Rédaction: sujet de réflexion sur les réactions à avoir lors d’événements peu commun
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
«
Il nous est tous arrivé, ou il nous arrivera, d'être face à un événement inattendu alors que vous
vous promenez tranquillement dans la rue.
On peut mettre ces événements sur une échelle où l'on
aurait tout en bas les choses qui peuvent être tout de même assez courante ou peu extraordinaire,
comme aider une personne handicapée, et où, tout en haut de cette échelle, on aurait les accidents,
les incendies...
Cependant, dans ce genre de situation, les réactions des uns et des autres varient.
Doit-on intervenir ou bien ne rien faire ? Voyons en détails les raisons qui nous poussent à s'abstenir
ou pas.
Dans les cas où l'on intervient, nos intentions ne doivent pas être la curiosité ou la soif de
reconnaissance et tous les sentiments similaires telles que le voyeurisme ou l'envie de se distinguer.
Les personnes intervenant dans des situations inattendues, poussé par ce type de sentiment, se
distingue surtout dans les accidents, de la route par exemple.
Pour illustrer cet argument, imaginons
une scène où une voiture aurait renversée un vélo.
Un passant peut s'approcher par curiosité,
simplement pour savoir qui a renversé qui, ou pour voir à quoi ressemble un accident … Tout ça au
lieu d'aider le blessé ou d'appeler les urgences.
Ou le passant peut aider le renversé mais pour qu'on
le félicite ou pour, plus tard, demander de l'argent à la personne qu'il aura sauvé.
Au contraire, lorsque l'on décide d'intervenir, la personne peut agir par solidarité, par courage,
par le sens du devoir … alors il agira pour de bonnes raisons.
Reprenons l'exemple de l'accident de
voiture avec le vélo énoncé tantôt.
Animé par son courage et par sa solidarité, il ira auprès du blessé
pour le rassurer et pour, si il est juste un peu sonné et non au seuil de la mort, l'aider à se relever et
peut-être même l'emmener jusqu'à un hôpital.
Ces personnes intervenant donc avec de bonnes
raisons, sont susceptibles de sauver des vies.
Maintenant prenons un exemple un peu plus fréquent.
Il est tout à fait possible de croiser dans la rue une personne très âgée ou un handicapé, voulant
traverser une route.
Toutes personnes connaissant le civisme et le dévouement, demandera à la
personne en difficulté de lui apporter son aide.
Bien sûr, il existe aussi des personnes qui s'abstiennent de se mêler d'une affaire inattendue pour
de bonnes raisons, cela va de soi.
Leurs intentions peuvent être la discrétion et la prudence par
exemple.
Imaginons: deux personnes se disputent, des amis ou un couple ou autres; s'ils ne sont pas
en train de se battre et qu'ils ne font que se disputer verbalement, nous n'avons pas à intervenir dans
des affaires qui ne nous regarde pas car, de par mon expérience, lorsque que l'on s'occupe de choses
dont on ne devrait pas, cela peut facilement nous retomber dessus.
Or, s'il est question de propos
raciste ou discriminatoire, si l'on est antiségrégationniste, on peut intervenir mais ce n'est pas une
obligation.
Pour finir, une dernière catégorie de personnes se distingue dans ces situations: celle qui
s'abstiennent d'intervenir pour de mauvaises raisons telles que l'égoïsme, la peur ou la lâcheté.
Nous allons revenir sur des exemples que nous avons déjà vue pour faire de la comparaison.
Si l'on croise dans la rue une personne âgée ou handicapée cherchant à traverser une route, notre
sens du civisme doit nous pousser à intervenir, cependant, les sentiments telle que l'égoïsme nous
poussent à penser que ce n'est pas notre problème ou que la personne peut se débrouiller toute seule.
Ce genre de sentiment est très néfaste et peut parfois causer de gros dégâts.
Ou encore si, par peur ou par lâcheté, on ne veuille par aider un cycliste renversé par une voiture,
qui soit extrêmement blessé ou simplement sonné, c'est une chose grave ! A mon avis, c'est le cas le
plus grave qui puisse arriver après le fait d'intervenir pour de mauvaises raisons.
Je pense que toutes personnes spectatrices d'un événement inattendu, dans la rue par exemple, se
doit d'intervenir et d'aider son prochain, que ce soit simplement le fait d'aider une personne âgée ou
d'aider une personne victime d'un accident de la route.
Même si parfois, il est bon de s'abstenir
comme dans le cas d'une dispute qui reste verbale et n'ayant aucun propos racistes..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Commentez cette réflexion de P.-A. Touchard dans L'Amateur de théâtre ou la Règle du jeu : « Il y a une fatalité dans le roman comme il y a une fatalité au théâtre, mais la fatalité du roman est dans le personnage, celle du théâtre dans la situation. Le roman tend à nous faire souvenir que l'homme est déterminé par ses propres passions; le théâtre à nous rappeler que son destin demeure le jouet des événements. »
- dissertation master littérature de jeunesse sur le conte - Commentez : "Pierre Péju nous dit que «Le conte en général […] met en scène un héros au nom commun, à la psychologie sommaire, dont les aventures sont comme suspendues en dehors du temps et de l’espace. Le conte décrit souvent un « passage », une traversée […]. A la fin, celui qui est mal parti finit par accéder à un état nouveau de maturité, de puissance ou de richesse. Mais certains contes valent avant tout
- La guerre froide, de 1947 à 1991 : résumé des principaux événements
- Résumé de cours : réactions nucléaires
- Grand oral - Mathématiques Sujet : Quel est le point commun entre une ananas, les lapins et la tour de Pise?