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SOCIOLOGIE GÉNÉRALE Séance 1 et 2 : la sociologie est « l’étude scientifique des sociétés humaines et des fait sociaux »

Publié le 02/10/2024

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« SOCIOLOGIE GÉNÉRALE Séance 1 et 2 : la sociologie est « l’étude scientifique des sociétés humaines et des fait sociaux » I - Qu’est ce qu’un fait social ? Exemple 1 : Avez vous remarqué la place des vélos sur le campus de la fac de droit ? → en effet les garages à vélo sont rempli quand les première année de médecine sont présent, il y a donc des comportements différents pour les médecines et les droit MAIS pourquoi ?? → c’est une question de temps les personnes en médecine on peut de temps entre leur cours et leur travail personnel, ils essayent donc de gagner du temps sur leur trajet pour aller ou rentrer des cours.

Il peut y avoir aussi une autre raison mais elle est aussi reliée au temps : les médecines n’ont pas le temps de faire du sport donc pour garder une activité sportive quotidienne ils optent pour le vélo. Le vélo est rendu possible grâce a la ville, les personnes qui prennent leur vélo habitent plus proche que les autres.

Le vélo dépend donc de notre mode d’habitat Exemple 2 : avez vous remarqué comment vous êtes assis et comment sont assis vos camarade dans l’amphi ? → les filles ont les jambes croisé et la garçons écarté, le plus souvent → l’amphi se rempli du haut vers la bas → il y a une régularité social : fait social, on est indépendant de ça Les faits sociaux = règles sociales c’est à dire des régularités, ça n’est pas seulement des problèmes sociaux, elle dépasse cette question Les fait sociaux ont une certaines régularité collective ce qui renvoie a une habitude, ça génère des contraintes sociale implicite, si on ne respecte pas on va le remarquer ce qui fait rupture avec ce qui est attendu. D’après Durkheim : « les fait sociaux consistent en des manières d’agir (comportement), de penser et de sentir (goût), extérieures à l’individu et qui sont douées d’un pouvoir de coercition en vertu duquel ils s’imposent a lui » Extérieures car ce sont des règles qui s’impose a nous, elles sont la avant, pendant et après Coercition : de contraintes , si il y a une règle et qu’on la contourne c’est qu’on a conscience qu’elle existe et si on la respect pas il y une sanction qui n’est pas légal : jugement, regard La contrainte est parfois devenu une seconde nature La double face des fait sociaux : - ils sont a la fois collectifs et individuels - Règles sociales extériorisées dans des institutions ( droit, école… ) 1 - Règles sociales intériorisées, incorporées, par les individus Les fait sociaux sont le produit de l’organisation de nos société puisque les humains vivent ensemble (pas isolé), les humains ont des interactions et des rapports entre eux et avec leur milieux (rapport conflictuel, de domination, coopération, compétition).

On est dépendant les uns les autres et les humains évoluent et se construisent dans des milieux sociaux Les fait sociaux sont cher avec l’organe de la société et nos relations II - que signifie étudier scientifiquement les fait sociaux ? Une science : - des méthodes empiriques qui nécessitent des enquêtes et de collecter de manière méthodique des données, méthode rigoureuse et réflective - L’horizon de vérité, d’objectivité et pas de justice ou de morale.

On doit décrire les choses comme on es voit et pas comme ce qu’on veut qu’elle soit. - Des arguments vérifiables et réfutables ( extrait de Bourdieu ). Une tension entre deux conception de la science →Tableau de William Blake, Newton (1795), peintre romantique anglais. Le travail de la science est de transformer cette diversité, l’humanité, le monde en loi avec un problème c’est que ça rend le monde calculable, maitrisable et ça fait quelque chose de très sec, triste Deux grandes manière de construire la biologie que la socio prend aujourd’hui : classer, organiser afin de comprendre une espèce par exemple (voir diapo) En socio c’est pareil : Recherche des invariants, mettre à jour des lois, (voir livre « les structures fondamentales des sociétés humaines » ) - donner a voir des universaux des mécanismes généraux - Enjeu de prévision et d’anticipation + de cumulativité Ou prêter attention à la diversité des sociétés et des modes d’organisation humaines Toutes les société on tous envie d’élever un enfant mais de manière différentes - immense réservoir de possibles - Dimension contingente, arbitraire des sociétés pus ou moins organisée - Produit d’une construction sociale, penser le fait tout n’est pas écrit ou imposer, les règles sont le produit d’une coalition qui on imposé un certain type de comportement.

Mais cela peut s’enlever en fonction des différentes sociétés III - réinscrire les actes les plus intimes et personnels dans le social > étude sociologique du prénom Comment tu t’appelles ? Le prénom est intime, personnel mais aussi un marqueur social très fort Pourquoi s’intéresser au prénom ? → un acte a priori individuel , intime 2 → et pourtant complètement encastré, dans le social, le culturel et l’historique Le prénom : un fait social car on a tous un prénom, des contraintes légales (obligatoire) mais aussi des contraintes sociales : on ne peut pas choisir n’importe quel prénom variable d’un pays a un autre.

Ces contraintes légal ce sont assouplit (contrainte légal) Contrainte social : impossibilité de donner des prénoms porter par des gens mauvais ex : Adolf Une importance et des usages variables selon les sociétés : Le prénom est aujourd’hui une forme personnelle d’identité très investi Mais une invention récente // montée des états nations. Avant le prénom de baptêmes ont l’utiliser que dans les moments religieux, mais ces gens se désignait par des surnoms Un bien d’état et un enjeu de gouvernement La libéralisation récente du choix du prénom - en lien avec l’individualisation Aujourd’hui a peu près plus de 3 000 pers demande a changer de prénom et souvent cela va être accepte, on a besoin d’un appareillage institutionnel pour changer de prénom. Le prénom : objet de mode L’exemple des prénoms breton : 10% des enfants né en Bretagne reçoivent un prénom breton en 1970 et plus de 20% en 2000 Le prénom : un bien de consommation soumis a la mode Tension entre « imitation d’un modele » et « tendance a la différenciation » Le prénom : un marqueur générationnel → concurrence entre génération → 2 tendances récentes :.... »

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