

Les muscles raidissent, les mouvements deviennent lents et non coordonnés, et l’équilibre est difficile à maintenir.

Chez certaines personnes la pensée peut être perturbée ou il peut se produire une perte de mémoire.

Par ailleurs, la maladie est progressive entrainant finalement l’immobilité totale.

Cependant, ces symptômes sont provoqués par des modifications dans le cerveau.

Ce sont les cellules nerveuses d’une partie des noyaux basaux qui se détériorent.

En fait, les noyaux basaux ont des groupes de cellules nerveuses situés dans les profondeurs du cerveau. Ils permettent de : - Initier et harmoniser les mouvements musculaires volontaires - Supprimer les mouvements involontaires - Coordonner les changements de posture De plus, la maladie de Parkinson est la 2ème maladie dégénérative la plus fréquente du système nerveux central, après la maladie d’Alzheimer.

La Parkinson apparait généralement entre 50 et 79 ans, et est très rarement diagnostiqué chez l’enfant ou l’adolescent. Cependant, comment fonctionne le mouvement volontaire ? Fonctionnement du mouvement volontaire : Le cerveau est constitué de neurones, traitant et propageant les messages nerveux, et de cellules gliales assurant le bon fonctionnement du système nerveux.

La partie superficielle du cerveau formée de plusieurs couches de neurones, constitue le cortex cérébral.

Grâce à l’IRM, il est possible de localiser les aires motrices responsables de la commande volontaire du mouvement.

Les aires du cortex communiquent entre elles et avec les zones profondes du cerveau par des voies neuronales le long desquelles se propagent des potentiels d’action dont la fréquence est modulée par un ensemble de neurotransmetteurs excitateurs ou inhibiteurs.

Les messages nerveux moteurs partant du cerveau, sont acheminés par des faisceaux de neurones descendants dans la moelle épinière jusqu’aux neurones moteurs.

Le corps cellulaire d’un neurone moteur, situé dans la substance grise de la moelle épinière, reçoit de nombreuses informations provenant de neurones excitateurs ou inhibiteurs.

Il intègre l’ensemble de ces informations par sommation spatiale et temporelle afin de produire un message nerveux unique, codé en fréquence de potentiels d’action. Du coup, quels sont les effets de la Parkinson sur le mouvement volontaire ? Les effets de la Parkinson sur le mouvement volontaire :. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles