SENG CAN, LE TROISIÈME PATRIARCHE
Publié le 16/06/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : SENG CAN, LE TROISIÈME PATRIARCHE. Ce document contient 2523 mots soit 5 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Religions.
« Pour Edward Conze, professeur à l'Université de Londres, auteur d'un Le bouddhisme (Pbp n° 187, Payot, 1978), dont la lecture reste toujours attachante et intéressante, le «poème» de Seng Can, intitulé Xing Xing Ming («Inscription au cur de la foi», « Inscription sur l'esprit de foi», «En croyant en l'esprit»; mot-à-mot : foi, cur-esprit, inscription), «est l'un des plus beaux exposés du bouddhisme que je sache» (id., p. 232). Le lecteur dispose aujourd'hui de deux traductions, accompagnées de commentaires, de ce poème qui ne comporte que 36 paragraphes de 8 caractères chacun, soit 288 caractères en tout, ou 6 pages en traduction française. Une belle traduction de L. Wang et J. Masui figure dans un très joli petit volume (Les petits livres de Sagesse, Table Ronde, 1996) intitulé «Zen et Vedanta», on ne sait trop pourquoi, avec les commentaires «actuels» d'Arnaud Desjardins. Une autre traduction avec commentaires, tout aussi «actuels», est due à Dennis Genpo Merzel qui vit et enseigne à Salt Lake City (U.S.A.). (Au Cur du Chan, un maître du xxe s. commente le texte fondateur du bouddhisme chinois, J. C. Lattès, 1997.) Nous renvoyons le lecteur intéressé à ces deux traductions commentées. Pour le mettre en appétit, en voici quelques extraits. A la lecture de ces quelques lignes on s'aperçoit combien, au fond, le chan bouddhique et le taoïsme se confortent mutuellement. ...»
«
SENG
CAN, LE TROISIÈME PATRIARCHE
(mort en 606 ?)
Pour Edward Conze, professeur à l'Université de
Londres, auteur d'un Le bouddhisme (Pbp n°
187,
Payot, 1978), dont la lecture reste toujours attachante
et intéressante, le «poème» de Seng Can, intitulé Xing
Xing Ming («Inscription au cœur de la foi», « Inscrip
tion sur l'esprit de foi», « En croyant en l'esprit»;
mot-à-mot : foi, cœur-esprit, inscription), « est l'un des
plus beaux exposés du bouddhisme �hF je sache» (id.,
p.
232).
Le lecteur dispose aujourd'hui de deux traductions,
accompagnées de commentaires, de ce poème qui ne
comporte que 36 paragraphes de 8 caractères chacun,
soit 288 caractères en tout, ou 6 pages en traduction
française.
Une belle traduction de L.
Wang et J.
Masui
figure dans un très joli petit volume (Les petits livres
de Sagesse, Table Ronde, 1996) intitulé « Zen et
Vedanta», on ne sait trop pour�hYO avec les commen
taires «actuels» d'Arnaud Desjardins.
Une autre tra
duction avec commentaires, tout aussi «actuels», est
due à Dennis Genpo Merzel �hO vit et enseigne à Sàlt
Lake City (U.S.A.).
(Au Cœur du Chan, un maitre du
xxe s.
commente le texte fondateur du bouddhisme chi
nois, J.
C.
Lattès, 1997.)
Nous renvoyons le lecteur intéressé à ces deux tra
ductions commentées.
Pour le mettre en appétit, en
voici quel�hFb extraits.
A la lecture de ces �hFTues
lignes on s'aperçoit combien, au fond, le chan boud
dhi�hF et le taoïsme se confortent mutuellement..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- patriarche.
- To what extent can social media be a tool for the public to have their say in political matters
- Les auxiliaires modaux (1) : can, could
- Le pape Paul VI rencontre le patriarche orthodoxe Athénagoras ; l'annéesuivante a lieu la levée mutuelle d'excommunication entre les deux chefsreligieux.
- AthênagorasAthênagoras (1886-1972), patriarche oecuménique et archevêque de Constantinople (Istanbul), chef spirituel de l'Église orthodoxe.