Staline
Publié le 16/05/2020
Extrait du document
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Staline
Le 6 décembre 1878, Staline, de son vrai nom Joseph Vissarionovitch
Djougachvili, nait en Géorgie.
Cette naissance est un véritable miracle car sa
mère avait déjà perdu 3 bébés avant lui.
Mais ce miracle est un bébé chétif, malingre et roux.
Il a également une
malformation aux pieds.
A cette époque, on le surnomme Sosso.
Son père est alcoolique et violent.
Il
abandonnera son fils durant sa jeunesse.
Tout au long de sa jeunesse, Sosso subira tout une série d’accidents.
A 6 ans, il est atteint de la variole où il frôle la mort, il en gardera des cicatrices
sur le visage.
Il aura alors comme surnom « le Grêlé ».
A 10 ans, il passe sous les roues d’une calèche.
Il en gardera un bras atrophié.
Alors nommé « la Sauterelle ».
A 12 ans, un fiacre lui écr ase les jambes, il frôle de nouveau la mort.
Il se fera
appelé « le Trottineur ».
Sa mère rêve que Sosso devienne prêtre.
Il entre donc dans l’école primaire
religieuse de Gori.
A l’école, c’est un véritable enfant de cœur.
Il ne rate jamais aucune messe.
Mais il a un autre visage.
Dans la rue, Sosso sait se faire respecter.
Il se mêle
aux bandes de bagarreurs.
Armés de couteaux, lance pierres, etc…
Ils aiment se battre et faire des farces aux villageois.
En 1894, Sosso rejoint le grand séminaire pour devenir prêtre a la capitale,
Tbilissi.
La vie dans cette bâtisse ressemble à une vie de prisonnier.
Ils sont constamment
épiés, fouillés.
Mais le futur Staline arrive à fuir cette atmosphère en lisant des
livres, les livres interdits.
Il y découvre la littér ature, la poésie,… mais aussi le philosophe Marx et Lénine.
Petit à petit, il perd la foi et commence à avoir des idées révolutionnaires.
En 1899, Sosso est renvoyé du séminaire.
Il commence sa carrière de
révolutionnaire !
A ce moment là, il devient Koba .
Il n’a plus qu’une patrie : la Russie.
Une passion : la révolution.
Un dieu : Lénine..
»
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