Quel sont les fondements de la royauté minoenne? D'après le chant 2 de l'Iliade, comment fonctionne la royauté homérique quand il faut prendre une décision de la communauté?

« Demande d'échange de corrigé de Régnier Alyzee ( [email protected] ). Quel sont les fondements de la royauté minoenne? D'après le chant 2 de l'Iliade, comment fonctionne la royautéhomérique quand il faut prendre une décision de la communauté? Sujet déposé : Question 1: Quel sont les fondements de la royauté minoenne? Question 2: D'après le chant 2 de l'Illiade, comment fonctionne la royauté homérique quand il faut prendre unedécision de la communauté? 1-/ Les fondements de la royauté minoenne résident dans la légitimité qu'à obtenu Minos à s'entretenir avec Zeusen tant que fils [Minos se rencontrait en un entretien avec Zeus et qu'il le fréquentait pour se faire instruire par lui,comme par le Sage qu'est Zeus.

Paragraphe 3] Pour la préserver il aurait perpétuée cet entretien familier[effectivement il y dit que, tous les neuf ans,… Paragraphe 3], cela lui permettant de rester le roi légitime [Enoutre, dans l'Evocation des Morts (Nékyia) que contient l'Odyssée, il a peint «rendant la justice avec un sceptre d'orà la main», non point Rhadamanthe mais Minos; et pas plus qu'il n'a, en cet endroit, peint Rhadamanthe en train derendre la justice, il ne l'a nulle part représenté en relations avec Zeus.

Paragraphe 3] au yeux de tous etd'apprendre un certain nombre de préceptes vertueux [Hésiode, à son tour, a dit sur le compte de Minos des chosesqui s'apparentent à celles qui précèdent.

Mentionnant son nom, il écrit en effet: « De tous les mortels qui ont étérois, c'est lui qui fut le plus roi et qui commanda au plus grand nombre d'hommes à l'entour de lui, car il portait lesceptre de Zeus, et c'est avec ce sceptre qu'il régnait sur les Cités.

» Et ce que le poète appelle « le sceptre deZeus« n'est autre que l'éducation qu'il avait reçue de Zeus et grâce à laquelle il régissait la Crète.]qui lui ont permisau fils de son règne d'étendre son pouvoir et son influence sur la Méditerranée, c'est aussi pourquoi on emploie leterme de « thalassocratie » quand on évoque la civilisation minoenne (crétoise). 2-/ Le sceptre (du grec ancien, skeptron, signifiant « bâton ») chez les Achéens est un objet symbole de la royautémême, d'autorité ainsi que de supériorité et prééminence.

[Ainsi, il parle en maitre, il apaise l'armée.]Dans cet extrait le sceptre permet a Ulysse de prendre la parole [Ulysse, ayant en main ce sceptre inaltérable...], ilest libre de défendre les idée d'Agamemnon s'en qu'aucun de l'assemblée ne le remette en doute, bien au contraire.[A ces mots, les Argiens poussent une clameur, et les nefs à l'entour répercutent leur cris en un terrible écho.

Tous,du divin Ulysse ils approuvent l'avis.]On constate aussi la présence d'une certaine hiérarchie dans cet extrait, avec Agamemnon en « roi des rois », audessous Nestor qui n'a pas besoins de sceptre pour s'exprimer de part son âge et sa vaillance sur le champ debataille mais surtout pour son expérience et ses conseils.Avec une presque égalité d'autorité, vient Ulysse roi d'Ithaque grand conquérant [Le preneur de cités, Ulysse, alorsse lève; il tient le sceptre à la main.] respecté de tous, car il ce mêle (dans cet extrait) aux Argiens pour faire taireThersite.

[Ulysse bien souvent, certes, s'est signalé quand il ouvre au Conseil tant de sages avis, ou mène lecombat.

Mais voici qu'en ce jour, il se conduit parmi les Argiens mieux encore en faisant taire enfin ce méchantinsulteur, dont le coeur arrogant cessera désormais de vouloir accabler les rois sous les injures! ]Et en ceux qui concerne les Achéens, ils sont certes sous Agamemnon, Nestor, Ulysse et les autres Rois mais ilsrestent cependant bien au dessus de Thersite, l'inlassable bavard.

[Son esprit est fertile en propos malséants.

Ilgourmande les rois sans raison, sans mesure, en essayant, autant qu'il peut, de susciter le rire des Argiens.] Sujet désiré en échange : La laideur peut-elle être une source d'inspiration pour un poète au même titre que la beauté ?. »