religion
Publié le 18/05/2020
Extrait du document
«
La religion
Types de sujets
Foi et raison
- La raison est-elle nécessairement en conflit avec la croyance religieuse ?
- Croire, est-ce renoncer à l’usage de la raison ?
- La vision religieuse et l’explication scientifique du monde sont-elles compatibles ?
- Pourquoi le progrès scientifique n’a-t-il pas fait disparaître les religions ?
- La croyance n’est-elle qu’une illusion rassurante ?
- Est-ce faiblesse que de croire ?
Dimension anthropologique du fait religieux ? Diversité du fait religieux et de ses significations.
L’homme est-il un animal religieux ?
En quoi l’athée croit-il ?
Le sentiment religieux implique-t-il la croyance en un être divin ?
A quoi reconnaît-on une attitude religieuse ?
Religion, morale et vie sociale
- Peut-on ne pas faire son devoir moral au nom de la religion ?
- Une société peut-elle se passer de religion ?
Etymologie
« Religare » : relier.
La religion : ce qui relie les hommes à Dieu (lien vertical) ou les hommes entre eux (lien horizontal –
la religion comme ciment social).
Notions associées
- Athéisme et agnosticisme (= privé de connaissance – gnosis ).
- Monothéisme / Polythéisme.
- Dogme : Proposition de foi, doctrine religieuse révélée.
- Foi (du latin « fides » = confiance).
- Mystère : dogme incompréhensible, relevant de la foi et de la Révélation (mystère de la sainte Trinité).
- Superstition : crainte respectueuse qui attribue à certains actes ou certains objets une influence bénéfique ou maléfique.
Mentalité irrationnelle souvent considérée comme une forme archaïque de religiosité.
- Transcendance : ce qui s’élève au-dessus de toute limite, d’un ordre supérieur au monde empirique (# immanence).
- Tolérance et laïcité.
- Sacré / Profane .
- Théologie.
L’image négative de la religion ; les progrès de la laïcité et de l’athéisme comme facteurs de libération des
consciences.
1.
L’histoire, le plus souvent, ne plaide pas en faveur des religions : entrave au progrès des sciences et des libertés
publiques et privées, tartufferie du discours sur le corps et répression de la sexualité, statut des femmes, fanatisme des
guerres de religion, conversions forcées (« la croix ou l’épée »), Inquisition, caution idéologique de pouvoirs
autoritaires de « droit divin » (ou compromission de Pie XII auprès du nazisme), …
2.
En ce sens, la nouvelle idée de l’homme que la R évolution française a contribué à faire triompher semble constituer
un acquis décisif : la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen implique une conception de l’homme
indépendante de toute référence religieuse.
Jusque-là, l’athéisme était toujours suspect et tenu pour incompatible avec
la morale et le bonheur.
Il n’y a plus désormais à rougir, loin s’en faut, d’une existence émancipée de toute religiosité.
On admet aisément aujourd’hui qu’une compréhension religieuse du monde n’est pas nécessaire pour que
l’existence trouve un sens et les règles de la vie leur fondement .
On peut être athée, vertueux et heureux.
C’est en
ce sens que Nietzsche peut affirmer que « Dieu est mort » - (Voir aussi l’émergence de la notion de laïcité).
Mais, il serait absurde et dogmatique de dénier toute légitimité à la religion....
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