Quelle est la nature du bonheur ?
Publié le 26/12/2020
Extrait du document
«
INTRO :
Le
Quelle est la nature du bonheur ? Si on s’arrête aux opinions, on constate
vite qu’elles divergent.
Ce qui représente le bonheur varie d’un individu à
l’autre, alors le bonheur serait un état de satisfaction complète et durable
qu'on définit souvent par rapport au désir comme l'état de l'individu dont les
désirs sont comblés.
Une doxa populaire voudrait que le bonheur soit permis
par la possession de richesse, de gloire.
Il serait alors le fruit de la chance, du
hasard comme l’explique le mot grecque “eutukhia”.
Contre cette signification
courante, Aristote infléchit le mot “eudaimonia”, tel que l’homme soit
responsable de son bonheur.
La question que Aristote se pose dans ce texte est
la suivante : Qu’entendons nous par Bonheur ? Suffit il d’être doté de vertu
pour être heureux ? Aristote développe l’idée ,qu’un besoin d’une activité tel
que le travail pour être heureux est futile et disgracieux.
Pour autant il ne
réfute pas cette question (l.5-l.9).
Le philosophe stagirite développe ensuite ces
types de vie et distingue 3 formes de bonheur : le plaisir (vie selon le corps), la
politique (vie selon la rhétorique et l’honneur) et la philosophie (vie selon la
raison)(l.10-l.20).
Ce texte interpelle, le philosophe développe une explication
d’atteinte du bonheur.
Il affirme même que l’Homme est responsable de son
bonheur.
Dès la première phrase, Aristote explique le thème, le but de son texte.
Ainsi, il dit qu’il va s’interroger sur la définition du bonheur et souligne ces
problèmes de l’incompréhension et de l’illusion de ce dernier.
Le nom “la
plupart” souligne cette complexité et la non vérité exacte et absolue de cette
définition qu’il va donner.
Effectivement, le bonheur a toujours été une grande
question pour les philosophes.
Pour autant cette définition est complexe et
diffère d’un philosophe à un autre.
La conjonction “si” implique qu’il compte
donner sa propre définition.
C’est d’ailleurs avec l’adverbe “convenablement”
l.1 qu’Aristote exprime son opinion sur certaines définitions qu’y ont pu être
données au fil des siècles.
Le philosophe questionne alors sa conception.
Il se
demande si la vertu se suffit comme l’ont supposé de nombreux philosophes
avant lui.
Il émet alors une thèse qui serait d’avoir qu’un homme vertueux
pratique alors une activité.
S’en suit alors une distinction de modes de vie
opposés d’après Aristote.
La première, serait celle d’un homme pourvu d’une activité, que l’on
appellerait “travail” aujourd’hui.
Immédiatement, comme l’indique le groupe
verbale “ prétendent en vain”l.5, Aristote réfute cette thèse.
Il souligne une.
»
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