Prouvez que le deuil fait sombrer le héros du conte «la morte» dans le désespoir, autant lorsqu'il est chez lui que lorsqu'il passe la nuit dans le cimetière
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
«
SUJJET:«prouvez que le deuil fait sombrer le heros du conte«la morte»
dans le dédespoir, autant lorsqu'il est chez lui que lorsqu'il passe la nuit dans le cimétère»
Introduction
Guy de Maupassant est un auteur du XIXe siècles, connu pour avoir marqué la littérature
française par sws nouvelle parfois intitulées contes.
ces oeuvres retiennent l'attention par leur
force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s'en dégage le plus
souvent.
En créant le mystère et l'angoise tout en nous faissant penser à la faissabilité de ce
chose par l'instrusion du surnaturel dans un cadre réaliste.
Dans la nouvelle «la morte», de la
partie «Contes Fantastique» du contes PARISIENS, NORMANDS ET FANTASTIQUES , Guy de
Maupassant, le deuil fait sombrer le personnage du conte dans le désespoir, autant lorsqu'il est
chez lui que lorsqu'il passe nuit dans le cimetière.
En effet, en lissant l'extrait, on s'apperçoit que
les obsèques de la femme du personnage lui plonge dans une affliction lorsqu'il est dans sa
maison.
Toutefois, la présence du personnage dans le cimetière n'arrange pas le chose, il coule
dans une angoise profonde lorsqu'il est dans ce lieu.
Développement
Idée princip1: D'une part, en lissant l'extrait, on s'apperçoit que la mort de la femme du
personnage lui plonge dans une affliction quand il est chez lui.
Idée second1: D'abord, l'homme
est tellement bouleversé par la mort de sa femme qu'il est prêt à mettre fin à sa vie.
On le
constate dans cette phrase: «Quand je revis ma chambre, notre chambre, notre lit, nos meubles,
toute cette maison[...], je fus saisi par un retour de chagrin si violent que je faillis ouvrir la
fenêtre et me jeter dans la rue.» on constate la personnification du mots chagrin, l'auteur
présente le chagrin avec un caractère humain, celui de saisir l'auteur, cela montre le pouvoir que
le chagrin à sur lui, en lui presentant comme un adversaire qui a la capacité de lui maitriser, de
lui prendre de façon à pouvoir le pousser à se suicider.
ceci est soutenu par une gradation de
courtes phrases (chambre,lit,meubles,maison), qui ilustre le desespoir que l'auteur resent au
contacte de ce qui l'entoure chez lui.
( 1ÈRE) Idée princip2: Ensuite, on remarque que le mari se
jete dans une forme de tribulation.
En effet, il y a la presence d'un champs lexical du désespoir,
qui conprend le mots ayant une forte valeur affective (chagrin,torture,douloureux,souffrir)
montrenrt clairement les désespoir qu'eprouve l'homme.
(2Ieme)idée princip2: Ensuite, le mari
se sent pas confortable lorsqu'il est chez lui parce qu'il a l'impresion d'être hanté par cette
femme.
En effet, il y a une forte presence de champs lexicale du corps de la femme qui contient
des mots tels que «sa chair, son souffle, coifure, son image,tête» et du champs lexical de
contenir «enfermé,abritée,garder,contenu» montrent que l'homme a vraiment l'impression de
resentir son epouse est vivante, quelle est présente dans chaque recoin de la maison, cela lui
tourmente énormement.
Idée princip2: D'autre part, la présence du personnage dans le cimetière n'arrange pas le chose,
il coule dans une angoisse lorsqu'il est dans ce lieu.
Idée second1 : Évidemment, le personnage
eprouve le desespoir lorsqu'il est dans le cimétière.
on constate le champs lexicale du desespoir.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Incipit Bel-Ami de Maupassant lecture linéaire
- LA PARURE MAUPASSANT ANALYSE
- Dans son roman, les Faux-Monnayeurs, Gide prête à son personnage de romancier, Edouard la réflexion suivante : « Il se dit que les romanciers par la description trop exacte de leurs personnages, gênent plutôt l'imagination qu'ils ne la servent et qu'ils devraient laisser chaque lecteur se représenter chacun de ceux-ci comme il lui plaît ». Partagez-vous ce jugement ? Vous expliquerez et discuterez le point de vue énoncé par André Gide en vous appuyant sur vos lectures personnelles et l
- Dans la préface de Pierre et Jean, Maupassant écrit que « le réaliste de talent » est avant tout un « illusionniste ». Commentez et discutez cette définition ?
- Maupassant, Pierre et Jean, 1887, Préface. Commentaire