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SADE, Donatien Alphonse François, dit le Marquis de Sade, seigneur de la Coste et de Saumane, coseigneur de Mazan (2 juin 1740- 2 décembre 1814) Ecrivain C'est par son oncle paternel, l'abbé de Sade d'Ebreuil, et par les jésuitesK109 du collège d'Harcourt qu'a été élevé le jeune Donatien.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : SADE, Donatien Alphonse François, dit le Marquis de Sade, seigneur de la Coste et de Saumane, coseigneur de Mazan (2 juin 1740- 2 décembre 1814) Ecrivain C'est par son oncle paternel, l'abbé de Sade d'Ebreuil, et par les jésuitesK109 du collège d'Harcourt qu'a été élevé le jeune Donatien. Ce document contient 545 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« SADE, Donatien Alphonse François, dit le Marquis de Sade, seigneur de la Coste et de Saumane, coseigneur de Mazan (2 juin 1740- 2 décembre 1814) Ecrivain C’est par son oncle paternel, l’abbé de Sade d’Ebreuil, et par les jésuites du collège d’Harcourt qu’a été élevé le jeune Donatien.

A quinze ans, il est sous-lieutenant au régiment d’infanterie du roi.

Deux ans plus tard, en 1757, il participe à la guerre de Sept ans avec le grade de capitaine de cavalerie.

Le 17 mai 1763, Renée-Pélagie Cordier de Launay de Montreuil devient son épouse.

Cinq mois à peine plus tard, Sade est enfermé pour deux semaines au donjon de Vincennes.

Ce sont les excès dont il a été coupable dans ce que l’on nomme une “ petite maison ” qui lui valent cette première condamnation.

Le 3 avril 1768, une certaine Rose Keller qui demande l’aumône sur la place des Victoires accepte de suivre Sade à Arcueil.

Là, la jeune femme est déshabillée, flagellée encore et encore, et enfermée.

Elle parvient à s’évader.

En dépit de la plainte qu’elle a portée et si elle obtient une indemnité importante, Sade, parce qu’il est marquis, n’est condamné qu’à une amende.

Sur ordre du roi, pourtant, il reste enfermé jusqu’en novembre 1768.

Quatre ans plus tard, Sade est à nouveau arrêté, le 8 décembre 1772, sur l’ordre du roi de Sardaigne.

Il avait fui la France, après avoir, à Marseille, entraîné avec son valet quatre filles qu’il a soumises à la flagellation et à d’autres débauches.

Le soir même encore, il contraignait une prostituée à finir une boîte d’anis cantharidées.

Sade a été condamné à mort par le parlement de Provence pour empoisonnement et sodomie.

Le 12 septembre, c’est son effigie qui est exécutée à Aix-en-Provence où, lorsqu’on l’y ramène en 1778, l’arrêt du parlement est cassé. Entre-temps, après s’être évadé, son séjour à Lacoste, est ponctué de divers scandales, entre 1774 et 1777.

Sur la route de Paris, où on le ramène en raison d’une lettre de cachet, il parvient à prendre la fuite.

Le 26 août 1778, il est arrêté à Lacoste.

Ramené à Paris, il est enfermé à Vincennes puis à la Bastille.

Quelques jours avant le 14 juillet 1789 , il est transféré chez les religieux de Charenton-Saint-Maurice.

Ce n’est qu’à un décret sur les lettres de cachet que Sade doit d’être libéré le 2 avril 1790.

Dès le 5 décembre 1793, il est à nouveau arrêté.

Mais, cette. »

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