Que pensez-vous du sort réservé aux immigrés ? Exposez votre opinion. avec sincérité dans un développement composé 'de trente à cinquante lignes.
Publié le 28/06/2020
                             
                        
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« 1. « Le cas des immigrés ... progrès ». La première phrase du texte est une phrase introductive qui annonce une exposition argumentée du problème des immigrés : « commence à devenir plus clair ». Il y a un contresens à ne pas faire sur le mot immigré. L'auteur ne se penche pas sur le problème de l'immigration en général, mais sur le problème des immigrés que nous faisons venir ponctuellement pour les besoins de notre économie : il s'agit en grande partie de Maghrébins, d'Africains francophones, de Portugais. Le premier paragrahe traite du racisme, et d'une évolution dans le racisme. A présent, les gens ont mauvaise conscience à s'avouer racistes ; ils accusent de racistes ceux qu'ils rejettent. Il est inutile de reprendre tous les motifs de rejet. On ne retiendra que l'idée. 2. « Seulement ... eldorado ». L'auteur série les problèmes : après le racisme, les conditions matérielles réservées aux immigrés. Il importe de rendre cette progression par une articulation logique plus forte que celle du texte (« seulement le racisme n'est qu'un... ») qui n'assure qu'une transition avec l'idée précédente. On rendra l'escalade de l'argumentation par un « mais plus grave encore ». On résumera brièvement les conditions matérielles évoquées : le logement, le travail, les salaires, pôle d'attraction pour ceux qui sont restés au pays (les douars) ; de même qu'on ne rentrera pas dans le détail des métiers proposés en France (manuvres, mineurs, éboueurs). 3. « Parqués ... encore ». Ce paragraphe insiste sur la condition de victime des immigrés, condition qui résulte de tout ce qui a été dit précédemment. Ce lien de cause à effet, inexistant dans le texte (mais rendu par les trois adjectifs « parqués/reje-tés/condamnés... »), on le rendra par un « alors » annonçant la troisième étape de cette argumentation en crescendo. On remplacera le mot « victime » par le mot « persécuté », tout aussi significatif. Le paragraphe se termine par une idée secondaire (secondaire par rapport à la situation de victime), mais importante pour la suite du raisonnement : rien n'est fait pour permettre aux immigrés de s'adapter dans notre civilisation ; l'aide que certains, peu nombreux, peuvent trouver, est essentiellement bénévole. ...»
«
                                                                                                CERNER 
LA DIFFICULTÉ  ..
                                                            
                                                                                
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RESUME  REDIGE.
                                                            
                                                                                VOCABULAIRE: 
DISCUSSION.
                                                            
                                                                                 DEVOIR.
                                                            
                                                                                
Besançon,  Dijon, Grenoble/Première.
                                                            
                                                                                
:M.cas  des iw!)lig��  cQmme�çe  heureusement  à devenir  plus clair 
,·dans  l'esprit  de beaucoup.
                                                            
                                                                                 Oh U�Ja_ç�sJ!l_g  n'est pas mort,  loin 
1  de 
là ! Du  moins  sa dénonciation  n'est-elle plus tout à fait  sans 
;  effet  : le  plus  souvent,  le raciste  est devenu  honteux.
                                                            
                                                                                 n se  défend 
vigoureusement  de l'être,  il accuse,  au contraire,  d'être raciste 
celui  qu'il  rejette  pour sa langue,  son origine  ou/bien  sur,s'â 
éoûlèur,  car cliacùn  �aiÏ que ie bÏanc  n'est pas une  couleur.
                                                            
                                                                                 Ce 
n'est  qu'un  progrès  modeste.
                                                            
                                                                                 sans doute,  mais c'est quand  même 
un  progrès.
                                                            
                                                                                
Seulement,  le racisme  n'est qu'un  des éléments  -le plus  sensi
ble  peut-être,  non le plus  grave  au fond  -du  sort  des immi
grés.
                                                            
                                                                                 La honte,  c'est, pfuseîicôre,  la _situation m.3téri�
�i q!Jf leur 
est  faite.
                                                            
                                                                                 Ils sont  importés  comme les anima ux 
dÜzoo  et sou
vent  moins  bien logés  qu'eux.
                                                            
                                                                                 Ils assµmeQt  les tj\chesJes  plus 
rebutantes,  les métiers  les plus durs  et, parfois,  ies plus  malsains, 
ceux  dont  les Français  ne veulent  plus.
                                                            
                                                                                Ils sont  payés  juste assez 
pour  que, du fond  de leur'  misère,  dans leurs  dollars  écrasés.
                                                            
                                                                                 de 
soleil  et leurs  villages  aux terres  arides,  d'autres,  malheureux 
comme  eux, rêvent  de devenir,  à leur  tQur,  manœuvtes  chez 
Renault,  mineurs dans le Pils-de-Calais,  éboueurs à Paris,  cet 
eldorado.
                                                            
                                                                                
Parqués,  rejetés, condamnés  à la  solitude,  ils sont  des victimes 
de cho�  pour les petits  chefs les plus  hargneux,  la bureaucratie 
la  plus  tatillonne,J11 
p
��E!:..�P-!!JJ§.
                                                                                            »
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