ses MESURER LA CROISSANCE

« MESURER LAtCROISSANCE Calcul du PIB : 1.

Par la production : VA des productions marchandes et non marchandes 2.

Par les revenus : rémunération des travailleurs + bénéfice des entreprises + recette de l’Etat 3.

Par la demande globale : Additionner les dépenses (investissements, achats des ménages, etc) ROBERT SOLOW Il dit que l’augmentation des facteurs de productions ne permet pas d’expliquer toute la croissance économique => Parle alors de “résidu” de la croissance qui s’explique par le progrès technique mesuré par la PGF Définit le progrès technique comme exogène (extérieur au système économique) Croissance économique Croissance intensive : Dû principalement à la PGF (traduit l’influence du progrès technique) Augmentation du capital : investissement dans du stock mesuré par la FBCF Augmentation du travail : + de travailleurs / + d’heures de travail Les institutions permettent de garantir un environnement stable et propice aux innovations Les types d’institutions : 1.

Créatrice de marché (garantie propriété : brevet) 2.

Réglementation (réduit externalités négatives) 3.

Stabilisation (réduit risques financiers) 4.

Légitimation (protection sociale et redistribution) Externalité négative : Destruction créatrice => polarisation de l’emploi Creusement des inégalités car revenus du capital augmente + vite que ceux du travail. SOURCE DE LAt CROISSANCE Croissance extensive : accumulation de facteurs de production => Facteur travail (L) + Facteur capital (K) Issue des innovations.

On en distingue 5 types : 1.

Innovations de procédé 2.

Innovation de produit 3.

Innovation de mode de production 4.

Innovation de débouchés 5.

Innovation de matières premières Théorie de la croissance endogène : progrès technique créer par la sphère économique (avec les financements dans la R&D + formation des salariés). Pour comparer le PIB entre les pays : nombre d’habitants / richesse des habitants PIB nominal (valeur, € courants) : PIB prenant en compte l’inflation PIB en volume (€ constants) : supprime l’inflation du PIB grâce à l’IDC.

(permet de mesurer la croissance réelle) t PROGRÈS TECHNIQUE JOSEPH SCHUMPETER Définit la destruction créatrice (externalité négative du PT) : innovation rendant d’anciens produits obsolètes. Cause la disparition puis la création de nouveaux emplois instaurant ainsi une polarisation de l’emploi t LIMITES ÉCOLOGIQUE Externalités négatives : pas prise en charge par les pollueurs ni par le marché. Soutenabilité faible : capitaux sont substituable le PT permettrait de les remplacer Soutenabilité forte : capitaux non substituable -> réduction du volume de capital global COMPÉTITIVITÉ 1947 : création du GATT -> OMC en 1955 1950 : internationalisation de la production 1980 : développement des réseaux mondiaux (chaines de production partout dans le monde) LIBRE ÉCHANGE UE => forme la + aboutie du libre échange Diminuant voir supprimant les barrières tarifaires Tripolarisation des échanges (Asie, Amérique Nord, Europe) Commerce international MODÈLE HOS Facteur capital et travail ne sont pas mobiles + productivité et goûts des consommateurs identiques entre les pays. Les avantages comparatifs proviennent des dotations factorielles donc un pays doit se spécialiser dans la production qui nécessite le facteur qu’il possède en abondance. Ajout plus récent des dotations technologiques qui fournissent un avantage comparatif. Paul Krugman : différenciation entre produits et les rendements d’échelles croissant expliquant ainsi les échanges entre pays développés. Différenciation horizontale : biens de qualité similaire mais avec des caractéristiques différentes. Différenciation verticale : produit de qualité différente 2x plus d’augmentation des échanges internationaux que le PIB mondial => croissance économique globale et développement de certain pays. Évolution du type de produits échangés (+ services ) ÉCHANGES COMMERCIAUX DAVID RICARDO Théorie des avantages comparatifs : un pays à intérêt à se spécialiser et participer aux échanges internationaux même si il n’est pas plus productif que ses partenaires commerciaux dans la production d’un bien. Même un pays qui serait plus productif que les autres dans la production de tous les biens aurait quand même intérêt à se spécialiser et participer aux échanges. Limite : ne parle pas du facteur capital et part du principe qu’un pays va se spécialiser que dans un bien Fragmentation de la chaine de valeur => chaque entreprise se spécialise dans une étape de la production d’un produit. Avec la mondialisation les multinationales réalisent ses étapes dans des pays différents en fonction de leurs avantages comparatifs. FRAGMENTATION Commerce intra-firme : 40% des échanges internationaux : IDE => prise de participation dans une entreprise, rachat d’une entreprise étrangère ou création de nouvel unité de production IDE filiales => filiales ateliers ou filiales relais Externationalisation : sous traitance à une autre entreprise Les multinationales via les IDE vont fragmenenter et internationaliser les chaines de valeur LIBRE ÉCHANGE COMPÉTITIVITÉ Compétitivité prix : diminuer les coûts de productions donc prix de vente (matières premières, frais de transport, etc) Compétitivité hors prix : stratégie de différenciations (caractéristique, qualité, originalité, innovation, garantie, réputation, etc) Un État peut améliorer sa compétitivité : fiscalité avantageuse (ex : exonération d’impôts ) Qualification de sa main d’œuvre flexibilité du marché du travail qualité des institutions PROTECTIONNISME Protectionnisme tarifaire : droit de douane, subventions publiques, baisse du taux de change Protectionnisme non tarifaire : règle du contenu local, normes sanitaire ou technique, quota d’importations 1.

Protectionnisme éducateur : permet de protéger les entreprises naissantes pour qu’elle puisse faire face à la concurrence étrangère 2.

Protectionnisme stratégique permet de développer certains secteurs 3.

Protectionnisme défensif : protéger les industries vieillissante et le dumping 4.

Protectionnisme sociétal (ex : refuser des produits faits par des enfants, provenant de pays sous régime dictatoriaux, etc) 5.

Protectionisme de représailles : un état estime que les pratiques d’autres pays sont déloyales Commerce international Avantage : 1.

consommateur à des produits moins chers et plus de choix 2.

économie d’échelles pour les entreprises (+ de compétitivité) 3.

allocation optimale des ressources (+ de gains de productivité pour les entreprises les + compétitives donc les petites entreprises n’utilisent pas les ressources au profit des + grosses) 4.

Ide permettent un transfert de technologie et de savoir faire 5.

réduction des inégalités globales dans le monde Inconvénient 1.

Certains pays exclu du commerce international (ex : pays peu développé) expliqué par la théorie de l’échange inégale 2.

La spécialisation conduit à une perte d’emplois dans les secteurs fragiles (là où il y aurait donc le - de ressources disponible) 3.

Accentuation des inégalités au sein des pays développés 4.

Poids sur les salaires, précarité des salariés 5.

Impact environnemental 6.

Dumping social, fiscale, environnemental CERCLE VERTUEUX -> production des entreprises -> compétitivité des entreprises -> part de marché à l’international -> bénéfices -> compétitivité du pays LES THÉORIES Théorie des économistes classique : travail s’échangeait sur un marché entre offreur et demandeur marché du travail => offreur offre leur force de travail / employeur demande des travailleurs pour faire une tâche marché de l’emploi => employeur offre de l’emploi / travailleurs en demandent Le salaire d’équilibre permettrait de supprimer le chômage.

Ceux qui ne travaillent pas = refuse le salaire d’équilibre appelé chomeurs volontaires par les économistes classique. Théorie néoclassique : Selon Keynes : ralentissement de l’activité économique => baisse de la demande globale => baisse du volume de production donc licenciement CAUSES Chômage structurel : lié à des évolutions démographiques, sociales, environnementales ou institutionnelles auxquelles les acteurs du marché doivent s’adapter Peut s’expliquer par : 1.

inadéquation entre offre et demande (problème d’appariement) 2.

asymétrie d’informations 3.

rôle des institutions => salaire minimum empêche la régulation du salaire d’équilibre, règle de protection de l’emploi (pays avec une protection de l’emploi + élévé ont un chômage de longue durée + importante) Chômage conjoncturel : demande globale trop faible (conjoncture économique mauvaise) POLITIQUES DE SOUTIEN ARTHUR OKUN Explique la corrélation entre le taux de croissance du PIB et l’évolution du taux de chômage appelé loi d’Okun Lutte contre le chômage Politiques budgétaires de relance consistent à abaisser les prélèvements obligatoires et à augmenter les dépenses publiques Politique monétaires de relance consistent à augmenter la masse monétaire et à abaisser les taux d’intérêt pratiqués par la BCE Économistes néoclassique : chômage est dû en partie au coût du travail trop élevé.

Il faudrait réduire le coût du travail pour les employeurs sans réduire le salaire net des travailleurs (politique de réduction des cotisations patronales) Politique de formation pour lutter contre les problèmes d’appariement Flexibilité le marché du travail (contrats précaires, heures supplémentaires, etc) Flexibilité fonctionnelle : employeur + polyvalent Flexi-sécurité : employeurs peuvent licencier facilement + grande protection des travailleurs JOHN KEYNES ACTUALITÉ Depuis les années 1975 on constate une forte augmentation du taux de chômage en France (entre 7 et 8%). Hausse de la précarisation de l’emploi et du halo du chômage. Selon Keynes il faut soutenir la demande anticipée afin de relancer la croissance économique et donc l’emploi.

( les revenus des travailleurs permettent de continuer de consommer donc entretiennent la croissance économique) Les entreprises peuvent contribuer à la relance de l’activité par leurs investissements. CRISE DE 1929 Crise de 1929 : la grande dépression. => une bulle spéculative s’est formée dû à une intense spéculation boursière, puis elle a finit par éclater. Les gens ont voulu revendre leurs actions en voyant les coûts chuter =>.... »