Shôhei Ôoka
Publié le 09/12/2021
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Shôhei Ôoka 1909-1988 Romancier japonais, essayiste, traducteur. Étudiant la Littérature française à l'université de Kyoto, il fonde en 1929 la petite revue "Les Idiots" avec Hideo Kobayashi, Tétsatarô Kawakami, Chûya Nakahara. Aime beaucoup Stendhal. Donne des critiques littéraires aux revues. Mobilisé en 1944, il est capturé aux Philippines et en revient avec des notes qui lui permettent de raconter ce qu'il y a vu de terrible, publiées sous le titre Nobi (Les Feux, 1952). Connu comme un des principaux écrivains d'après-guerre. Ouvrages majeurs, des romans : Le Journal d'un Prisonnier (Prix Yokomitsu 1948) ; Dame de Musashino (1950) ; Feux dans la plaine (Prix littéraire de Yomiuri 1951) ; L'Ombre de la fleur (Prix littéraire de Maïnichi ; Prix Nouvelle Marée 1962) des essais : Entre la Poésie et le Roman (1952) ; Journal d'un écrivain (1958), Chant du matin (biographie d'un poète, Chûya Nakahara, 1958) ; De la littérature au point de vue du bon sens (1961) ; des traductions : Stendhal (d'Alain) ; Vie de Haydn (de Stendhal) , Stendhal (de Thibaudet).
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Shôhei Ôoka1909-1988
Romancier japonais, essayiste, traducteur.
Étudiant la Littérature française à l'université de Kyoto, il fonde en 1929la petite revue "Les Idiots" avec Hideo Kobayashi, Tétsatarô Kawakami, Chûya Nakahara.
Aime beaucoup Stendhal.Donne des critiques littéraires aux revues.
Mobilisé en 1944, il est capturé aux Philippines et en revient avec desnotes qui lui permettent de raconter ce qu'il y a vu de terrible, publiées sous le titre Nobi (Les Feux, 1952).
Connucomme un des principaux écrivains d'après-guerre.
Ouvrages majeurs, des romans : Le Journal d'un Prisonnier (PrixYokomitsu 1948) ; Dame de Musashino (1950) ; Feux dans la plaine (Prix littéraire de Yomiuri 1951) ; L'Ombre de lafleur (Prix littéraire de Maïnichi ; Prix Nouvelle Marée 1962) des essais : Entre la Poésie et le Roman (1952) ; Journald'un écrivain (1958), Chant du matin (biographie d'un poète, Chûya Nakahara, 1958) ; De la littérature au point devue du bon sens (1961) ; des traductions : Stendhal (d'Alain) ; Vie de Haydn (de Stendhal) , Stendhal (deThibaudet)..
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