st2S: Justifier la nécessité de mettre en place une politique vaccinale contre la rougeole, puis exposez les limites à la mise en place de cette politique.

« Question 1: JustiÞer la nŽcessitŽ de mettre en place une politique vaccinale contre la rougeole, puis exposez les limites ˆ la mise en place de cette politique .

Tout dÕabord je vais dŽÞnir le terme de politique vaccinale d'un pays, elle a pour objet de dŽÞnir la meilleure utilisation possible des vaccins aÞn de protŽger l'ensemble de la population contre les risques d'ŽpidŽmie.

Sur un plan sociologique, elle vise Žgalement ˆ savoir s'il est prŽfŽrable de laisser aux personnes et aux parents d'enfants concernŽs par la vaccination obligatoire, au au nom de la santŽ publique, le choix d'effectuer ou non cette vaccination.

De ce faite, Les autoritŽs sanitaires et les professionnels de santŽ sont pleinement mobilisŽs pour contenir cette ŽpidŽmie et protŽger la population.

Elles rappellent la nŽcessitŽ dÕune couverture vaccinale ŽlevŽe dans la population.

Une telle protection collective permettrait dՎliminer la maladie grave et extrmement contagieuse et ainsi protŽger les nourrissons de moins dÕun an, les femmes enceintes et les personnes immunodŽprimŽes ne pouvant tre elles-mmes vaccinŽes.

Il est donc impŽratif que toutes les personnes nŽes ˆ partir de 1980 aient reu deux doses de vaccin cela limiterais les cas, car elle reste lÕune des causes les plus importantes de dŽcs des jeunes enfants alors que le vaccin est efficace et sžr; tester dans des laboratoires reconnues ( en 11ans 30 000 cas et prs de 15 000 par an).

Le conseil dՃtat de lÕEurope montre bien que la vaccination est lÕune des plus grande rŽussite de la mŽdecine; la vaccination protge des vies, protges des sociŽtŽs entire mais aussi rŽduit la prŽvalence.

Je vais donc vous donner un exemple de politique vaccinale contre variole en Europe et aux ƒtats-Unis qui a eu un impact considŽrable sur la santŽ publique.

La souche la plus grave du virus, Variola major, prŽsente un taux de mortalitŽ situŽe entre 20 et 40 %.

Le dernier cas de variole fut signalŽ en 1949 aux ƒtats-Unis.

Suite ˆ des efforts considŽrables pour Žradiquer totalement la variole, par une politique de vaccination systŽmatique, l'OMS dŽclara l'Žradication mondiale de la variole.

La vaccination permet dՎviter 2,7 millions de cas, lÕEurope ne parvient pas ˆ Žradiquer la rougeole conformŽment aux objectifs ÞxŽs par lÕOMS, il est donc nŽcessaire de mettre en place une politique vaccinale contre la rougeole enÞn de simpliÞer et dՎlargir les possibilitŽs de vaccination et dÕeffectuer un travail de proximitŽ ciblŽs auprs des groupes vulnŽrables.

Il aussi tout important dÕaccro”tre les activitŽs de communications et sensibiliser dÕavantages sur la vaccination.

Toutefois, les limites ˆ la mise en place de cette technique sont dՎlaborer des plans de vaccinations nationaux ou encore rŽgionaux aÞn dÕatteindre les objectifs europŽen de lÕOrganisation Mondiale de la SantŽ (OMS).

Ce nÕest pas le cas les programmes de vaccination deviennent de plus en plus fragile face au faible taux dÕadministration du vaccin, ˆ la rŽticence de la vaccination, au cožt croissant de nouveaux vaccins, aux pŽnuries de productions ou encore aux offres de lÕEurope.

En consŽquence plusieurs Etats font face ˆ des ŽpidŽmies trs consŽquentes, de ce faite il pourrait tre mit en place une vŽriÞcation de routine de la situation vaccinale des personnes ciblŽs.

Comme par exemple devant les entrŽes des Žcoles, les lieux de travails, ou encore les Žtablissements de santŽÉ Beaucoup de Franais sont rŽticent par rapport ˆ la politique vaccinal.

Un tiers des Franais pensent que les vaccins ne sont pas sžre est pas correctement testŽ, cÕest un record mondial.

Les pouvoirs publics sont de plus en plus mit au pied du mur entre dÕun c™tŽ la prŽservation de lÕintŽrt collectif et de lÕautre la revendication dÕune libertŽ vaccinale.

  Question 2 : PrŽsenter lՎlaboration et la mise en oeuvre de la politique vaccinale en montrant que la complŽmentaritŽ des acteurs y est essentielle. LՎlaboration et la mise en place de la politique vaccinal sont ŽlaborŽ par le ministre de la santŽ.

Les recommandations et la mise ˆ jour du calendrier vaccinal et quant ˆ lui mise en place par la commission technique des vaccinations (CTV) de la Haute autoritŽ de SantŽ (HAS).

La CTV assure une vieille scientiÞque sur les Žvolutions et perspectives en matire de vaccins.

Elle Žlabore ˆ la prŽparation des avis de la commission de la transparence (CT) et de la commission dՎvaluation Žconomique en SantŽ publique (CEESP) portant aussi sur les vaccins.

Quant au (HAS) contribue ˆ lÕaccompagner dŽcision publique pour optimiser la prise en charge Þnancire collective et des services mŽdicaux remboursables. La commission est essentiel Ë lՎlaboration de la politique de vaccination, des dŽlibŽrations du collge.

Elle est composŽ des membres reprŽsentant des professionnels de santŽ, de la science humaines et sociales, des reprŽsentants des usagers, des membres et pour Þnir des agences sanitaires.

Le conseil de lÕunion europŽenne demande plusieurs choses aux Žtats membres, comme dՎlaborer mettre en Ïuvre des plans de vaccination nationaux et ou rŽgionaux permettant dÕaugmenter la couverture vaccinale et dÕobtenir lÕobjectif de lÕOMS dÕici 2020.

Concernant la rougeole, il demande un taux de 95 % ainsi que lÕensemble des nourrissons devront avoir eu 2 doses du vaccin.

La complŽmentaritŽs des acteurs y sont plus quÕessentiel, comme la santŽ publique France qui surveille les malades, Žvalue la couverture vaccinale et informe le public sur la vaccination.

LÕagence nationale de santŽ du mŽdicament et des produits de santŽ (ANSM) contr™le la qualitŽ des vaccins en faisant des tests pour collecter tous les effets indŽsirables.

LÕagence nationale de santŽ du mŽdicament et des produits de santŽ travaille en collaboration avec lÕagence europŽenne des mŽdicaments (EMA).

LÕassurance-maladie quand elle servira ˆ remboursŽ les frais mŽdicaux du vaccination.

DÕautres acteurs sont essentiels comme les sages femmes et les mŽdecins qui peuvent prescrire les vaccins.

Les inÞrmires sous prescription mŽdicale peuvent vacciner la population.

Et les pharmaciens qui dŽlivre les vaccins, mŽdicaments, estÉ DÕautres part, tous ces acteurs peuvent vacciner la population mais sous certaines conditions.

Pour conclure, je disais que dans la politique vaccinale tous ses organismes nous montre que les acteurs sont essentiellement au bon fonctionnement de la politique.. »