Signoret Simone

« \HDLN0000100107 \LINK0044000449PE_0874T \LINK0062500631PE_0690T \LINK0109601100PE_0358T Signoret Simone Actrice française * 25.3.1921, Wiesbaden, Allemagne + 30.9.1985, Autheil-Authouillet, Eure Une beauté provocante, une gouaille parisienne, une éducation complétée auprès des intellectuels de l’existentialisme, un premier mari cinéaste (Yves Allégret)...

Signoret a tous les atouts pour débuter au cinéma ("Dédé d’Anvers", 1948).

Mais ce n’est qu’avec "La Ronde" (1950), film d’Allégret inspiré de l'oeuvre éponyme d'Arthur Schnitzler, puis avec "Casque d’Or" (de Jacques Becker, 1952) qu’elle impose son image de femme fatale.

1951 marque un tournant dans sa vie professionnelle et privée : elle épouse Yves Montand, adhère au parti communiste français et mène dès lors de front une vie amoureuse intense, des engagements politiques forts et une carrière qui dure près de quarante ans.

Elle est sincère, généreuse et passionnée, ce qui ressort de ses multiples rôles de composition, quel que soit son âge ("Thérèse Raquin", 1953 ; "La Mort en ce jardin", 1956 ; "Les Chemins de la haute ville", 1959, qui lui vaut l’Oscar de l’interprétation en 1960 ; "le Chat", 1971, avec Jean Gabin ; "La Vie devant soi", 1977).

En 1976, son autobiographie "La Nostalgie n'est plus ce qu'elle était" donne la mesure d’une autre facette de son talent.

L'année de sa mort paraît son roman "Adieu Volodia", singulier album de souvenirs. 1. »