Rio de Janeiro.
Publié le 08/12/2021
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Rio de Janeiro. ville du Brésil, capitale d'État, sur le côté ouest de la baie de Rio de
Janeiro, ou Bahia de Guanabara. 5 600 000 habitants, dans une agglomération de
12 100 000 habitants. Deuxième ville de l'Amérique du Sud, elle est, avec São Paulo, l'un des
deux grands foyers industriels du Brésil, doté d'un important secteur agroalimentaire, de
constructions mécaniques et électriques, d'une métallurgie de l'aluminium, d'industries
chimiques et pétrochimiques et d'industries textiles. C'est également un port, avec un trafic
de l'ordre de plusieurs millions de tonnes, et un centre commercial de premier plan, dont les
activités principales sont centrées sur l'exportation du café, du cacao, du sucre, du coton, du
tabac, des minerais et des diamants. Les deux aéroports de la ville en font une plaque
tournante tant pour le réseau intérieur que pour les lignes internationales. Rio possède une
université, fondée en 1920, des instituts d'études supérieures, une école militaire, une école
d'architecture moderne et plusieurs musées. Son carnaval est l'un des plus célèbres du
monde.
La ville occupe un site d'une très grande beauté : un ensemble de plaines sableuses et de
vastes vallées que dominent des pitons rocheux dont le plus célèbre est le Pain de Sucre (Pão
d'Açúcar), qui s'élève à 390 m, et le plus haut, le mont Corcovado (704 m). Au sommet de
cette dernière montagne, que l'on peut atteindre par un chemin de fer à crémaillère, se
dresse une statue du Christ, de 38 m de haut. La vieille ville de Rio a été modernisée, depuis
1902, par la construction de nouvelles artères, parmi lesquelles on peut citer la majestueuse
Avenida Rio Branco. L'Avenida Beira Mar et l'Avenida Atlántica forment une promenade de
près de 10 kilomètres de long, bordant la plage célèbre de Copacabana. Aujourd'hui, Rio
comprend un quartier important de gratte-ciel. Un vieux quartier noir, qui monte aux flancs
des montagnes, forme, avec ses bidonvilles (les favelas), un contraste frappant avec le reste
de la ville.
Rio de Janeiro, dont le nom signifie « rivière de janvier », doit d'avoir été ainsi baptisée au
fait que la région qui entoure la baie fut découverte le 1 er janvier 1502. Au cours des années
1540-1550, cette région fut colonisée par les Portugais. En 1763, Rio devint la résidence du
vice-roi du Brésil ; après la création de l'empire du Brésil, elle fut la capitale du pays jusqu'en
1960. Elle devint alors la capitale de l'État de Guanabara, puis, en 1975, celle de l'État de Rio
de Janeiro (43 853 km2 ; 14 millions d'habitants).
Le traité de Rio.
Ce traité d'assistance militaire fut signé le 2 septembre 1947 par tous les États du
continent américain, à l'exception du Canada, de l'Équateur et du Nicaragua. D'après le
traité, une agression commise par un pays non américain contre l'un des membres est
considérée comme dirigée contre tous les pays signataires.
Le sommet de Rio.
En juin 1992, la Conférence des Nations unies sur l'environnement et le développement
(CNUED), dite « sommet de la Terre », a réuni à Rio de Janeiro cent soixante-dix-huit
délégations nationales. Outre « l'Agenda 21 », programme d'action de la CNUED pour le
XXIe siècle, ont été adoptées deux déclarations et deux conventions. La « déclaration de
Rio », ou charte de la Terre, énonce vingt-sept grands principes pour bien gérer les
ressources de la planète, tandis que la « déclaration sur la forêt » paraît être un texte peu
contraignant pour les pays à fort potentiel forestier. La « convention climat », pour réduire
la pollution atmosphérique (soupçonnée d'aggraver l'effet de serre et le réchauffement du
climat), fut adoptée à l'unanimité, alors que les États-Unis n'ont pas signé la « convention
biodiversité », dont le but est de préserver la faune et la flore menacées de disparition.
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Les corrélats
pollution - Les polluants : de l'environnement à l'homme - Une loi sur l'air
protection de la nature - La mise en oeuvre de la conservation de la nature - La
conservation des écosystèmes
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Les corrélats
Amérique du Sud - Géographie - L'organisation de l'espace
bidonville
bougainvillée
Brasília
Brésil - Géographie - L'organisation de l'espace
carnaval
Duguay-Trouin René
environnement
favela
pain de sucre
Les natifs de ce lieu
Cavalcanti Alberto
Niemeyer Soares Filho Oscar
Villa-Lobos Heitor
Wehnelt Arthur Rudolph Berthold
Les médias
Brésil - carte physique
Amérique du Sud - carte physique
Amérique du Sud - carte politique
Les livres
carnaval - le carnaval de Rio, page 875, volume 2
pain de sucre, page 3663, volume 7
Rio de Janeiro, page 4397, volume 8
ville - une favela de Rio de Janeiro, au Brésil, page 5545, volume 10
Brésil - les favelas de Rio de Janeiro, page 745, volume 2
Brésil - le stade Maracaña, à Rio de Janeiro, page 745, volume 2
Rio de Janeiro. ville du Brésil, capitale d'État, sur le côté ouest de la baie de Rio de
Janeiro, ou Bahia de Guanabara. 5 600 000 habitants, dans une agglomération de
12 100 000 habitants. Deuxième ville de l'Amérique du Sud, elle est, avec São Paulo, l'un des
deux grands foyers industriels du Brésil, doté d'un important secteur agroalimentaire, de
constructions mécaniques et électriques, d'une métallurgie de l'aluminium, d'industries
chimiques et pétrochimiques et d'industries textiles. C'est également un port, avec un trafic
de l'ordre de plusieurs millions de tonnes, et un centre commercial de premier plan, dont les
activités principales sont centrées sur l'exportation du café, du cacao, du sucre, du coton, du
tabac, des minerais et des diamants. Les deux aéroports de la ville en font une plaque
tournante tant pour le réseau intérieur que pour les lignes internationales. Rio possède une
université, fondée en 1920, des instituts d'études supérieures, une école militaire, une école
d'architecture moderne et plusieurs musées. Son carnaval est l'un des plus célèbres du
monde.
La ville occupe un site d'une très grande beauté : un ensemble de plaines sableuses et de
vastes vallées que dominent des pitons rocheux dont le plus célèbre est le Pain de Sucre (Pão
d'Açúcar), qui s'élève à 390 m, et le plus haut, le mont Corcovado (704 m). Au sommet de
cette dernière montagne, que l'on peut atteindre par un chemin de fer à crémaillère, se
dresse une statue du Christ, de 38 m de haut. La vieille ville de Rio a été modernisée, depuis
1902, par la construction de nouvelles artères, parmi lesquelles on peut citer la majestueuse
Avenida Rio Branco. L'Avenida Beira Mar et l'Avenida Atlántica forment une promenade de
près de 10 kilomètres de long, bordant la plage célèbre de Copacabana. Aujourd'hui, Rio
comprend un quartier important de gratte-ciel. Un vieux quartier noir, qui monte aux flancs
des montagnes, forme, avec ses bidonvilles (les favelas), un contraste frappant avec le reste
de la ville.
Rio de Janeiro, dont le nom signifie « rivière de janvier », doit d'avoir été ainsi baptisée au
fait que la région qui entoure la baie fut découverte le 1 er janvier 1502. Au cours des années
1540-1550, cette région fut colonisée par les Portugais. En 1763, Rio devint la résidence du
vice-roi du Brésil ; après la création de l'empire du Brésil, elle fut la capitale du pays jusqu'en
1960. Elle devint alors la capitale de l'État de Guanabara, puis, en 1975, celle de l'État de Rio
de Janeiro (43 853 km2 ; 14 millions d'habitants).
Le traité de Rio.
Ce traité d'assistance militaire fut signé le 2 septembre 1947 par tous les États du
continent américain, à l'exception du Canada, de l'Équateur et du Nicaragua. D'après le
traité, une agression commise par un pays non américain contre l'un des membres est
considérée comme dirigée contre tous les pays signataires.
Le sommet de Rio.
En juin 1992, la Conférence des Nations unies sur l'environnement et le développement
(CNUED), dite « sommet de la Terre », a réuni à Rio de Janeiro cent soixante-dix-huit
délégations nationales. Outre « l'Agenda 21 », programme d'action de la CNUED pour le
XXIe siècle, ont été adoptées deux déclarations et deux conventions. La « déclaration de
Rio », ou charte de la Terre, énonce vingt-sept grands principes pour bien gérer les
ressources de la planète, tandis que la « déclaration sur la forêt » paraît être un texte peu
contraignant pour les pays à fort potentiel forestier. La « convention climat », pour réduire
la pollution atmosphérique (soupçonnée d'aggraver l'effet de serre et le réchauffement du
climat), fut adoptée à l'unanimité, alors que les États-Unis n'ont pas signé la « convention
biodiversité », dont le but est de préserver la faune et la flore menacées de disparition.
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pain de sucre, page 3663, volume 7
Rio de Janeiro, page 4397, volume 8
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Brésil - les favelas de Rio de Janeiro, page 745, volume 2
Brésil - le stade Maracaña, à Rio de Janeiro, page 745, volume 2
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