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Publié le 16/02/2024

Extrait du document

« A l’instar de la COP27 qui s’est terminée la semaine dernière, l’évènement du sommet des G8 commence et débat de divers sujets tel que celui de l’économie.

De nos jours, la question économique doit se doubler d’une question environnementale.

Ainsi, chaque pays a la responsabilité de mettre en adéquation son progrès technique, l’ensemble des innovations qui améliore le processus de production, avec un développement durable, c’est-àdire qui permet de satisfaire les besoins actuels d’une génération sans compromettre les besoins d’une future génération.

Ici s’oppose deux clans : les partisans de la soutenabilité faible qui promeut l’idéologie de la compensation puis les partisans de la soutenabilité forte qui sont réticents avec l’idée que le capital naturel peut être compensé par du progrès technique. Notre ère actuelle, l’anthropocène et capitalocène, nous montre que le progrès technique est souvent la cause de la destruction de notre écosystème.

Nos sociétés cherchent à se développer de plus en plus dans chaque domaine, souvent dans le high-tech.

Ces dernières investissent dans la dépense en recherche et développement.

Ces dépenses vont permettre aux ingénieur de pouvoir faire des stages spécialisés.

Ces stages vont permettre à ces personnes d’acquérir de nouvelles compétences nécessaires pour la création de capital plus sophistiqué et efficace.

Ce processus est à l’origine progrès technique.

Ce dernier peut être très critiquable puisque dans une société axé sur le capitalisme, les acteurs économiques cherchent à faire augmenter leurs recettes au détriment de l’environnement.

Il existe des innovations liés au progrès technique afin d’obtenir une durabilité sur le long terme.

Ces innovations sont appelées technologies vertes.

Dans le document trois, nous pouvons constater plusieurs courbes indiquant le PIB par habitant en fonction du le degré de pollution.

Chaque courbe nous montre une évolution.

Si nous prenons la courbe de la déforestation dans un pays qui n’a visiblement pas connu de développement économique puisque les habitants ont un pib très faible, soit de 10 euros de PIB/ habitants.

Le degré de pollution donc de déforestation est assez faible.

Puis lorsque le pays commence à s’industrialiser il va puiser dans la forêt pour utiliser le bois comme ressource énergétique.

Cette utilisation va conduire à un pique au alentour de 100.

Puis ce même pays, lorsqu’il aura établit une finance assez développé, il va se pencher sur la question de son environnement.

Le gouvernement peut dès lors adopter des technologies de finance verte qui concilie la reforestation et la banque.

La courbe nous montre un degré de déforestation aussi peu élevé qu’avant la période pré-industrielle Ici, on pourrait croire que le progrès technique a compensé les dégâts engendrés par l’humain.

Or c’est faux, la reforestation de certaines forêts se font dans des conditions particulières.

En réalité, les reforestations ne peuvent pas compenser les forêts naturelles qui étaient des lieux de vie, de biodiversité et d’identité.

Certes, les arbres sont ré-apparus mais on retrouve aussi des pesticides dans les sols qui tuent la biodiversité de ces forêts et nous mêmes.

( hors sujet ???: La nature n’est pas un stock de richesse à exploiter : en Tanzanie nous pouvons observer le même phénomène.

La Tanzanie est un pays d’Afrique situé au Sud-Est, c’est un pays en plein développement.

De ce fait, son système économique est en plein transformation.

Dans une société de mondialisation et capitaliste, ils surexploitent la pêche du Perche du Nil.

Or l’introduction de ce poisson dans le lac de Tanzanie a eu des effets néfastes.

Notamment, les scientifiques se sont rendus compte que ce poisson a mangé toutes ses congénères faisant de lui, le seul poisson exploitable.

Ici, la surexploitation de ce poisson va conduire donc à l’extinction de toute vie dans ce lac.

Le gouvernement pense qu’avec l’argent récupérer de la peche il va développer des activités, tourisme port, pour compenser le capital naturel détruit.

Or, la nouvelle génération ne pourra pas profiter de la ressource apportés par ce poisson.

Ici, le développement durable n’est pas respecté.) Ensuite, les innovations liées au progrès technique ne sont pas toujours bénéfiques pour l’environnement.

En effet, le développement durable a pour but de concilier une expansion économique, humain et environnementale. Depuis les années 1970, les sociétés prennent consciences de la pollution environnementale.

La création de l’empreinte écologique, un indicateur chiffré entre 0-1 a eu pour effet d’établir une comptabilité de chaque pays avec la durabilité environnemental.

Ainsi, les gouvernements se penchent de plus en plus sur cette question environnementales nécessaires dans des buts politiques mais également pour la survie de l’humanité.

Les pays les plus riche.... »

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