Sujet: Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Harmonie du soir
Publié le 19/12/2021
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Sujet: Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les
fleurs du mal) - Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige : alli en v et asso en an
et i
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; comp synestésie la
fleur est l’odeur
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
correspondance
Valse mélancolique et langoureux vertige ! tournoiement
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Introduction :
La structure de ce poème renvoie à celle du pantoum : il s’agit d’un poème de quatre
quatrains d’octosyllabes.
Le deuxième et le quatrième vers sont repris au premier et
troisième vers de la strophe suivante.
Ce poème fait parti du recueil les fleurs du mal, paru
en 1857.
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