Problématique : La lecture présente-t-elle un danger pour l'homme ?
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
Problématique : La lecture présente-t-elle un danger pour l'homme ? Ce document contient 858 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.
«
Problématique : La lecture présente-t-elle un danger pour l'homme ?
Introduction :
Bien souvent, les questions de l'homme dans les genres de l'argumentation poussent à s'interroger
sur le rapport de l'homme avec la littérature.
"Un livre a toujours deux auteurs : celui qui l'écrit et celui qui le lit " a dit Jacques Salomé, extrait
de Si je m’écoutais, je m’entendrais .
Nous pouvons alors nous interroger sur ce rapport entre l'écrivain et le lecteur, plus généralement
entre l'homme et la littérature.
Un tel sujet nous pousse à nous demander si la lecture présente un danger pour l'homme.
Pour cela, nous étudierons tout d'abord les bienfaits de la lecture, puis les dangers que la lecture
peut apporter.
Sauter deux lignes
I- Les bienfaits de la lecture
Pour commencer, nous pouvons constater que dans ce livre, l'auteur défend l'idée que la lecture est
une vertu.
En effet, on remarque que Clarisse sais beaucoup plus de chose que Montag, notamment sur le
passé.
La preuve en est que, lors d'une conversation entre Clarisse et Montag, Clarisse explique à
Montag que les panneaux d'affichage publicitaires étaient moins longs avant et qu'il a fallu les
agrandir car la vitesse des voitures augmentaient en même temps et Montag réplique en disant qu'il
l'ignorait page 28 : "J'ignorais ça ! S'exclama Montag avec un rire sec."Cela nous permet donc de
dire que la lecture est un moyen de s'élever intellectuellement par rapport aux autres.
De plus,
Clarisse et beaucoup plus ouverte que les autres, plus curieuse sur le monde qui l'entoure, elle pose
beaucoup de questions, observe la nature ; on peut le remarquer à la page 43: "(....) c'est la dernière
fleur de pissenlit de l'année.(....) Savez-vous qu'on peut s'en frotter le menton (.....) Si ça déteint,
c'est que je suis amoureuse."
De plus, la lecture permet de garder en tête les connaissances du passé car l'on a peur d'oublier le
savoir, l'expérience que peut apporter certains livre justement.
Granger nous le dit dans le chapitre
"Le tamis et le sable" : "Les livres n'étaient qu'un des nombreux types de réceptacle destinés à
conserver ce que nous avons peur d'oublier.": page 115 dans "le tamis et le sable".
Ensuite, la lecture permet d'acquérir un savoir intellectuel, une certaine culture mais aussi de nous
apporter une idée du monde qui nous entoure, comme le dit le professeur Faber page 115 :"Il n'y a
de magie que dans ce qu'ils disent, dans la façon dont ils cousent les pièces et les morceaux de
l'univers pour nous en faire un vêtement."
Enfin, Granger que nous avons cité tout à l'heure compare le Phénix aux humains.le phénix brûle
accidentellement et se réincarne parce que c'est sa nature, les humains suivent aussi ce cycle de
mort et de renaissance.La seule différence est qu'ils le font sciemment en s'impliquant dans des
choses comme la guerre, brûlant les livres de connaissance, détruisant l'histoire .Granger le dis
clairement à la page 210 et 211 : (.....)une esèce d'oiseau stupide appelé Phénix.(.....) Mais chaque
fois qu'il se brûlait, il ressurgissait de ses cendres, renaissant à la vie.Et on dirait que nous sommes
en train d'en faire autant, sans arrêt, mais avec un méchant avantage sur le phénix.".
L'auteur veut
nous faire comprendre que la lecture permet d'éviter ce genre de "bétise".En effet, le savoir se
transmet de génération en génération.
Et les générations actuelles retiennent le savoir transmis par
les génération précédentes, au fur et à mesure que le temps passe, et nous rapproche d'un monde
meilleur.
On peut dire que la lecture possède de nombreux avantages car elle est enrichissante, mais aussi.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Les contes de Diderot allient le plaisir, la légèreté, l'art de la conversation contenu dans les dialogues au genre délibératif, une réflexion souvent contradictoire sur l'homme, la vie, le monde. Vous interrogerez sur cette problématique en vous appuyant avec précision sur les contes étudiés.
- Dans La Religieuse "Diderot se livre à ce qu'il nomme lui-même une effroyable satire des couvents, mais cette volonté polémique ne vaudrait que pour l'anecdote s'il n'y développait une véritable méditation sur les méfaits de la solitude et sur les effets pervers de la violence que l'homme exerce contre la nature et contre lui-même- spirituellement par le fanatisme, physiquement par la répression systématique des besoins du corps". Dans quelle mesure ce propos de Pierre Lepape (Diderot
- Le critique Arthur Wilson a pu qualifier l'oeuvre Jacques le fataliste de parabole du destin de l'homme. Vous commenterez cette opinion en vous appuyant sur votre lecture de l'oeuvre ?
- « Il n'y a qu'un classe dangereuse, c'est celle des intellectuels, c'est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n'y a pas emploi. » Après avoir expliqué en quoi l'homme de lettres et l'écrivain peuvent être « dangereux » pour la société, vous direz si selon vous le danger qu'ils représentent est toujours nuisible ou peut être nécessaire ?
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?