Quel est le fondement du savoir?

« Quel est le fondement du savoir ? Premirement nous allons nous intŽresser au savoir.

QuÕest ce que le savoir? Le savoir, cÕest lÕensemble de connaissances ou compŽtences dÕune personne ou dÕun groupe.

Le savoir va nous permettre dÕavancer dans la vie et de comprendre ce qui nous entoure.

Existe-t-il un seul savoir ou plusieurs, combien y a-t-il de moyens pour y accŽder et surtout comment y accŽdons nous? On peut aussi se poser des questions comme Ç sur quoi est fondŽ la connaissance du monde È ? On va voir dans un premier temps comment certains philosophes pensent que le savoir est innŽ, encrŽ en toi ˆ la naissance et que la raison est le seul moyen dÕy accŽder.

Ces philosophes sont les rationalistes.

Et comment dÕautres se basent sur les sens pour dŽterminer la cause de la connaissance, ce sont les empiristes.

Nous allons voir les diffŽrentes idŽes qui sÕopposent entre ces deux grandes catŽgories de philosophes.

Le premier grand philosophe que nous allons voir est Descartes, philosophe moderne, ˆ la recherche dÕune vŽritŽ absolue.

Dans son raisonnement, Descartes va essayer de tout remettre en question afin de trouver quelque chose dÕindubitable, il va douter de tout et cela continuellement.

Tout dÕabord, Descartes va casser les sens avec lÕargument du rve, lorsque les gens rvent, ils ne se rendent gŽnŽralement pas compte qu'ils sont en train de rver.

Ceci a amenŽ Descartes ˆ se demander si nous n'Žtions pas constamment en train de rver, au lieu d'tre dans la rŽalitŽ ŽveillŽe comme nous le croyons, ˆ remarquer que nous ne pouvons pas tre certains que nous ne sommes pas en train de rver.

Puis pour casser cet argument du rve, Descartes sÕimagine lÕexistence dÕun dieu trompeur, dÕun malin gŽnie, Ç Si lÕon tient Dieu comme une source de vŽritŽ, Descartes envisage ensuite lÕhypothse dÕun malin gŽnie, lequel a un empire sur moi et mÕa fait apercevoir une rŽalitŽ qui nÕexiste pas È.

Ce processus va lui permettre dÕarriver ˆ la conclusion du cogito, Ç je pense donc je suis È.

Pour ma part, je trouve que lÕun des points faibles de la rŽflexion de Descartes est son argument du malin gŽnie.

Afin de prouver son cogito, ce philosophe est obligŽ dÕinventer cet argument, celui-ci nÕa pas de fondation et son existence nÕest pas prouvŽ.

LÕargument nÕest pas indubitable, contredis sa faon de penser et peut remettre en question tout le cogito.

Son raisonnement est trs hypothŽtique et peut tre trop pour moi, quÕest ce qui est vrai et ce qui nÕest lÕai pas ? Le deuxime point faible de Descartes serait que pour aboutir au cogito, celui-ci est obliger dÕaccepter la nŽcessitŽ des sens.

Sans cela, Descartes ne peut rien conclure.

DÕun autre cotŽ, le raisonnement de ce philosophe ˆ plusieurs points forts, lÕargument du rve est totalement justifiable et prouvable.

Celui ci est fondŽ et montre lÕinfaillibilitŽ des sens.

Un autre point fort serai que lÕensemble du cogito tient la route en gŽnŽral, cela veut dire quelque chose, ce nÕest pas un raisonnement sans queue ni tte.

En conclusion de Descartes, mon avis est mitigŽ, je ne suis pas totalement contre ce quÕil avance ni totalement convaincue.

A la suite de cet premier philosophe, nous allons nous intŽresser au raisonnement du philosophe Locke.

Locke croit avant tout de lÕexistence du sixime sens, la rŽflexion.

Il est un empiriste et se base sur les sens, lÕexpŽrience, la dŽcouverte des faits pour expliquer la cause du savoir.

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