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Shaw George Bernard

Publié le 29/08/2020

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SHAW George Bernard. Écrivain irlandais. Né à Dublin le 26 juillet 1856, mort le 2 novembre 1950 à Ayot St. Lawrence. Son père, George Carr Shaw, fils cadet d’une famille protestante de moyenne bourgeoisie, était employé au Palais de Justice. Quand cette charge fut supprimée, il entreprit le commerce du blé. Sa mère, Lucinda Elizabeth Gurly, était la fille d’un propriétaire terrien. Il avait deux sœurs aînées. Les affaires paternelles étant mauvaises, sa mère, très musicienne, cultiva sa voix et s’associa à un professeur de musique pour accroître les ressources de la famille. B. Shaw fut un mauvais élève à l’école, mais acquit, dans sa famille, une solide instruction musicale. Il n’avait pas quinze ans qu’il connaissait déjà, à fond, au moins l’une des œuvres des plus grands musiciens. Il étudia, en outre, la peinture au Musée de Dublin. A quinze ans, il devint l’employé d’un agent d’affaires. Dès 1876, ne pouvant plus supporter son travail qui l’ennuyait, il quitta l’Irlande pour Londres, afin de rejoindre sa mère, partie avec ses sœurs, quatre ans plus tôt. Les neuf premières années de sa vie londonienne furent vécues dans la pauvreté. Il tenta de gagner sa vie comme employé, mais y renonça pour suivre son inclination et s’instruire en cherchant sa voie. Entre 1879 et 1883, il écrivit cinq romans pour lesquels il ne trouva pas d’éditeur; ils furent publiés par la suite dans des périodiques socialistes. En 1882, il se mit à étudier l’économie politique après avoir entendu Henry George parler de la nationalisation de la terre. Après la lecture du Capital de Karl Marx, en français, il devint socialiste et, perdant toute illusion sur la civilisation capitaliste, réclama la nationalisation de toutes les formes du capital. Au cours de cette campagne de propagande socialiste, Shaw lia des amitiés durables. Il se joignit à la Fabian Society, groupement socialiste, peu après sa fondation en 1884, et y joua un rôle politique important pendant plus de vingt-cinq ans. Son activité politique était inlassable et, entre 1883 et 1890, il prit la parole en d’innombrables réunions (une ou deux fois chaque dimanche et souvent en semaine). En 1885, la situation de Shaw s’améliora quand il assuma la critique des arts et des lettres dans divers périodiques et, plus tard, la critique dramatique dans The Saturday Review. Son talent s’orienta pendant ces années au contact de toutes les manifestations artistiques de son temps. Il commença sa carrière dramatique en écrivant Non olet ou L’Argent n’a pas d’odeur en 1892, pour un théâtre d’avant-garde. C’est la première période de son théâtre qui comprend ses Pièces plaisantes et déplaisantes (1898-1912) et ses Trois Pièces pour puritains (1912). Le début de sa notoriété mondiale date de 1894, après la production d’une de ses « pièces plaisantes », Le Héros et le soldat aux États-Unis; son ascension vers la célébrité fut dès lors rapide et constante. B. Shaw ralentit son activité politique en 1898, à la suite de surmenage et de maladie. Il épousa la même année Charlotte Payne-Townshend, Irlandaise comme lui, union entre personnes mûres, restée sans enfant. Ce mariage mit fin à la vie de bohème de Shaw. Son existence plus calme, dans un confort apporté par la fortune, fut consacrée à son art, sans qu’il cessât de s’intéresser aux questions politiques et sociales, et à tous les problèmes soulevés au cours de ce demi-siècle prodigieux que furent les années 1900 à 1950. Il connut toutes les sommités du théâtre, des lettres, des arts et de la science, sans oublier le sport, de Georges Carpentier à Einstein en passant, entre autres, par Oscar Wilde, Rudyard Kipling et Rodin. Il voyagea en Europe (souvent au bord de la Méditerranée). En 1905, il vint à Paris poser pour son buste par Rodin. Entre les deux guerres, il visita l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l’U.R.S.S. (où il fut reçu par Staline). Il fit en 1932-33 une croisière autour du monde, visitant en particulier l’Amérique et le Japon. G. B. Shaw reçut le Prix Nobel de littérature en 1925. Il fut honoré à juste titre, dans les dernières années de sa vie, comme une gloire nationale par les Anglais, qu’il avait tellement choqués au début du siècle. La guerre, la mort de sa femme et de ses vieux amis assombrirent la fin de sa vie, mais il continua à travailler et à demeurer curieux de tout ce qui était nouveau. Il ne se remit pas d’une fracture du fémur et mourut dans sa maison d’Ayot St. Lawrence, à l’âge de quatre-vingt-quatorze ans. L’œuvre de G. B. Shaw est considérable. Elle comprend cinquante-sept pièces de théâtre, dont une trentaine d’au moins trois actes (les autres, en un acte, sont très inégales comme longueur et comme valeur); de nombreux essais; des articles et un traité sur l’économie politique et la politique contemporaine; des critiques musicales et dramatiques. Les pièces sont toutes des comédies; à côté du sérieux ou du tragique de certaines, il y entre des éléments comiques. Les dix premières sont des peintures de caractères et des critiques de la société dénonçant son hypocrisie et ses tares sordides ou ridicules. Shaw reprend et développe les idées déjà exposées en de longs discours dans ses romans de jeunesse: Immaturité, Le Nœud irrationnel, L’Amour chez les artistes , La Profession de Cashel Byron , Le Socialisme asocial 1879-1883]. Il dénonce le capitalisme (Non olet, écrit en 1892); la prostitution : La Profession de Mrs. Warren (1894); le conformisme bourgeois, l’amour romanesque, la famille, l’éducation : L’Homme aimé des femmes (1893), On ne peut jamais dire (1895); l’héroïsme, le militarisme : Le Héros et le soldat (1894). Il traite de l’amour et du mariage dans Candida (1894); des ressorts du génie : militaire dans L'Homme du destin (1895); du puritanisme étroit, dénonçant l’hypocrisie des conventions de la religion, en opposition avec la noblesse et la sincérité dans la nature humaine — Disciples du diable [1896]. César et Cléopâtre (1901) démontre la suprématie de l’intelligence et de la volonté sur la sentimentalité et l’esprit de vengeance en matière de gouvernement. L’auteur flétrit encore la justice des hommes et l’impérialisme dans La Conversion du capitaine Brassbound [1899]. Bernard Shaw atteint la pleine maturité de son talent d’auteur dramatique entre 1901 et 1912. Il expose alors, dans certaines de ses pièces, les moyens de réformer la société en se fondant sur l’action raisonnée et sincère. Il met en scène des hommes et des femmes qui, se libérant plus complètement des conventions et des préjugés sociaux, développent ainsi à fond ses idées — L’Homme et le surhomme (1903); La Seconde Ile de John Bull (1904); La Commandante Barbara (1905). Le Dilemme du docteur [1906] démontre l’illusion de la morale et constitue une critique virulente de la profession médicale. Dans L’Homme et le surhomme, l’auteur développe la philosophie de l’évolution créatrice, empruntée à Bergson, et montre le rôle de la femme animée par l’élan vital, cherchant à perpétuer la vie. Cette force de vie, bien dirigée, doit conduire à la création du surhomme. Mariage [1908], Mésalliance [1909] et Trop dirigé [1912], reprennent l’étude plus approfondie du mariage, de l’infidélité conjugale et des rapports entre les parents et les enfants. Shaw dénonce à nouveau l’hypocrisie de la religion dans Dieu et Blanco Posnet , et souligne la pureté du christianisme à ses débuts dans Androclès et le lion (1912). La Première Pièce de Fanny [1911] ridiculise les critiques dramatiques et met en scène la petite bourgeoisie anglaise dont les traditions sont secouées par l’agitation à propos du suffrage des femmes. Pygmalion (1912) étudie l’influence du langage et du milieu pour transformer l’être humain. La Grande Catherine [Great Catherine] est une pièce bouffonne, plaçant un Anglais typique dans l’intimité de l’impératrice Catherine de Russie. Pendant la guerre de 1914-18, G.-B. Shaw écrivit de petites pièces inspirées par les événements. C’est entre soixante-trois et soixante-sept ans que Bernard Shaw écrivit ses trois œuvres maîtresses : La Maison des cœurs brisés (1919), En remontant à Mathusalem (1920) et Sainte Jeanne (1923). Sainte Jeanne est considérée en général comme le chef-d’œuvre de G.-B. Shaw, et, par beaucoup, comme la plus grande pièce du siècle. Jeanne d’Arc, inspirée par sa mission, est présentée comme la première martyre protestante et la première apôtre du nationalisme. Dans ses pièces suivantes, écrites après l’âge de soixante-dix ans, Bernard Shaw revient, sous d’autres formes, aux idées qui lui sont chères; ces pièces sont de valeur inégale. Celles qui émergent sont La Charrette de pommes [1929], alerte comédie sur la politique, où l’auteur introduit beaucoup de bouffonnerie; elle eut un grand succès. Trop vrai pour être beau [1931], Sur les rochers [On the Rocks, 1933], La Millionnaire [ 1935], Geneva (1938), sont des commentaires très shawiens suggérés par l’histoire contemporaine. Aux jours heureux du bon roi Charles [In Good King Charles ’s Golden Days, 1939], « de l’histoire qui n’eut jamais lieu », est une brillante conversation où Shaw évoque les mystères de l’univers. Le succès du théâtre shawien débuta aux Etats-Unis et en Allemagne en 1898, et ne cessa de s’étendre et de se développer dans tous les pays. En Angleterre, l’auteur dramatique ne toucha d’abord que les intellectuels et n’atteignit le grand public qu’après 1904. Les premières pièces jouées en France (1908-12) désorientèrent le public parisien. L’œuvre de Shaw connut un essor en France entre les deux guerres, dans le théâtre d’avant-garde, notamment avec Sainte Jeanne jouée par Ludmilla Pitoeff. Le succès fut confirmé dans les années qui suivirent la mort de l’auteur et lors de son centenaire, célébré dans le monde entier. Depuis 1924, le théâtre de Shaw est radiodiffusé dans tous les pays. Plusieurs films ont été tirés de ses pièces, dont quatre supervisés par l’auteur : Le Héros et le soldat, Pygmalion, La Commandante Barbara et César et Cléopâtre, et récemment Sainte Jeanne (1957). Deux de ses pièces forment le thème de comédies musicales : Le Soldat de chocolat, Ma Belle dame [My Fair Lady]. Les autres écrits de Shaw ne sont pas moins importants. Il a approfondi sa pensée dans de longues préfaces jointes à ses pièces, et suggéré des solutions constructives pour remédier aux maux qu’il dénonçait. A cet égard, son traité intitulé Guide de la femme intelligente en présence du socialisme et du capitalisme (1928), qui montre la nécessité pour l’humanité d’évoluer vers le socialisme et le communisme, indique de façon détaillée la voie à suivre pour améliorer la condition humaine en Angleterre. En fait, l’œuvre entière de Shaw a été celle d’un révolutionnaire et d’un réformateur, en cherchant à détruire l’ordre capitaliste pour lui substituer un ordre socialiste éclairé, plus élevé. Aussi a-t-il salué et défendu la révolution soviétique comme un pas en avant dans cette évolution. Il a publié ses critiques musicales, d’un grand intérêt, dans Le Parfait Wagnérien [1898] et Musique à Londres [Music in London, 1932], ses critiques dramatiques dans La Quintessence de l'ibsénisme [The Quintessence of Ibsenism, 1891] et Opinions et essais dramatiques [Dramatic Opinions and Essays, 1906], et ses conseils pour la mise en scène dans L’Art des répétitions [The Art of Rehearsal, 1932]. Il réunit en 1931 ses critiques sur l’exercice de la médecine, la criminologie, l’éducation, en un volume, Les Tromperies du docteur [Doctor’s Delusions]. Il écrivit un joli conte, Les Aventures d’une jeune négresse à la recherche de Dieu, après son voyage en Afrique du Sud (1932). Vers la fin de sa vie, il rassembla des études politiques, sociologiques, religieuses, biologiques, sous le titre L’Annuaire politique de tous [ 1943] et des notes autobiographiques dans Seize auto-esquisses [ 1949]. Enfin, il a entretenu une très volumineuse correspondance avec des personnalités nombreuses et diverses du théâtre, de la littérature et de la critique; une partie en a été publiée de son vivant (Ellen Terry and Bernard Shaw : a Correspondence, 1931) et, après sa mort : Bernard Shaw and Mrs. Patrick Campbell, their Correspondence (1952); Avis à un jeune critique et autres lettres [Advice to a Young Critic and Other Letters, 1955]. Le style de Shaw est direct, attaquant son sujet de front, en termes précis, puissants, avec un vocabulaire d’une grande richesse. Ses dialogues sont simples, du ton de la conversation ou du discours de réunion publique, plus souvent que littéraire. Ses pièces s’apparentent, par leur structure comique, aux comédies grecques, à celles de Molière et des autres auteurs des XVIIe et XVIIIe siècles. Comme dans ces comédies, l’exposé des idées prend le pas sur l’intrigue et l’action. Sauf quelques exceptions, Shaw ne s’étend pas sur les événements ni sur les sentiments, mais plutôt sur l’action intellectuelle. Il met en scène des moments détachés dans la vie, ou des réunions animées de discussions, qui se terminent sans dénouement véritable, parfois de façon inattendue, comme La Commandante Barbara ou La Maison des cœurs brisés. Son théâtre est réaliste dans la mesure où il peint des êtres vivants, avec leur logique propre; dans chaque pièce il fait exprimer ses idées par un ou plusieurs personnages, ce qui l’a souvent entraîné à représenter des caractères à son image, plus intellectuels que le commun des mortels, leur faisant ainsi perdre de leur réalité objective. Ses pièces deviennent alors un jeu intellectuel ou les idées s’affrontent en un dialogue brillant, rempli d’humour, d’ironie et de sarcasmes, mais souvent aussi empreint de poésie. Shaw a été le penseur le plus décrié et le plus critiqué de son époque, mais, doué d un talent de repartie cinglante, il répondit à ses adversaires en se laissant parfois emporter par l’invective. Les apparentes contradictions dans son œuvre, qu’on lui a reprochées, viennent de ce qu’il a eu l’esprit assez profond et assez fort pour faire le tour des problèmes et pour vouloir en présenter les divers aspects. Shaw a exposé sa philosophie et ses croyances dans certaines pièces et plusieurs préfaces. Il a appelé Dieu l’ensemble des forces, encore mystérieuses, agissant dans l’univers, et plus particulièrement la Force de la Vie, puissance très imparfaite qui cherche à atteindre la perfection. Mais il s’opposa violemment a toute personnification de la divinité. Cette conception religieuse a contribué à le faire saluer comme un grand homme par les Anglo-Saxons. Par son génie, Bernard Shaw a été un « homme du siècle », comme l’a appelé son biographe, A. Henderson. A une intelligence supérieure et une connaissance encyclopédique, acquise grâce à un travail acharné et méthodique, il joignait une grande originalité et une profonde intuition de la nature humaine, ainsi que le don de saisir la contre-partie comique des idées, des situations et des faits. C’est ce comique qui donne à son théâtre l’attrait d’une détente dans la rigueur logique des idées exposées. Ce sont sa verve et son humour légendaire qui ont ouvert l’accès, auprès d’un vaste public, aux dures vérités qu’il assène. Avec le « tempérament de maître d’école » qu’il se reconnaissait, G.-B. Shaw voulait éduquer le public en l’amenant à réfléchir et à penser par lui-même. Il mit personnellement en pratique son enseignement, durant toute une vie dévouée à la mission qu’il s’assignait. Il ne fit rien qui ne fût pas utile au développement de sa personnalité et de son œuvre. Pour se maintenir en forme mentalement, il fut végétarien, abstème et pratiqua un peu le sport. Il s’obligea à vaincre sa nature timide et la cacha souvent sous un dehors arrogant. Sa conviction de voir juste fut à l’origine de la publicité qu’il se fit au début de sa carrière de dramaturge. D’une grande sensibilité il aima toutes les formes de la beauté, mais eut toujours la pudeur de ses sentiments. Bon et généreux, il eut la haine de la pauvreté et de la cruauté (d’où ses attaques contre les physiologistes vivisecteurs). Il fut sensible au charme féminin, mais les femmes ne tinrent jamais une place prépondérante dans sa vie, car il ne fut passionné que pour son travail, la recherche de la vérité et le perfectionnement de l’humanité.

« Shaw George Bernard Ecrivain irlandais * 26.7.1856, Dublin + 2.11.1950, Ayot Saint Lawrence, Grande-Bretagne Après une enfance chaotique et des débuts de journaliste, il part pour Londres où il publie, en 1879, son premier roman "Immaturité", qui n'a aucun succès. Avant d'acquérir la renommée que lui valent ses pièces de théâtre, il s'est déjà fait un nom en tant que critique musical, critique d'art et de théâtre.

En 1884, il se joint à la Fabian Society, un groupe d’intellectuels socialistes.

En 1925, le prix Nobel de littérature le récompense "pour son oeuvre poétique, qui se distingue par son idéalisme et son humanisme ; tout particulièrement pour sa satire virulente, dans laquelle s'est souvent glissée une singulière beauté poétique". Auteur de plus de 70 pièces de théâtre et de nombreux textes de critique artistique ou sociale dans lesquels il prône des réformes avec humour et causticité, Shaw est considéré comme le fondateur du théâtre moderne anglais. Ses oeuvres dramatiques sont le plus souvent des pièces à thèse, dans lesquelles l'action, le thème, la langue et les personnages renvoient à une idée directrice ou une conception du monde.

Sous l'influence d'Henrik Ibsen (1928-1906), Shaw développe un théâtre du verbe.

C'est en effet par le biais de dialogues, assortis parfois de railleries féroces, qu'il critique la société.

Dans ses premières pièces, il vise entre autres la société victorienne ("Les Maisons de M.

Sartorius", 1892) et démasque les faux-semblants en matière de morale ("La Profession de Mrs.

Warren", 1902).

Son "Pygmalion" (1912) connaît un succès mondial grâce à "My Fair Lady", adaptation cinématographique de l'oeuvre sous forme de comédie musicale.

Dans "Candida" (1898) et "Sainte Jeanne" (1923), en moraliste rationaliste, il met en scène des femmes qui, à coup d'arguments sensés, mettent en évidence l'étroitesse d'esprit masculine.

Mais Shaw traite aussi de sujets historiques ("César et Cléopâtre", 1901).

Dans des oeuvres comme "l'Homme et le Surhomme" (1905) ou "En remontant à Mathusalem", Shaw expose sa philosophie de la vie, qui s'appuie sur l'idée d'évolution et de force vitale.. »

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